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Showbizz Publié le vendredi 13 mars 2009 |

Bétika : "L’histoire du féticheur est une machination"

Depuis la mort de la chanteuse Affo Love, le 1er février dernier à Cotonou, l'incessante rumeur ou prophétie qui annonce la mort de certains artistes, bat, à nouveau, son plein. Et Bétika semble être sur la liste de ces personnes qui, dit-on, passeront de vie à trépas, si elles ne se plient pas aux recommandations de ces marabouts et autres prophètes. La chanteuse ne semble cependant pas ébranlée par cette alerte qu'elle qualifie de machination. Dans l'entretien qu'elle nous a accordé, elle fait des révélations…


C'est reparti, avec les prophéties qui projettent ta mort d'ici peu de temps. Comment tu vis cela ? Peur ou panique ?


En ce qui me concerne, je ne suis pas perturbée, je n'ai peur de rien. Je ne suis pas paniquée. Parce que je sais où j'en suis. Cependant, je suis un peu peinée pour mon entourage et surtout pour ma famille. Car, à cause de moi, ils sont obligés de subir certaines choses. Notamment, la peur. C'est, en réalité, pour cette raison que j'ai accepté d'accorder cette interview, afin de les rassurer. Je veux juste leur dire que je vais bien et qu'ils n'ont aucune raison de s'inquiéter. Dieu même sait qu'il est obligé de me protéger contre toutes ces mauvaises langues.


Pourquoi serait-il obligé de te protéger ?

Tout simplement parce que je m'évertue à respecter tout ce qu'il me demande de faire. Du moins, j'essais de le faire. Donc, je ne vois aucune raison pour que mon Dieu me lâche. Mon Dieu est un Dieu fidèle, qui ne trahit jamais. Il a beaucoup d'amour pour ses enfants, peu importe ce qu'ils sont. Quand ta foi est solide, il n’y a rien à craindre.


Il n'y a pas longtemps que tu as été baptisée dans ton Eglise. Quels sont les engagements que tu as pris, vis-à-vis de Dieu ?

Avant le baptême, je vivais en concubinage. J'ai dû stopper cela, parce qu'il fallait opérer un choix. Et comme je ne peux pas laisser Dieu pour un homme, j'ai fais le choix de Dieu. Vu les objectifs que je m'étais fixés par rapport à ma religion, j'étais dans l'obligation de me séparer de mon homme et de quitter le foyer, afin de recevoir le baptême. Une fois déjà, le baptême avait avorté, en raison de cette vie de concubinage non-conforme aux préceptes de l'Eglise catholique. Entre-temps, j'avais fait la promesse à Dieu de lui consacrer ma vie. C'est te dire qu'avant même le baptême, c'était la résolution que j'avais prise. Et après, j'ai continué à suivre les principes de mon église. Quand tu es baptisé, il faut communier au corps du Christ, en évitant certaines choses. En ce moment donc, je suis heureuse

Tu as donc quitté ton foyer, comme l'a révélé un confrère ?

Le confrère a fait une mauvaise interprétation de cette situation. C'est dommage ! Parce que ce n'est pas le vrai problème. En réalité, c'est que je devais suivre le chemin que Dieu a tracé pour moi. Quand Dieu veut t'utiliser, quand tu es l'élu, ce n'est plus ta décision qui compte. Que tu le veuilles ou pas, c'est lui qu'il faut honorer avant tout. Parce que c'est un Dieu jaloux aussi. Tant que tu n'as pas compris cela, il y aura des incompréhensions avec ton homme, alors qu'il n'y est pour rien.


Comment ton homme a-t-il supporté la rupture ?


Tu sais, il était à mon baptême (Rire). On continue de se voir, on rigole très bien. Pour tout dire, ça se passe très bien entre nous.


Comptes-tu refaire ta vie avec lui ?


Non, je ne peux pas recommencer une vie de concubinage. Sinon, je ne pourrais pas communier. Je ne mets plus la charrue avant les bœufs. C'est Dieu qui décide désormais. Si je dois recommencer à vivre avec lui, ça sera devant le saint sacrement et tout ce qui suit.

N'avez-vous pas des projets de mariage ?

Je préfère réserver la surprise. (Elle éclate de rire)…


Après le baptême, l'étape suivante c'est le mariage, n'est-ce pas ?

Saches que je suis heureuse et sereine, même si je ne vis pas là-bas. Je suis sereine, je suis sereine…( elle insiste là-dessus). Sais-tu pourquoi ? Parce que j'essaie d'honorer Dieu. Tout va pour le mieux. Avant, je ne mettais pas Dieu dans mes relations et tout chavirait. Aujourd'hui, c'est lui qui gère la situation. Et je ne suis plus affolée. Je ne crains plus de le laisser seul, de peur qu'on vienne me le ravir. Ce que je peux dire, c'est que Dieu m'a beaucoup transformée. Aujourd'hui, j'ai beaucoup plus de force, de patience. Il m'a beaucoup rassurée. C'est d'ailleurs ce que je vais chanter dans mon prochain album. Je dis qu'il y a une voix qui m'a rassurée dans la souffrance et dans les épreuves. C'est la voix de Dieu. Si j'avais commencé par là, je ne crois pas que les gens auraient trouvé de quoi redire.

Et pourtant, les rumeurs persistent sur le fait que tu aurais pactisé avec le diable. Et que cela te rattrape aujourd'hui…

(Rire). Qu'est-ce qui me rattrape ? Par rapport à quoi ! Ou, est-ce parce que je suis tombé malade, dans le temps. Tout être humain tombe malade. Mais, je vous rassure qu'aujourd'hui je me sens très bien et cela est bien visible. Il y a même certaines personnes qui me disent que je prends du poids et que cela me fait perdre ma beauté. Même toi, tu peux le constater, je suis en ce moment en pleine forme. Je ne prends aucune vitamine pour prendre du poids. J’ai la paix du cœur, c'est tout.


Mais pourquoi tant d'acharnement sur ta personne ?


Je ne sais pas. C'est peut être à ces personnes qu'il faut le demander. Ce qu'il y a de bien dans cette histoire, c'est que plus les gens parlent ainsi de moi, plus je me rapproche de mon Dieu, en priant encore davantage. Je me dis peut-être que Dieu passe par là pour mieux m'enseigner et me rapprocher de lui. Je pense que ce sont des grâces qui tombent, parce que mon Dieu me permet d'avoir la tête haute.

Dernièrement, nous avons lu que tu ferais partie des artistes qui se seraient rendus au Bénin pour voir un maître vaudou pour qu'il les protège et pour qu'ils connaissent le succès dans leur carrière. Réaction ?


Tout ceci me fait rire. Lorsque je n'avais pas encore sortie l'album " Fakaloh ", les gens parlaient de moi différemment. Maintenant que le succès est là, c'est d'autres choses que les gens parlent. Les gens sont ce qu'ils sont, peu importe ce que tu diras. Heureusement, le mensonge prend l'ascenseur, mais la vérité finit toujours par triompher. A dire vrai, je n'ai pas à me justifier sur ce genre de chose. L'avenir nous situera. Tous, nous sommes pêcheurs, mais je ne suis pas prête à aller prendre un fétiche ailleurs pour venir dans mon pays. Sinon, je suis déjà parti au Bénin, plusieurs fois. Et j'irais, chaque fois que l'occasion se présentera. Il y a un de tes confrères qui me disais que le féticheur m'aurait défendue d'y mettre les pieds, pour les funérailles d'Afo Love. Je lui ai rétorqué que j'en venais. C'était le 12 février dernier, à la faveur d'un gala humanitaire. Je suis même intervenue au journal télévisé d'une chaîne béninoise. J'étais la seule artiste étrangère invitée à ce rendez vous humanitaire, où il fallait faire œuvre utile auprès des enfants atteints de la maladie du noma. C'est une maladie qui, en 15 jours, défigure les enfants. C'est un petit bouton qui finit par ronger le visage, de sorte que les enfants sont méconnaissables.


Si on te demandait de retourner au Bénin pour les obsèques d'Affo Love, le ferais-tu ?


Bien sûr, si on me met dans la délégation, je m'y rendrais volontiers. Puisqu'il y a une délégation que le président Gadji Céli doit conduire. S'il me choisit, il n'y aura aucun problème. J'irais au nom de Jésus Christ de Nazareth.


Tu avais des affinités avec Affo Love ?

Pas du tout. Elle et moi nous nous disions affectueusement le bonjour mutuel, c'était tout. Elle avait pour habitude de me saluer en m'appelant "Tata".


Vous n'avez donc jamais été au Benin pour rencontrer le maître vodou dont tout le monde parle tant ?


Je sais que j'ai voyagé une fois pour les Koundé au Burkina. Et Affo Love était du voyage, ce jour, là puisqu'elle y était nominée, avec Magic System. Cette information a beaucoup étonné mes amis, puisque ces derniers savent que la chanteuse que je fréquente beaucoup, c'est Aklane. Vous pensez que les artistes d'aujourd'hui, s'aiment, au point de montrer la clé de leur succès à leurs collègues ? Ça, jamais !


Est-ce vrai qu'entre artistes, vous ne vous partagez aucun secret, en vue d'avoir du succès ?


Oui, parce que nous ne nous aimons pas entre nous. Personne entre nous ne donne son secret à l'autre. Enfin, si secret il y a pour avoir le succès. J'ai toujours dis que mon secret pour réussir, c'est Dieu. Je n'ai pas hésité à dire que, lorsque j'ai fais mon premier concert, j'ai visité la vierge Marie à Issia, à Notre Dame de la délivrance. Le journaliste m'a même demandé pourquoi je divulguais de la sorte mon secret. Je lui ai simplement dit que Dieu veut que nous fassions sa mission. Alors, il faut parler de lui à travers des témoignages. Tu penses que si cela avait été un autre artiste, il aurait donné ce secret aux autres ?







Avant d'être liée à Dieu et à la Vierge Marie , est-ce que Bétika n'a pas été tenté de faire comme les autres artistes qui vont voir les marabouts et autres charlatans ?



Jamais, je n'ai posé un tel acte. Je ne fréquentais pas beaucoup les églises, mais j'ai été élevée par la femme de mon père qui était, elle, de la religion catholique. Cette dernière m'a toujours poussée vers la confession catholique, avec le chapelet. Mais moi, je partais à l'église occasionnellement. La première fois que Dieu a fait un miracle pour moi, j'ai prié comme ça, juste pour voir. Parce que les gens disaient que le fait de prier et de jeûner faisait que Dieu exhaussait les prières. C'est ce que j'ai fait, pendant 10 jours, en lui demandant de me trouver un producteur. Chose qu'il a réalisée à mon grand étonnement. J'avais, dans le temps, une amie qui jeûnait, elle aussi. J'ai donc fait comme elle en jeûnant. Mais, au bout de 10 jours, comme je l'ai dit plus haut, j'ai tout abandonné. Mais Dieu a quand même exhaussé mes prières. C'est ainsi que j'ai composé le titre “Merci Jésus” sur l'album “Fakaloh”, pour le remercier d'avoir exhaussé tout ce que je lui avais demandé. Les gens doivent donc comprendre que cet album n'appartient pas aux génies ou à Satan, mais à Dieu. Je sais que seul mon travail peut me nourrir.


Bétika pourrait-elle se reconvertir en chantre ?


Tout se fera par la volonté de Dieu

Avec les attaques que tu subies en ce moment, n'as-tu pas envie de ne chanter que pour Dieu ?

Pour le moment, je n'ai pas encore eu cette révélation. Parce que Dieu parle à tout un chacun. Pour le moment, il ne m'a pas encore dit de laisser tomber les chansons d'amour. J'ai des compositions que je chante souvent lors des veillées de prière et dont certains hommes de Dieu se servent pour prêcher et prophétiser sur la vie des gens. Certaines personnes peuvent en témoigner. J'étais à une veillé de prière et mon guide spirituel, Marcel Blé, qui m'avait invitée, ce jour là, m’a demandé de lui chanter l'une de mes compositions. Moi, j'avais eu peur, parce que je me suis dit que les gens allaient me pirater. Mais, Dieu seul est le maître de notre destin. Lorsque j'ai commencé à chanter, ce dernier a commencé à prophétiser. Et, pendant que je chantais, certaines personnes trouvaient la guérison. Ce jour là, j'ai vu des gens paralysés se lever. Pour ironiser, j'ai même dit que si je l'avais su, j'aurais fait venir des journalistes pour qu'ils filment toute la cérémonie.

Penses-tu être au service de Dieu ?

Je pense que oui. Dieu m'utilise, d'une certaine manière, pour faire ses œuvres. Il m'utilise pour faire du bien à ses enfants. Même lorsque je ne chantais pas Dieu, mes chansons touchaient les hommes de Dieu et les cœurs en détresse. Tout ceci est le chemin que Dieu était en train de tracer pour moi.

Nous avons reçu une information faisant état du fait, qu'Al Moustapha aurait fait battre un journaliste, parce que ce dernier aurait fait des critiques acerbes à ton égard ?


Tu sais, nous sommes en période de carême et je ne voudrais pas entrer dans ce genres de détails. Nous sommes, après tout, des frères et sœurs. Ce journaliste m'a persécutée et m'a même poussée à bout. Mais, j'ai pardonné. Pendant deux jours, ce dernier m'a harcelée. Il a même écrit un article sur moi. Le fait de me dire que je suis allée voir un féticheur m'a énervée. J'ai une passion, et je suis déjà dans quelque chose, en Dieu. Ce qui m'a irritée, c'est lorsqu'il m'a dit que les Ivoiriens veulent m'entendre sur la question du prétendu féticheur venu de Korhogo. S'il voulait m'entendre, il aurait cherché à me voir. Il dit qu'il m'a cherchée. Il ne l'a pas fait. Et c'est après avoir écrit son texte et vendu son journal, qu'il se pointe devant moi, pour me dire qu'il veut m'entendre. Je ne voulais pas en parler, mais comme tu me le demandes, je le fais. J'ai dit non, lorsqu'il m'a demandé de faire l'interview avec lui. En fait, c'est parce que j'ai refusé de le faire qu'il a commencé à m'acculer. Je suis un être humain et je peux craquer. Je l'ai insulté, parce qu'il m'avait poussée à bout. Mais je me suis confessée par la suite, chez le prête. Je l'ai même rappelé après, pour lui demander pardon. Et ce dernier m'a dit qu'il allait continuer sur sa lancée, puisque moi, je l'avais insulté. Nous ne nous connaissions même pas et je ne me reproche rien. Tout cela sentait le complot. Je sais qui me fait ce genre de chose. (Elle hausse le ton). Il n'y a pas de marabout derrière cette histoire. Je sais qui est derrière tout ça, mais je ne dirais pas son nom. Cette personne est mal tombée.

N'est-ce pas là l'occasion de révéler son nom ?

Les Ivoiriens sont très intelligents. Qu'ils relisent bien l'article. Ce sont les mêmes rumeurs qui se racontent en ville, qu'ils ont écrites. Il n'y a rien de nouveau à mon sujet.

Mais, le voyant de Korhogo existe-t-il, oui ou non ?

C'est une manigance à l'encontre de ma personne. Qu'ils aillent filmer le voyant en question pour que nous tirions cette histoire au clair. C'est n'importe quoi. (Elle s'énerve un peu). C'est parce que j'ai sorti un album qui a du succès et que je suis en train de donner un coup de main à mon aîné Daouda, que ces personnes pensent m'atteindre en agissant de la sorte. Le samedi 7 février, à l'émission “Samedi ça me dit” j'ai fait le single avec Daouda. Depuis, son producteur qui est l'arrangeur est menacé de mort, chaque fois que le spot passe à la télé. Souvent, les gens demandent après moi et ils l'insultent, avec des menaces de mort à l'encontre de sa famille.


A quoi cela est-il dû ?


Tout cela sent la manigance. Il y a une personne qui m'a un jour envoyé un message, pour me dire qu'elle allait tout faire pour que j'aille à ma chute. Cette personne se connaît et a cherché à se rapprocher de moi… Je ne veux même pas avoir affaire à cette personne. Je sais qu'ils ont tout fait pour m'empêcher de chanter sur scène. Mais, moi je chanterai.

Ces personnes à la tête de cette cabale sont-elles dans le show-biz ?

Oui, se sont des gens du show-biz. Nous nous connaissons. Qu'ils continuent ! Ils se dévoileront d'eux mêmes. Je ne pense pas du mal d'autrui. Au contraire, je prie pour tout le monde, à chaque fois que j'en ai l'occasion. Si tu me cherches, ce n'est pas moi que tu cherches, mais Dieu.

A quel moment Al Moustapha est-il intervenu dans l'affaire ?

Al a l'habitude de m'appeler sa filleule. Je passais un jour devant une boîte et j'étais, ce jour là, avec mon manager, quand Al Moustapha m'a aperçue, il est venu vers nous. Les gens ont l'habitude de dire qu'il est mauvais, mais moi, c'est mon parrain. Que les gens interprètent cela comme ils l'entendent. Al, qui était déjà en colère en venant vers moi. Il m'a reproché de n'être pas allée vers lui, avec tout ce qui se racontait sur ma personne. Je lui ai donc expliqué la conversation téléphonique que j'ai eue avec le journaliste en question. En précisant que tout cela est arrivé, parce que j'ai refusé de lui accorder une interview. Et que ce dernier a promis de détruire ma carrière. Suite à cela, Al a, sur le champ, appelé le journaliste en mettant son portable sur haut parleur. Ce dernier, ne sachant pas que j'écoutais la conversation, a dit à Al qu'il m'avait mise encore à la “Une” de son journal, et qu'il ferait tout pour me détruire. Al a donc demandé à rencontrer le patron de ce dernier. C'est ainsi que le journaliste lui a donné le numéro de sa patronne que nous avons cherché à joindre, en vain. Alors Al l'a rappelé encore une fois, pour lui dire qu'il n'avait pas pu entrer en contacte avec sa patronne. De là, Al a décidé, avec le consentement de ce denier, une rencontre. Pendant qu'il allait à leur rencontre, moi, j'ai pris ma voiture et je suis partie. C'est quelques temps après que j'ai reçu un coup de fil de mon manager disant que le journaliste, lors de cette rencontre, a dit des méchancetés à mon égard. J'ai donc rebroussé chemin. Je l'ai rencontré et je lui ai demandé les raisons de son agissement. Je ne pense pas à moi, lorsque je subit ce genre de chose, mais je pense plutôt à ma mère qui est très fragile. Je lui ai signifié que je n'étais pas dans l'obligation de lui accorder une interview. Je suis l'amie de tous les journalistes, je fais souvent des palabres avec certains d'entre eux, mais c'est de bonne guerre, puisque nous sommes toujours ensemble. Nous sommes appelés à être toujours ensemble, car nous sommes comme des frères et sœurs.


Al Moustapha a-t-il giflé le journaliste ?

Franchement, je n'ai pas vu Al Moustapha lui porter main. Je n'ai pas vu Al gifler le journaliste. Tout ce que j'ai vu, c'est qu'Al l'a pris de côté pour lui remettre un pli, c'est tout. Il l'a pris et est parti. C'est ainsi que nous nous sommes séparés. Pourquoi est-ce qu'il n'a pas parlé de l'argent qu'il a reçu de la part d'Al Moustapha. De toutes les façons, qu'ils continuent d'écrire, car c'est de la publicité qu'ils me font, à chaque parution. Je suis fière de cette publicité à l'américaine. On ne peut pas toujours parler en bien d'un artiste. Les articles qu'ils ont écrits m'ont forgé un caractère coriace.


Dans un passé récent, Kley Saley prophétisait sur ta personne. Quels sont vos rapports aujourd'hui ?

Kley Saley m'a demandé pardon. Il me prend comme sa petite sœur, car il est l'ami de mon grand-frère qui est maintenant en Afrique du Sud. Il s'est repenti de tout ce qu'il m'avait dit. Aujourd'hui, tout va pour le mieux entre nous. J'ai appris qu'il est malade. Je m'organiserais pour lui rendre visite.
Réalisée par Ange T Blaise


Ange08015128@yahoo.f
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