Le projet d’enrôlement présenté par la délégation de la Commission électorale indépendante (Cei) aux ressortissants Ivoiriens résidant au Burkina Faso suit sa marche. Mardi dernier, a été mis en place le Bureau de la Commission électorale locale du Burkina Faso dans les locaux de l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Burkina. C’est un Bureau de consensus dans lequel toutes les tendances sont représentées. Le président qui en est sorti, se nomme Kouandi Constant du Pdci
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Vendredi dernier, en effet, cette commission conduite par Oulaï Yvon, directeur de la Solde, mais surtout superviseur des élections au Burkina Faso, avait présenté le projet d’enrôlement aux Ivoiriens et procédé au lancement de l’opération qui aura lieu dans deux villes du «pays des hommes intègres»: Bobo-Dioulasso et Ouagadougou. Et ce, à partir d’aujourd’hui (le 14 mars) à Ouagadougou, la capitale, et le 15 mars à Bobo-Dioulasso.
M. Oulaï avait précisé que le choix de ces deux villes était simple : Il y a plus d’Ivoiriens. La première concentre plus de 1300 Ivoiriens et la seconde, plus de 1000. Au total, selon lui, la population-cible est estimée à 5000 personnes.
Mais, bien avant le lancement de l’opération, il avait tenu à préciser qu’une série d’activités sont à mener, pour réussir le lancement.
Il s’agissait, d’abord, de l’installation de la Commission électorale locale de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. C’est ce qui vient d’être fait. Cette Commission travaillera dans les deux villes; ensuite, elle procédera à la formation des agents aux plans régalien et technique. Enfin, la délégation aura à former des agents d’identification. Car, c’est eux qui vont recevoir les pétitionnaires. Quand ils les recevront, il faut bien qu’ils sachent remplir les formulaires, les accueillir comme il se doit, etc.
C’est, disait-il, une fois cette formation terminée que les différentes structures impliquées dans cette opération ; à savoir la Cei, la Commission nationale de supervision de l’Identification, l’Office national de l’identification et la Sagem-Sécurité vont se retrouver pour, ensemble, réviser le mode opératoire.
Michel Koffi
Envoyé spécial à Ouagadougou.
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Vendredi dernier, en effet, cette commission conduite par Oulaï Yvon, directeur de la Solde, mais surtout superviseur des élections au Burkina Faso, avait présenté le projet d’enrôlement aux Ivoiriens et procédé au lancement de l’opération qui aura lieu dans deux villes du «pays des hommes intègres»: Bobo-Dioulasso et Ouagadougou. Et ce, à partir d’aujourd’hui (le 14 mars) à Ouagadougou, la capitale, et le 15 mars à Bobo-Dioulasso.
M. Oulaï avait précisé que le choix de ces deux villes était simple : Il y a plus d’Ivoiriens. La première concentre plus de 1300 Ivoiriens et la seconde, plus de 1000. Au total, selon lui, la population-cible est estimée à 5000 personnes.
Mais, bien avant le lancement de l’opération, il avait tenu à préciser qu’une série d’activités sont à mener, pour réussir le lancement.
Il s’agissait, d’abord, de l’installation de la Commission électorale locale de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. C’est ce qui vient d’être fait. Cette Commission travaillera dans les deux villes; ensuite, elle procédera à la formation des agents aux plans régalien et technique. Enfin, la délégation aura à former des agents d’identification. Car, c’est eux qui vont recevoir les pétitionnaires. Quand ils les recevront, il faut bien qu’ils sachent remplir les formulaires, les accueillir comme il se doit, etc.
C’est, disait-il, une fois cette formation terminée que les différentes structures impliquées dans cette opération ; à savoir la Cei, la Commission nationale de supervision de l’Identification, l’Office national de l’identification et la Sagem-Sécurité vont se retrouver pour, ensemble, réviser le mode opératoire.
Michel Koffi
Envoyé spécial à Ouagadougou.