Débuté depuis quelques jours, le recensement électoral des Ivoiriens de l’étranger se poursuit jusqu’à la mi-avril 2009. Mais déjà, le constat est que de millier d’Ivoiriens risquent d’être exclus de cette opération pourtant jugée capitale.
Ce sont donc environ, soixante dix (70) mille ivoiriens de l’étranger qui seront enrôlés dans le cadre du processus d’identification qui a démarré depuis plusieurs mois en Côte d’Ivoire. Pour la première fois depuis le début de ce processus, le nombre de personnes à identifier a été fixé par le gouvernement ivoirien. Pourtant, ce chiffre semble en deçà du nombre réel d’ivoiriens à identifier en dehors du pays.
Que cache le gouvernement ivoirien?
Mais, en dépit de cela, seulement soixante dix mille Ivoiriens auront le privilège d’être identifiés. Pourquoi cela ? Pourquoi tient-on absolument à écarter des compatriotes d’u processus extrêmement important et qui a d’ailleurs servi de justificatif à ceux qui ont pris les armes en septembre 2002. Mais enfin, que cache réellement le gouvernement ivoirien en excluant des milliers de compatriotes ? Manifestement, il y a problème, même si comme d’habitude, personne n’a le courage de le poser afin qu’une solution soit trouvée. Car, en réalité, l’on a du mal à comprendre que des dépenses faramineuses soient faites pour des missions de certaines autorités à l’étranger alors même que sur place, tout le monde n’est pas encore identifié. Et qu’en plus de cela, il reste encore de l’argent à payer à l’opérateur technique. Il semble donc de ce point de vue évident que les missions de la Cei à l’étranger participent plus du prestige qu’à un soucis d’efficacité et d’équité dans cette opération. D’autant plus que la question identitaire sous jaçent qui pèse sur le processus en Côte d’Ivoire est la même en Europe. Ainsi donc, de peur d’être taxé de fraudeurs des milliers d’Ivoiriens vivant à l’étranger préfèrent rester dans leur coin. Or, cette tactique est loin d’être la panacée puisque porteuse de graves dangers.
JJ
Ce sont donc environ, soixante dix (70) mille ivoiriens de l’étranger qui seront enrôlés dans le cadre du processus d’identification qui a démarré depuis plusieurs mois en Côte d’Ivoire. Pour la première fois depuis le début de ce processus, le nombre de personnes à identifier a été fixé par le gouvernement ivoirien. Pourtant, ce chiffre semble en deçà du nombre réel d’ivoiriens à identifier en dehors du pays.
Que cache le gouvernement ivoirien?
Mais, en dépit de cela, seulement soixante dix mille Ivoiriens auront le privilège d’être identifiés. Pourquoi cela ? Pourquoi tient-on absolument à écarter des compatriotes d’u processus extrêmement important et qui a d’ailleurs servi de justificatif à ceux qui ont pris les armes en septembre 2002. Mais enfin, que cache réellement le gouvernement ivoirien en excluant des milliers de compatriotes ? Manifestement, il y a problème, même si comme d’habitude, personne n’a le courage de le poser afin qu’une solution soit trouvée. Car, en réalité, l’on a du mal à comprendre que des dépenses faramineuses soient faites pour des missions de certaines autorités à l’étranger alors même que sur place, tout le monde n’est pas encore identifié. Et qu’en plus de cela, il reste encore de l’argent à payer à l’opérateur technique. Il semble donc de ce point de vue évident que les missions de la Cei à l’étranger participent plus du prestige qu’à un soucis d’efficacité et d’équité dans cette opération. D’autant plus que la question identitaire sous jaçent qui pèse sur le processus en Côte d’Ivoire est la même en Europe. Ainsi donc, de peur d’être taxé de fraudeurs des milliers d’Ivoiriens vivant à l’étranger préfèrent rester dans leur coin. Or, cette tactique est loin d’être la panacée puisque porteuse de graves dangers.
JJ
