Show à l’américaine n’est pas une vaine formule : avec son spectacle gigantesque et kitsch, Tina Turner l’a prouvé hier soir (Ndlr, lundi), lors de la première de ses trois dates parisiennes - un troisième concert ayant été rajouté le 29 avril pour répondre à l’engouement des fans... Alors qu’elle a dû renoncer à deux performances londoniennes en raison d’une vilaine grippe (les concerts ont été reportés, bien entendu), la tigresse de 69 ans a assuré son show à Bercy. ça oui, elle a assuré ! Un divertissement à la mode de Las Vegas, millimétré et grandiose, réglé au détail près, calibré, avec scène à étages, musiciens en plateau, quatre danseuses, des acrobates, des effets pyrotechniques...
Difficile de ne pas apprécier la performance, encore époustouflante d’un point de vue physique et vocal, de la rugissante mamie du rock, bientôt 70 piges, qui a proposé un grand nombre de ce qu’il convient d’appeler ses standards : “c’est un récapitulatif de tout ce que j’ai fait par le passé, et j’espère que vous allez vous éclater”, prévenait-elle en début de show après son entrée depuis le plafond, sur Steamy Windows, en costume à paillettes savoureusement daté et signé de son ami Giorgio Armani.
Le kitsch n’aura jamais été aussi impressionnant, et, neuf ans après son dernier passage par l’Hexagone, qui avait rempli le Stade de France mais avait laissé des impressions mitigés, la salle parisienne a chaviré, le public reprenant What’s love got to do with it et se délectant des clins d’oeil cinématographiques à Mad Max et Goldeneye.
Encore au top dans neuf ans?
Purepeople.com
Difficile de ne pas apprécier la performance, encore époustouflante d’un point de vue physique et vocal, de la rugissante mamie du rock, bientôt 70 piges, qui a proposé un grand nombre de ce qu’il convient d’appeler ses standards : “c’est un récapitulatif de tout ce que j’ai fait par le passé, et j’espère que vous allez vous éclater”, prévenait-elle en début de show après son entrée depuis le plafond, sur Steamy Windows, en costume à paillettes savoureusement daté et signé de son ami Giorgio Armani.
Le kitsch n’aura jamais été aussi impressionnant, et, neuf ans après son dernier passage par l’Hexagone, qui avait rempli le Stade de France mais avait laissé des impressions mitigés, la salle parisienne a chaviré, le public reprenant What’s love got to do with it et se délectant des clins d’oeil cinématographiques à Mad Max et Goldeneye.
Encore au top dans neuf ans?
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