Annoncé pour les 14 et 15 mars derniers, l’opération d’identification et du recensement électoral des Ivoiriens de l’étranger tarde toujours à prendre son envol. Et pourtant, selon nos informations, c’est bien de commun accord que les structures chargées de cette opération, à l’issue d’une réunion au siège de la Commission électorale indépendante (CEI) ont décidé de mettre en place un programme. De ce fait, toutes les équipes devaient prendre les dispositions pour être sur le terrain. Mais à ce jour, seule la CEI est présente partout dans les dix neuf pays. Il s’agit du Maroc, de la Tunisie, du Burkina Faso, du Mali, du Sénégal, du Ghana, de la Guinée, de l’Afrique du Sud, des Etats Unies d’Amériques, du Canada, de la France, de l’Espagne, de l’Allemagne, de la Suisse, du Danemark, de la Grande Bretagne, de l’Italie, de la Belgique et de la Chine.
Et pourtant, il est souhaitable que toutes les énergies se conjuguent afin de résoudre ces détails, de sorte à optimiser les efforts et permettre que l’opération qui connaît un engouement en Côte d’Ivoire le soit également à l’étranger.
DS
Et pourtant, il est souhaitable que toutes les énergies se conjuguent afin de résoudre ces détails, de sorte à optimiser les efforts et permettre que l’opération qui connaît un engouement en Côte d’Ivoire le soit également à l’étranger.
DS