Pillage massif des forêts classées et sites interdits à l’exploitation du bois, contrebande, faux et usage de faux. Voici les charges imputables aux sociétés pilleuses qui ont pour noms African Industrie logée à San-Pédro et dont le Directeur Général se nomme Angelo Gardenal. Cette société n’est pas seule dans le crime de pillage des forêts. A cette entreprise, il faut ajouter la Covalma Industrie située à Issia avec pour responsable un certain Perez Ignacio, le Groupe Thanry dirigé par M. Le Ruyet Fabrice et la société dite SMCI dirigée par Dassi Giuliano et Dassi Simonet. Comment se prennent-ils ?
C’est que dès que la crise éclate le 19 septembre 2002, ces responsables cités plus haut et leurs complices tapis dans l’ombre, annoncent que les vraies raisons de la guerre sont à rechercher ailleurs. Ces ennemis de la Côte d’Ivoire parlent de crise identitaire avec son corollaire l’exclusion des ressortissants du Nord de la Côte d’Ivoire par ceux du Sud. Simple vernis pour maquiller les varies raisons qui constituent le pillage systématique des ressources agricoles, minières et forestières de ce pays. La puissance tutélaire, la France qui use dans cette guerre de sous-marinage a là, l’occasion de s’adonner derrière le rideau de fer au vol de ces richesses. Elle voulait longtemps exercer sa domination sur la Côte d’Ivoire, ce pays dit stratégique en Afrique de l’Ouest. L’exploitation du bois, ce secteur tant convoité comme l’une des ressources du développement du pays, tombe du fait de cette guerre injuste dans l’escarcelle des pions de la déstabilisation que sont les nommés : Perez Ignacio, Leruyet Fabrice, Gardenal Angelo et Dassi Giuliano qui s’adonnent à cœur joie. La mafia qu’ils représentent choisit d’exploiter frauduleusement au mépris des lois et à grande échelle les forêts classées et autres sites interdits à l’exploitation du bois, ce, avec la collaboration bien entendu des rebelles de Man. Au nombre des zones qui souffrent de ces crimes crapuleux, on peut citer les forêts classées de Guézon (Duékoué), de Goindébé (Odienné), de Sio (Taï) en passant par le parc national du Mont Péko (Bangolo) et les zones tampons de Biakaleu (Man) et celles de Glanleu, Daleu, Danané et Sipilou. Cette dérive criminelle de l’économie n’émeut pas ces affairistes qui s’adonnent à
la destruction massive desdites forêts. Ils sont aussi dans la contrebande sur toutes ses formes. Et arguent même de ce que l’Etat de Côte d’Ivoire ne peut rien contre eux. Ainsi ces responsables narguent les autorités ivoiriennes auxquelles ils apprennent qu’ils ont des parapluies atomiques au sein du ministère de l’environnement, des Eaux et forêts. Au moment où la moralisation de la vie publique bas son plein, le secteur du bois mérite d’être visité par le Président Laurent Gbagbo dans le cadre de l’opération mains propres. Car l’ampleur du pillage dont fait l’objet ces criminels donne du tournis. Il faut mettre de l’ordre dans ce secteur qui depuis septembre 2002 est l’otage des pilleurs sans foi, ni loi qui ont pour noms : Perez ignacio, Gardenal Angelo, Leruyet Fabrice et Dassi Giuliano qui se comportent dans les régions les plus touchées par la déforestation en « Seigneurs de guerre » ayant droit de vie et de mort sur la forêt en général et l’économie ivoirienne en particulier.
Prochainement dans notre publication, comment Covalma industrie et Perez Ignacio, African Industrie de Gardenal Angelo, la SMCI de Dassi Giuliano et le groupe Thanry de Leruyet Fabrice ont pu brasser plus de 300 milliards de nos francs dans le crime crapuleux d’exploitation frauduleuse de bois ivoirien avec la collaboration toute azimute des rebelles.
M. Gourou Gbama
Cel : 01 81 32 57
Email : gbamagourou@.fr
C’est que dès que la crise éclate le 19 septembre 2002, ces responsables cités plus haut et leurs complices tapis dans l’ombre, annoncent que les vraies raisons de la guerre sont à rechercher ailleurs. Ces ennemis de la Côte d’Ivoire parlent de crise identitaire avec son corollaire l’exclusion des ressortissants du Nord de la Côte d’Ivoire par ceux du Sud. Simple vernis pour maquiller les varies raisons qui constituent le pillage systématique des ressources agricoles, minières et forestières de ce pays. La puissance tutélaire, la France qui use dans cette guerre de sous-marinage a là, l’occasion de s’adonner derrière le rideau de fer au vol de ces richesses. Elle voulait longtemps exercer sa domination sur la Côte d’Ivoire, ce pays dit stratégique en Afrique de l’Ouest. L’exploitation du bois, ce secteur tant convoité comme l’une des ressources du développement du pays, tombe du fait de cette guerre injuste dans l’escarcelle des pions de la déstabilisation que sont les nommés : Perez Ignacio, Leruyet Fabrice, Gardenal Angelo et Dassi Giuliano qui s’adonnent à cœur joie. La mafia qu’ils représentent choisit d’exploiter frauduleusement au mépris des lois et à grande échelle les forêts classées et autres sites interdits à l’exploitation du bois, ce, avec la collaboration bien entendu des rebelles de Man. Au nombre des zones qui souffrent de ces crimes crapuleux, on peut citer les forêts classées de Guézon (Duékoué), de Goindébé (Odienné), de Sio (Taï) en passant par le parc national du Mont Péko (Bangolo) et les zones tampons de Biakaleu (Man) et celles de Glanleu, Daleu, Danané et Sipilou. Cette dérive criminelle de l’économie n’émeut pas ces affairistes qui s’adonnent à
la destruction massive desdites forêts. Ils sont aussi dans la contrebande sur toutes ses formes. Et arguent même de ce que l’Etat de Côte d’Ivoire ne peut rien contre eux. Ainsi ces responsables narguent les autorités ivoiriennes auxquelles ils apprennent qu’ils ont des parapluies atomiques au sein du ministère de l’environnement, des Eaux et forêts. Au moment où la moralisation de la vie publique bas son plein, le secteur du bois mérite d’être visité par le Président Laurent Gbagbo dans le cadre de l’opération mains propres. Car l’ampleur du pillage dont fait l’objet ces criminels donne du tournis. Il faut mettre de l’ordre dans ce secteur qui depuis septembre 2002 est l’otage des pilleurs sans foi, ni loi qui ont pour noms : Perez ignacio, Gardenal Angelo, Leruyet Fabrice et Dassi Giuliano qui se comportent dans les régions les plus touchées par la déforestation en « Seigneurs de guerre » ayant droit de vie et de mort sur la forêt en général et l’économie ivoirienne en particulier.
Prochainement dans notre publication, comment Covalma industrie et Perez Ignacio, African Industrie de Gardenal Angelo, la SMCI de Dassi Giuliano et le groupe Thanry de Leruyet Fabrice ont pu brasser plus de 300 milliards de nos francs dans le crime crapuleux d’exploitation frauduleuse de bois ivoirien avec la collaboration toute azimute des rebelles.
M. Gourou Gbama
Cel : 01 81 32 57
Email : gbamagourou@.fr