La presse sportive africaine doit faire preuve de plus de rigueur, d'objectivité et de professionnalisme. C'est l'appel lancé par le directeur de la communication de la Confédération Africaine de Football, Suleiman Habuba, au lendemain du premier championnat d'Afrique des Nations réservé aux joueurs locaux qui s'est déroulé en Côte d'Ivoire.A en croire le responsable de la communication de l'instance suprême du football africain, c'est en ayant cette prise de conscience que les journalistes peuvent prétendre à la liberté. Et à l'avancement de la corporation. Habuba Suleiman a souligné en outre un déficit de communication existant entre l'instance dirigeante du football africain et la presse sportive lors des grands rendez-vous.
" Lors des compétitions internationales, notamment les CAN (juniors, cadets et seniors), nous éprouvons d'énormes difficultés au niveau de l'attribution des accréditations. Il serait loisible pour nous d'avoir un interlocuteur afin de mener à bien notre travail. Pour cela, un poste est réservé à la CAF pour la presse. Il reviendra à la structure la mieux organisée ", a-t-il confié. Pour ce faire, il a souhaité des associations de journalistes sportifs capables de défendre les intérêts de ses membres d'une part. D'autre part, une organisation représentative qui pourrait servir d'interlocuteur entre les instances dirigeantes du sport en général et du football en particulier. Pour atteindre ces objectifs, les journalistes doivent toujours, selon Habuba, " se départir de toutes prises de position et de relations susceptibles de contrarier l'exercice de leur profession ". Mais surtout l'indépendance doit prévaloir dans l'exercice de leur fonction.
De Bouaffo
" Lors des compétitions internationales, notamment les CAN (juniors, cadets et seniors), nous éprouvons d'énormes difficultés au niveau de l'attribution des accréditations. Il serait loisible pour nous d'avoir un interlocuteur afin de mener à bien notre travail. Pour cela, un poste est réservé à la CAF pour la presse. Il reviendra à la structure la mieux organisée ", a-t-il confié. Pour ce faire, il a souhaité des associations de journalistes sportifs capables de défendre les intérêts de ses membres d'une part. D'autre part, une organisation représentative qui pourrait servir d'interlocuteur entre les instances dirigeantes du sport en général et du football en particulier. Pour atteindre ces objectifs, les journalistes doivent toujours, selon Habuba, " se départir de toutes prises de position et de relations susceptibles de contrarier l'exercice de leur profession ". Mais surtout l'indépendance doit prévaloir dans l'exercice de leur fonction.
De Bouaffo