Le lancement officiel du championnat national de première division dénommé Ligue 1 a officiellement eu lieu le 17 mars 2009, en fin de matinée, à l’hôtel Novotel. A cette occasion, M. Sory Diabaté, le président de la Ligue professionnelle, a invité tous les acteurs à travailler à l’amélioration de la qualité du jeu. Tirant les leçons du précédent exercice marqué par une vraie concurrence entre les prétendants au titre, il a indiqué que la FIF et la Ligue prendront en compte toutes les observations et remarques des arbitres, des commissaires aux matches, des inspecteurs des arbitres, etc. “Nous osons espérer qu’en 2009, nous connaîtrons plus de bonheur”, a-t-il soutenu.
Le patron de la LF a également annoncé les innovations susceptibles de donner de l’attrait à la L1 qui se déroulera aussi à Bouaké. Qui a démontré lors du Championnat d’Afrique des nations 2009 (CHAN) qu’il est toujours friand de football. Il est institué une conférence de presse d’après- match à laquelle les entraîneurs et les capitaines des équipes concernées devront obligatoirement se soumettre. Les joueurs doivent passer dans la zone mixte afin de donner la possibilité aux journalistes de leur poser des questions. Toutefois, ils ne sont soumis à aucune obligation de réponse.
Une émission spéciale sera diffusée chaque dimanche par la télévision. Elle a pour but de rendre plus visibles les prestations des joueurs, des arbitres et de tous ceux qui concourent au déroulement des rencontres.
Pour officier les matches, quatorze arbitres dont neuf internationaux et six réservistes ont été retenus par la Commission centrale des arbitres. Au vu de la liste des heureux élus, l’on remarque la jeunesse de bon nombre d’entre eux (La moyenxne est de 30 ans). Ce dont se réjouit le président de la CCA, M. Kouakou N’Dri. “Ce que nous apportons de plus, outre le critère physique, ce sont la jeunesse et la rigueur”. Et il s’en explique : “En son temps, lorsqu’un arbitre commettait une erreur qui n’avait pas d’incidence sur le résultat du match, il n’encourait pas de peine. Dorénavant, s’il commet une erreur ou une hésitation, qui a une incidence ou pas sur le résultat du match, l’arbitre en question doit être sanctionné. Ceci a pour objectif de lui inculquer le goût de la rigueur”.
La Commission centrale des arbitres, qui veut jouer à fond la carte de la qualité, a décidé de soumettre à nouveau tout arbitre défaillant à des tests d’aptitude physique. Ainsi ils prendront pleinement conscience de leur rôle. “Nous n’avons aucun intérêt à badiner car les dirigeants de club qui dépensent beaucoup d’argent ne doivent pas être lésés. Ils sont découragés par la multiplication des fautes d’arbitrage, ils pourraient laisser à la rue les jeunes gens à qui ils donnent les moyens de vivre. Et ceux- ci deviendraient dans ce cas un danger pour nous- mêmes. Il ne faut pas en arriver là”, insiste Kouakou N’Dri.
Il fait en outre savoir que le corps arbitral ivoirien a un gros challenge. Par la qualité de ses prestations, il doit parvenir à redorer son blason et se repositionner sur l’échiquier continental et international.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr
Le patron de la LF a également annoncé les innovations susceptibles de donner de l’attrait à la L1 qui se déroulera aussi à Bouaké. Qui a démontré lors du Championnat d’Afrique des nations 2009 (CHAN) qu’il est toujours friand de football. Il est institué une conférence de presse d’après- match à laquelle les entraîneurs et les capitaines des équipes concernées devront obligatoirement se soumettre. Les joueurs doivent passer dans la zone mixte afin de donner la possibilité aux journalistes de leur poser des questions. Toutefois, ils ne sont soumis à aucune obligation de réponse.
Une émission spéciale sera diffusée chaque dimanche par la télévision. Elle a pour but de rendre plus visibles les prestations des joueurs, des arbitres et de tous ceux qui concourent au déroulement des rencontres.
Pour officier les matches, quatorze arbitres dont neuf internationaux et six réservistes ont été retenus par la Commission centrale des arbitres. Au vu de la liste des heureux élus, l’on remarque la jeunesse de bon nombre d’entre eux (La moyenxne est de 30 ans). Ce dont se réjouit le président de la CCA, M. Kouakou N’Dri. “Ce que nous apportons de plus, outre le critère physique, ce sont la jeunesse et la rigueur”. Et il s’en explique : “En son temps, lorsqu’un arbitre commettait une erreur qui n’avait pas d’incidence sur le résultat du match, il n’encourait pas de peine. Dorénavant, s’il commet une erreur ou une hésitation, qui a une incidence ou pas sur le résultat du match, l’arbitre en question doit être sanctionné. Ceci a pour objectif de lui inculquer le goût de la rigueur”.
La Commission centrale des arbitres, qui veut jouer à fond la carte de la qualité, a décidé de soumettre à nouveau tout arbitre défaillant à des tests d’aptitude physique. Ainsi ils prendront pleinement conscience de leur rôle. “Nous n’avons aucun intérêt à badiner car les dirigeants de club qui dépensent beaucoup d’argent ne doivent pas être lésés. Ils sont découragés par la multiplication des fautes d’arbitrage, ils pourraient laisser à la rue les jeunes gens à qui ils donnent les moyens de vivre. Et ceux- ci deviendraient dans ce cas un danger pour nous- mêmes. Il ne faut pas en arriver là”, insiste Kouakou N’Dri.
Il fait en outre savoir que le corps arbitral ivoirien a un gros challenge. Par la qualité de ses prestations, il doit parvenir à redorer son blason et se repositionner sur l’échiquier continental et international.
Roger Okou Vabé rogerokou@yahoo.fr