Dans le cadre de ses rendez-vous mensuels avec la presse, le président de l’U.P.CI, le colonel-major Gnamien Konan est revenu sur les activités de son parti politique, la question sécuritaire suite à l’assassinat le 23 Février 2009 de son conseiller spécial, le cdt Kouadio Eugène, les questions d’actualité et des propositions face aux problèmes que rencontre au quotidien l’ensemble des Ivoiriens.Ci-dessous, la declaration de l’UDPCI lue par le SG,Soro Brahima.
I.LES ACTIVITES DU PARTI
En plus des tâches quotidiennes des structures du parti, de la base au sommet, en Février et Mars 2009, le Président du Parti a eu plusieurs rencontres. Ce sont d’abord, les meetings et autres parrainages d’activités organisés par les structures de base du parti et les militants. Ainsi, il s’est rendu à Yopougon et à Adjamé.
Ce sont ensuite, des audiences avec des personnalités de la communauté internationale. Le Président et des membres du directoire politique ont été successivement reçus par :
- le représentant du facilitateur en Côte d’Ivoire, M. BALDINI ;
- les responsables de la division des droits de l’homme de l’ONU-CI ;
- les responsables de la division des affaires politiques de l’ONU-CI ;
- et enfin le représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire, M. CHOÏ.
Au cours de ces audiences, le Président a exposé à ses différents interlocuteurs les préoccupations du parti qui tournent autour des points suivants :
- La nécessité de fixer une date précise pour les élections à venir ;
- La censure dont il fait l’objet au niveau des médias d’Etat.
- La question de la sécurité du Président et des membres de l’UPCI suite à l’assassinat du camarade KOUADIO N’GORAN EUGENE.
- La question de la discrimination de fait entre les candidats issus des accords de MARCOUSSIS et les autres quant aux critères d’éligibilité à la présidentielle.
Sur toutes ces questions, des échanges francs ont eu lieu entre la délégation de l’U.P.C.I. et les différentes personnalités rencontrées.
Ces dernières ont pris bonne note de nos préoccupations et ont toutes exprimé le souhait de poursuivre ces échanges dans l’avenir. Le Président les a toutes invitées à visiter le siège de l’U.P.C.I.
Nous saisissons l’opportunité de cette conférence de presse pour adresser les remerciements du parti à toutes ces autorités. Notre gratitude s’adresse particulièrement au représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire à qui nous avons proposé entre autre un sondage sur le poids des différents candidats à l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, la création d’une télévision africaine pour booster la démocratie en Afrique.
II.LA QUESTION SECURITAIRE
Dans l’après midi du lundi 23 février 2009, Mr KOUADIO N’Goran Eugène, Commandant des douanes, Conseiller du Président de l’U.P.C.I a été interpellé par des individus non identifiés dont l’un était vêtu d’une tenue militaire, à la station d’essence OILybia de la Riviera- Palmeraie, alors qu’il faisait la vidange de son véhicule de type 4x4. Après l’avoir formellement identifié, ces individus armés l’ont embarqué de force dans son véhicule et l’ont conduit à Abobo - baoulé où il a été abattu de plusieurs balles et abandonné dans son véhicule. Cet assassinat est intervenu au lendemain de la première intervention radiophonique de Mr GNAMIEN KONAN, Président de l’U.P.C.I, candidat déclaré à l’élection présidentielle, en direct sur les antennes de la radio nationale le dimanche 22 février 2009 de 10h à 12 h. C’est d’ailleurs le défunt qui avait effectué toutes les démarches préliminaires à cette intervention radiophonique. Cet assassinat, qui rappelle les pratiques des escadrons de la mort, est perçu par l’U.P.C.I comme une mise en garde adressée au Président GNAMIEN Konan et à tous les Ivoiriens qui aspirent au changement.
Face à ce fait gravissime et à ces coïncidences troublantes, le directoire politique de l’U.P.C.I, dans un communiqué de presse du 25 février 2009 a condamné et dénoncé cet assassinat. Nous avons engagé le gouvernement à élucider cette affaire et à mieux protéger les membres de l’U.P.C.I, son Président et l’ensemble des Ivoiriens.
Un mois après la disparition tragique de cet éminent cadre supérieur de l’Etat, aucune action d’envergure n’est menée par les autorités compétentes pour en savoir plus sur les circonstances de cette disparition. Cette indifférence des autorités nous amène à privilégier l’hypothèse de l’avertissement au candidat GNAMIEN Konan comme mobile de ce crime. En tout état de cause, quel que soit le mobile : crapuleux, règlement de compte ou politique, ce crime est l’une des nombreuses manifestations de l’insécurité généralisée dans laquelle baigne notre pays. Cette insécurité est fille de la grande misère des Ivoiriens. Ce gouvernement qui nous a plongés dans la misère se montre incapable de nous protéger. Les choses doivent changer.
III. L’ACTUALITE
Le processus électoral est visiblement bloqué. Personne ne connait les dates des différentes élections. Pire, les structures en charge de l’indentification des électeurs marchent au ralenti, faute de moyens financiers, clament-elles.
Outre ce constat, l’actualité en février et en ce mois de Mars a été marquée par les grèves des enseignants du secondaire public et du personnel de la santé. Ces grèves, qui ont paralysé durant plusieurs jours deux secteurs plus que vitaux, l’éducation nationale et la santé, ont un point commun : des revendications d’ordre salarial consécutives à des promesses non tenues du pouvoir.
Après avoir usé du bâton en suspendant le salaire des grévistes et en procédant à des arrestations, le pouvoir a fini par servir la carotte. Il conditionne cependant la réalisation de ses propres engagements à l’admission de notre pays dans le cercle très ouvert des nations pauvres, à travers l’initiative P.P.T.E (Pays Pauvre très endettés) dont le point de décision pourrait intervenir à la fin du mois de Mars. Une trêve est ainsi observée par les enseignants et le personnel de la santé. L’école pourrait donc être sauvée d’une année blanche qui s’annonçait et les malades seront soulagés. L’U.P.C.I. par ma voix :
-salue cette trêve ;
- soutient les enseignants et le personnel de la santé dans leurs revendications salariales légitimes, d’autant plus qu’elles relèvent de promesses non tenues par le gouvernement ;
- Dénonce l’irresponsabilité et la légèreté du gouvernement qui a fait des promesses démagogiques sans se donner les moyens de produire la richesse nécessaire à leur satisfaction.
Maintenant que tout est subordonné au P.P.T.E , qu’adviendra –t-il si, vu le potentiel de ce pays, au regard de la mauvaise gouvernance dont fait preuve les tenants du pouvoir (dépenses faramineuses et inopportunes pour le transfert de la capitale, sans appel d’offres, détournements de fonds dans la filière café cacao…), au soir du 31 mars 2009, nous ne sommes pas déclarés PPTE ?
Pour notre part, avec ou sans PPTE, les choses sont claires. Ces gouvernants ont suffisamment fait la preuve de leur incompétence et de leur incapacité à nous conduire au développement. Avec eux, la situation ne pourra aller que de mal en pis.. Elle ne s’améliorera pas, surtout face aux nouveaux défis qui s’imposent à nous : la crise alimentaire hier, la crise financière transformée en crise économique mondiale aujourd’hui. Ce gouvernement veut partager la misère car il veut résoudre les problèmes sociaux avec la manne du PPTE. Cette politique n’est pas viable. Nous, nous voulons partager la richesse que nous aurons au préalable créée par notre travail et l’application de notre projet. Il nous faut changer. Voici nos solutions.
IV. LES SOLUTIONS DE L’UPCI AUX PROBLEMES EVOQUES
1) De la date des élections
L’UPCI demande à toutes les entités (la société civile, les partis politiques non représentés au gouvernement et au parlement, la communauté internationale notamment…) Qui n’ont pas intérêt à ce que la situation actuelle perdure de faire pression sur les acteurs politiques concernés pour qu’ils fixent les dates butoir pour la tenue des différentes élections
2) De la transition sans les acteurs de la crise
Si au terme des dates butoires, les élections n’ont pu être organisées, l’U.P.C.I propose une transition de deux ans sans les principaux acteurs politiques impliqués directement ou indirectement dans la crise actuelle.
3) Les solutions aux problèmes sociaux
Le gouvernement actuel ne peut pas faire face aux problèmes sociaux des Ivoiriens, avec ou sans le PPTE. Nous devons, par les élections, changer ce gouvernement pour mener une politique économique de rupture marquée par :
- L’instauration de la bonne gouvernance en empêchant la corruption, les détournements de deniers publics, la gabegie. Ceci est un préalable à la réussite de tout programme de gouvernement, quel qu’il soit.
- La création de nouvelles richesses à partir d’investissements dans le domaine de l’agro- industrie. Nous ferons le choix de transformer nos matières premières agricoles pour avoir des produits finis à forte valeur ajoutée, destinés à l’exportation.
- Des offres d’emplois à l’immense population de jeunes diplômés chômeurs, délaissés par le gouvernement actuel, grâce à la politique de transformation de nos produits agricoles et à l’entrepreneuriat.
4) La mise en œuvre de la vision de monsieur Thierry Tan
Nous partageons la vision de Monsieur Thierry Tan exposée dans un DVD que nous avons pu visionner il y a un mois. Nous sommes en phase avec lui. Il projette le développement de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique à partir de la transformation sur place de nos productions agricoles pour obtenir des produits finis destinés à l’exportation. Cette vision cadre bien avec le point 8 de notre projet. Nous en ferons désormais une priorité, après la gouvernance, en ce qu’elle permet de résoudre la question du chômage. Nous réaliserons cette vision qui est semblable à la nôtre. Mon équipe et moi avons eu plusieurs échanges avec le professeur Tan et son staff à ce sujet.
Gnamien Konan
Président de l’U.P.C.I.
I.LES ACTIVITES DU PARTI
En plus des tâches quotidiennes des structures du parti, de la base au sommet, en Février et Mars 2009, le Président du Parti a eu plusieurs rencontres. Ce sont d’abord, les meetings et autres parrainages d’activités organisés par les structures de base du parti et les militants. Ainsi, il s’est rendu à Yopougon et à Adjamé.
Ce sont ensuite, des audiences avec des personnalités de la communauté internationale. Le Président et des membres du directoire politique ont été successivement reçus par :
- le représentant du facilitateur en Côte d’Ivoire, M. BALDINI ;
- les responsables de la division des droits de l’homme de l’ONU-CI ;
- les responsables de la division des affaires politiques de l’ONU-CI ;
- et enfin le représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire, M. CHOÏ.
Au cours de ces audiences, le Président a exposé à ses différents interlocuteurs les préoccupations du parti qui tournent autour des points suivants :
- La nécessité de fixer une date précise pour les élections à venir ;
- La censure dont il fait l’objet au niveau des médias d’Etat.
- La question de la sécurité du Président et des membres de l’UPCI suite à l’assassinat du camarade KOUADIO N’GORAN EUGENE.
- La question de la discrimination de fait entre les candidats issus des accords de MARCOUSSIS et les autres quant aux critères d’éligibilité à la présidentielle.
Sur toutes ces questions, des échanges francs ont eu lieu entre la délégation de l’U.P.C.I. et les différentes personnalités rencontrées.
Ces dernières ont pris bonne note de nos préoccupations et ont toutes exprimé le souhait de poursuivre ces échanges dans l’avenir. Le Président les a toutes invitées à visiter le siège de l’U.P.C.I.
Nous saisissons l’opportunité de cette conférence de presse pour adresser les remerciements du parti à toutes ces autorités. Notre gratitude s’adresse particulièrement au représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire à qui nous avons proposé entre autre un sondage sur le poids des différents candidats à l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, la création d’une télévision africaine pour booster la démocratie en Afrique.
II.LA QUESTION SECURITAIRE
Dans l’après midi du lundi 23 février 2009, Mr KOUADIO N’Goran Eugène, Commandant des douanes, Conseiller du Président de l’U.P.C.I a été interpellé par des individus non identifiés dont l’un était vêtu d’une tenue militaire, à la station d’essence OILybia de la Riviera- Palmeraie, alors qu’il faisait la vidange de son véhicule de type 4x4. Après l’avoir formellement identifié, ces individus armés l’ont embarqué de force dans son véhicule et l’ont conduit à Abobo - baoulé où il a été abattu de plusieurs balles et abandonné dans son véhicule. Cet assassinat est intervenu au lendemain de la première intervention radiophonique de Mr GNAMIEN KONAN, Président de l’U.P.C.I, candidat déclaré à l’élection présidentielle, en direct sur les antennes de la radio nationale le dimanche 22 février 2009 de 10h à 12 h. C’est d’ailleurs le défunt qui avait effectué toutes les démarches préliminaires à cette intervention radiophonique. Cet assassinat, qui rappelle les pratiques des escadrons de la mort, est perçu par l’U.P.C.I comme une mise en garde adressée au Président GNAMIEN Konan et à tous les Ivoiriens qui aspirent au changement.
Face à ce fait gravissime et à ces coïncidences troublantes, le directoire politique de l’U.P.C.I, dans un communiqué de presse du 25 février 2009 a condamné et dénoncé cet assassinat. Nous avons engagé le gouvernement à élucider cette affaire et à mieux protéger les membres de l’U.P.C.I, son Président et l’ensemble des Ivoiriens.
Un mois après la disparition tragique de cet éminent cadre supérieur de l’Etat, aucune action d’envergure n’est menée par les autorités compétentes pour en savoir plus sur les circonstances de cette disparition. Cette indifférence des autorités nous amène à privilégier l’hypothèse de l’avertissement au candidat GNAMIEN Konan comme mobile de ce crime. En tout état de cause, quel que soit le mobile : crapuleux, règlement de compte ou politique, ce crime est l’une des nombreuses manifestations de l’insécurité généralisée dans laquelle baigne notre pays. Cette insécurité est fille de la grande misère des Ivoiriens. Ce gouvernement qui nous a plongés dans la misère se montre incapable de nous protéger. Les choses doivent changer.
III. L’ACTUALITE
Le processus électoral est visiblement bloqué. Personne ne connait les dates des différentes élections. Pire, les structures en charge de l’indentification des électeurs marchent au ralenti, faute de moyens financiers, clament-elles.
Outre ce constat, l’actualité en février et en ce mois de Mars a été marquée par les grèves des enseignants du secondaire public et du personnel de la santé. Ces grèves, qui ont paralysé durant plusieurs jours deux secteurs plus que vitaux, l’éducation nationale et la santé, ont un point commun : des revendications d’ordre salarial consécutives à des promesses non tenues du pouvoir.
Après avoir usé du bâton en suspendant le salaire des grévistes et en procédant à des arrestations, le pouvoir a fini par servir la carotte. Il conditionne cependant la réalisation de ses propres engagements à l’admission de notre pays dans le cercle très ouvert des nations pauvres, à travers l’initiative P.P.T.E (Pays Pauvre très endettés) dont le point de décision pourrait intervenir à la fin du mois de Mars. Une trêve est ainsi observée par les enseignants et le personnel de la santé. L’école pourrait donc être sauvée d’une année blanche qui s’annonçait et les malades seront soulagés. L’U.P.C.I. par ma voix :
-salue cette trêve ;
- soutient les enseignants et le personnel de la santé dans leurs revendications salariales légitimes, d’autant plus qu’elles relèvent de promesses non tenues par le gouvernement ;
- Dénonce l’irresponsabilité et la légèreté du gouvernement qui a fait des promesses démagogiques sans se donner les moyens de produire la richesse nécessaire à leur satisfaction.
Maintenant que tout est subordonné au P.P.T.E , qu’adviendra –t-il si, vu le potentiel de ce pays, au regard de la mauvaise gouvernance dont fait preuve les tenants du pouvoir (dépenses faramineuses et inopportunes pour le transfert de la capitale, sans appel d’offres, détournements de fonds dans la filière café cacao…), au soir du 31 mars 2009, nous ne sommes pas déclarés PPTE ?
Pour notre part, avec ou sans PPTE, les choses sont claires. Ces gouvernants ont suffisamment fait la preuve de leur incompétence et de leur incapacité à nous conduire au développement. Avec eux, la situation ne pourra aller que de mal en pis.. Elle ne s’améliorera pas, surtout face aux nouveaux défis qui s’imposent à nous : la crise alimentaire hier, la crise financière transformée en crise économique mondiale aujourd’hui. Ce gouvernement veut partager la misère car il veut résoudre les problèmes sociaux avec la manne du PPTE. Cette politique n’est pas viable. Nous, nous voulons partager la richesse que nous aurons au préalable créée par notre travail et l’application de notre projet. Il nous faut changer. Voici nos solutions.
IV. LES SOLUTIONS DE L’UPCI AUX PROBLEMES EVOQUES
1) De la date des élections
L’UPCI demande à toutes les entités (la société civile, les partis politiques non représentés au gouvernement et au parlement, la communauté internationale notamment…) Qui n’ont pas intérêt à ce que la situation actuelle perdure de faire pression sur les acteurs politiques concernés pour qu’ils fixent les dates butoir pour la tenue des différentes élections
2) De la transition sans les acteurs de la crise
Si au terme des dates butoires, les élections n’ont pu être organisées, l’U.P.C.I propose une transition de deux ans sans les principaux acteurs politiques impliqués directement ou indirectement dans la crise actuelle.
3) Les solutions aux problèmes sociaux
Le gouvernement actuel ne peut pas faire face aux problèmes sociaux des Ivoiriens, avec ou sans le PPTE. Nous devons, par les élections, changer ce gouvernement pour mener une politique économique de rupture marquée par :
- L’instauration de la bonne gouvernance en empêchant la corruption, les détournements de deniers publics, la gabegie. Ceci est un préalable à la réussite de tout programme de gouvernement, quel qu’il soit.
- La création de nouvelles richesses à partir d’investissements dans le domaine de l’agro- industrie. Nous ferons le choix de transformer nos matières premières agricoles pour avoir des produits finis à forte valeur ajoutée, destinés à l’exportation.
- Des offres d’emplois à l’immense population de jeunes diplômés chômeurs, délaissés par le gouvernement actuel, grâce à la politique de transformation de nos produits agricoles et à l’entrepreneuriat.
4) La mise en œuvre de la vision de monsieur Thierry Tan
Nous partageons la vision de Monsieur Thierry Tan exposée dans un DVD que nous avons pu visionner il y a un mois. Nous sommes en phase avec lui. Il projette le développement de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique à partir de la transformation sur place de nos productions agricoles pour obtenir des produits finis destinés à l’exportation. Cette vision cadre bien avec le point 8 de notre projet. Nous en ferons désormais une priorité, après la gouvernance, en ce qu’elle permet de résoudre la question du chômage. Nous réaliserons cette vision qui est semblable à la nôtre. Mon équipe et moi avons eu plusieurs échanges avec le professeur Tan et son staff à ce sujet.
Gnamien Konan
Président de l’U.P.C.I.