L’affaire commence à faire grand bruit dans le milieu du showbiz en France. Le groupe ivoirien Sur Choc vient de traduire devant les tribunaux la société Electronics Arts Inc, leader mondial du marché du jeu vidéo pour piraterie et usage abusif d’une œuvre musicale dans un produit commercialisé.
Selon le communiqué de presse de la société Eyo Edition&Publishing, éditrice de l’album Magnum où a été extrait le titre Fou oh qui est au centre de la polémique, la puissante multinationale Electronics Arts Inc, leader mondial du marché du jeu vidéo et propriétaire des jeux vidéo Fifa Street, a piraté l’œuvre du groupe zouglou ivoirien. L’affaire est devant les tribunaux et c’est l’avocat Maître Dikpeu Eric Balé, avocat au barreau de Paris qui suit le dossier. La multinationale est poursuivie pour piraterie et usage abusif d’une œuvre musicale dans un produit commercialisé. Depuis l’exploitation du titre sur ce jeu vidéo distribué par Sony qui aurait été écoulé à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde, le groupe qui est membre de la Sacem où l’œuvre a déjà été déclarée n’a rien reçu. Approché le service juridique de la multinationale en France prétend avoir reçu l’autorisation d’un éditeur africain. Ce que ne reconnaissent le groupe et sa maison d’édition d’autant plus aucun contrat n’a pu être présenté à ce jour. En attendant le dénouement de cette affaire qui leur rapportera gros à coup sûr, le groupe Sur Choc prépare dans la sérénité son prochain album de 15 titres dont la sortie est prévue pour le mois d’avril prochain.
Selon le communiqué de presse de la société Eyo Edition&Publishing, éditrice de l’album Magnum où a été extrait le titre Fou oh qui est au centre de la polémique, la puissante multinationale Electronics Arts Inc, leader mondial du marché du jeu vidéo et propriétaire des jeux vidéo Fifa Street, a piraté l’œuvre du groupe zouglou ivoirien. L’affaire est devant les tribunaux et c’est l’avocat Maître Dikpeu Eric Balé, avocat au barreau de Paris qui suit le dossier. La multinationale est poursuivie pour piraterie et usage abusif d’une œuvre musicale dans un produit commercialisé. Depuis l’exploitation du titre sur ce jeu vidéo distribué par Sony qui aurait été écoulé à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde, le groupe qui est membre de la Sacem où l’œuvre a déjà été déclarée n’a rien reçu. Approché le service juridique de la multinationale en France prétend avoir reçu l’autorisation d’un éditeur africain. Ce que ne reconnaissent le groupe et sa maison d’édition d’autant plus aucun contrat n’a pu être présenté à ce jour. En attendant le dénouement de cette affaire qui leur rapportera gros à coup sûr, le groupe Sur Choc prépare dans la sérénité son prochain album de 15 titres dont la sortie est prévue pour le mois d’avril prochain.