Denis Kah Zion (président du GEPCI) : “Quand vous footballeurs professionnels, vous vous portez bien, nous vendons mieux nos journaux ici”

“Je suis là au nom des Editeurs de presse, des patrons de presse pour apporter notre contribution au jeune frère, Hamidou Fomba, pour tout le travail qu`il fait dans le monde du sport. Il a su imposer un quotidien sur la place, " Supersport ", qui aujourd`hui, tient une place importante, parce qu`il a un esprit managérial et c`est ce qui nous rassemble là ce matin. L`esprit managérial parce qu`il faut d`abord se faire connaître et pour cela il faut vendre l`image de l`entreprise, il faut vendre le produit qu`on fabrique. Et c`est ce qu`il sait faire et c`est ce qu`il fait. Nous voulons te dire merci.
Merci aussi pour ta courtoisie, ton humilité, et surtout le sens du devoir. Le devoir d`informer les sportifs ivoiriens. Merci pour tout et nous voulons que Dieu vous bénisse, tous tes collaborateurs et toi. Qu`il vous donne la force de continuer ce que vous faites. Je voudrais dire merci à nos footballeurs qui sont là et qui sont honorés, aujourd`hui, tous honorés. Même si c`est l`un d`entre eux, Baky, qui est honoré, ils le sont tous. Nous voulons leur dire merci pour tout ce qu`ils font pour la Côte d`Ivoire là où ils sont, loin de nous, sur les stades internationaux. Et je voudrais leur dire, et c`est Fomba qui me demande de le leur dire : " Quand vous vous portez mieux sur les terrains à l`étranger, nous vendons mieux nos journaux ici. Je voudrais vous dire merci parce que vous nous honorez et c`est avec plaisir que nous vous suivons sur nos petits écrans. C`est avec plaisir que nous nous retrouverons sur ce stade au même moment que vous. Vous le faites pour vous, mais vous le faites pour la Côte d`Ivoire. Merci à vous, à vos encadreurs et à la Fédération ivoirienne de football. Très cher frère Fomba, je voudrais tout simplement te dire que le GEPCI est à tes côtés. Et que c`est dur actuellement pour nos entreprises de presse, mais demain sera meilleur".
Je vous remercie.
Propos retranscris par
Joëlle M. Monnet
Photo : Patricia Ziahé