“C'est un honneur, un plaisir et une joie pour le comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football (FIF) d'assister à cette cérémonie. En matière de sport et de football en particulier, sans la presse, c'est difficile d'accompagner l'évènement. La presse nous accompagne et l'évènement sportif qui est le football, quand il est médiatisé, il mobilise. Et jusqu'à ce jour, la FIF et la presse ont travaillé main dans la main. Concernant les Eléphants, que faut-il dire ? Pour les profanes en matière de football, ils sont très émotifs. Mais je retiens cette phrase d'un ancien professeur : " football qui tue, football qui sauve " Si on n'a pas compris ces deux termes, on ne peut pas être un sportif. Parce que la défaite et la victoire font partie de notre quotidien. Aujourd'hui, au niveau de la FIF, nous avons un programme d'organisation et de programme de développement que nous poursuivons. Les résultats techniques tardent à venir mais nous sommes dans la phase d'effort. Et un jour, nous aurons la gloire. Voilà pourquoi, au nom du président Anouma, je tiens à remercier sincèrement le promoteur de ce prix et encourager Kalou Salomon. Je souhaite longue vie à notre équipe nationale et une meilleure collaboration entre la FIF et la presse. Merci à Baky pour son humilité, sa courtoisie et sa progression ".
Propos retranscris
par J.M.M
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par J.M.M