Nous ne sommes ni historien, ni politologue. Mais juste, un intellectuel qui comme les autres exprime humblement ses opinions, sa vision du monde et des choses (de la vie) et tente de les faire partager avec ses congénères. Ainsi, à la lumière de ce que vit notre chère patrie, et au regard des évènements politiques qui interviennent dans le monde, il nous a semblé important de rappeler à l’esprit de chacun d’entre nous, la destinée et surtout le combat politique de deux leaders esthètes, ceci pour notre propre gouverne. L’un a déposé les armes ; il s’agit de Franklin Delano Roosevelt, 32ème président des Etats-Unis d’Amérique. Et l’autre, Laurent Gbagbo, au gouvernail de son pays ; qu’il tient bravement et sagement. Mais pourquoi donc ces leaders parmi la kyrielle d’hommes exceptionnels que compte le monde ? Quelles leçons tirer de leur combat ? Ouvrons une lucarne sur la vie de ces deux hommes d’Etat hors du commun.
“Quand un grand homme ou une grande femme passe, sa renommée survit”, dit un proverbe chinois, voila pourquoi Franklin Roosevelt demeura toujours présent dans le cœur des américains. Issu d’une grande famille d’origine hollandaise, Roosevelt, après des études universitaires à Harvard en 1904, s’inscrivit au barreau de l’Etat de New York et s’engagea peu après dans la politique. Il fut successivement sénateur démocrate, ministre adjoint de la marine pendant la 2ème guerre mondiale. Atteint de poliomyélite en 1921, il fut contraint à la chaise roulante pour le reste de sa vie. Mais il puisa au plus profond de lui-même des forces extraordinaires pour continuer la lutte politique. La poigne de Cromwell lui permit d’être élu gouverneur de New York en 1932. Candidat du parti démocrate à l’élection présidentielle de 1932, il triomphe aisément du président en exercice, le républicain Hoover. Le peuple lui confiera trois autres mandats.
Présenter le Président Laurent Gbagbo serait faire un exercice d’écoliers qui récitent leurs leçons à tout bout de champs parce que la connaissant par cœur. Pour cela, en deux lignes, redécouvrons l’homme, histoire de ne pas vous lasser. Universitaire émérite, ce professeur d’histoire se révélera au commun des Ivoiriens par son courage et ses idées politiques. Il gagna très vite la confiance du peuple qui s’identifia à lui. En 1990, il fut élu député de Ouragahio et dix ans plus tard, président de la République en battant en 2000 le général Robert Gueï qui tenait les rênes du pouvoir.
Au-delà de la brève présentation de ces deux présidents voyons l’intérêt de notre choix. Si nous regardons de près la vie politique de Franklin Roosevelt et celle de Laurent Gbagbo, de nombreuses similitudes frappent notre esprit. Primo, leur parcours : tous les deux sont des universitaires. Secondo, ils sont entrés en politique et ont gravi progressivement les échelons. L’un a été sénateur et l’autre député. Une fois aguerris, ils sont passés au dernier étage de l’édifice pour déloger démocratiquement l’occupant. Puis, aussi curieux que cela puisse paraître, leurs charges présidentielles se sont déroulées à des périodes délicates de l’histoire de leurs pays : crise économique des années 30 et 2ème guerre mondiale pour Roosevelt et crise politique muée en rébellion armée pour Laurent Gbagbo. Dans l’exercice du pouvoir, tous les deux font la même promesse ; une nouvelle donne pour le peuple. L’Américain l’appellera “New Deal” et l’Ivoirien “Refondation”. Ces deux projets reposent sur des piliers quasi identiques : politique sociale hardie, assistance aux chômeurs, construction d’écoles, d’hôpitaux etc., aux U.S.A, et assistance maladie, gratuité de l’école, électrification des zones rurales etc., en Côte d’Ivoire.
Les grandes nations doivent posséder une diplomatie forte. Instruits de ce principe, Gbagbo et Roosevelt ont mis un point d’honneur dans les relations de leurs pays avec les autres. Ainsi, grâce au génie politique qui les caractérise, ils ont très souvent su faire rallier leurs protagonistes aux causes qu’ils défendent. Pour preuve, qui ne se souvient du rôle de premier plan joué par Roosevelt dans la reddition de l’Allemagne pendant la 2ème guerre mondiale et de celui de Laurent Gbagbo dans la fin du conflit ivoirien.
Les évènements heureux ou malheureux nous enseignent toujours quelque chose. Alors, quelles leçons tirer de la vie politique de Laurent Gbagbo et de Franklin Roosevelt ? Célébrer les grands hommes, c’est épouser leurs vertus. Aussi, en mettant en parallèle l’action politique de ces deux timoniers, notre objectif est-il non seulement de leur rendre hommage mais surtout de présenter des modèles à notre jeunesse. L’action politique n’a jamais progressé en ligne droite. Il y a souvent des plongées, des virages traumatisants, capables de faire abdiquer nombre d’entre nous. A ce propos, les exemples ne manquent pas. Mais quand l’on a un leader qui a une claire vision du chemin à parcourir et qui sait faire preuve de courage, d’humilité et surtout de patience, il va de soi que l’objectif visé reste à portée de main.
Alors, jeunesse de Côte d’Ivoire, peuple de Côte d’Ivoire, sachons écouter la voix du berger qu’est Laurent Gbagbo et partager sa vision et son chemin. Renouvelons notre bail avec le woody comme les enfants du pays de l’Oncle Sam l’ont fait quatre fois avec Franklin Delano Roosevelt. Oui quatre fois. Nous aussi, nous le pouvons et nous devons le faire pour la survie et la grandeur de notre cher pays. Alors un jour, nous chanterons à l’unisson ce bel hymne : Laurent Gbagbo comme Franklin Delano Roosevelt.
Albert Tahou Monhion Administrateur des services financiers 07 26 26 20/ 07 77 16 71
“Quand un grand homme ou une grande femme passe, sa renommée survit”, dit un proverbe chinois, voila pourquoi Franklin Roosevelt demeura toujours présent dans le cœur des américains. Issu d’une grande famille d’origine hollandaise, Roosevelt, après des études universitaires à Harvard en 1904, s’inscrivit au barreau de l’Etat de New York et s’engagea peu après dans la politique. Il fut successivement sénateur démocrate, ministre adjoint de la marine pendant la 2ème guerre mondiale. Atteint de poliomyélite en 1921, il fut contraint à la chaise roulante pour le reste de sa vie. Mais il puisa au plus profond de lui-même des forces extraordinaires pour continuer la lutte politique. La poigne de Cromwell lui permit d’être élu gouverneur de New York en 1932. Candidat du parti démocrate à l’élection présidentielle de 1932, il triomphe aisément du président en exercice, le républicain Hoover. Le peuple lui confiera trois autres mandats.
Présenter le Président Laurent Gbagbo serait faire un exercice d’écoliers qui récitent leurs leçons à tout bout de champs parce que la connaissant par cœur. Pour cela, en deux lignes, redécouvrons l’homme, histoire de ne pas vous lasser. Universitaire émérite, ce professeur d’histoire se révélera au commun des Ivoiriens par son courage et ses idées politiques. Il gagna très vite la confiance du peuple qui s’identifia à lui. En 1990, il fut élu député de Ouragahio et dix ans plus tard, président de la République en battant en 2000 le général Robert Gueï qui tenait les rênes du pouvoir.
Au-delà de la brève présentation de ces deux présidents voyons l’intérêt de notre choix. Si nous regardons de près la vie politique de Franklin Roosevelt et celle de Laurent Gbagbo, de nombreuses similitudes frappent notre esprit. Primo, leur parcours : tous les deux sont des universitaires. Secondo, ils sont entrés en politique et ont gravi progressivement les échelons. L’un a été sénateur et l’autre député. Une fois aguerris, ils sont passés au dernier étage de l’édifice pour déloger démocratiquement l’occupant. Puis, aussi curieux que cela puisse paraître, leurs charges présidentielles se sont déroulées à des périodes délicates de l’histoire de leurs pays : crise économique des années 30 et 2ème guerre mondiale pour Roosevelt et crise politique muée en rébellion armée pour Laurent Gbagbo. Dans l’exercice du pouvoir, tous les deux font la même promesse ; une nouvelle donne pour le peuple. L’Américain l’appellera “New Deal” et l’Ivoirien “Refondation”. Ces deux projets reposent sur des piliers quasi identiques : politique sociale hardie, assistance aux chômeurs, construction d’écoles, d’hôpitaux etc., aux U.S.A, et assistance maladie, gratuité de l’école, électrification des zones rurales etc., en Côte d’Ivoire.
Les grandes nations doivent posséder une diplomatie forte. Instruits de ce principe, Gbagbo et Roosevelt ont mis un point d’honneur dans les relations de leurs pays avec les autres. Ainsi, grâce au génie politique qui les caractérise, ils ont très souvent su faire rallier leurs protagonistes aux causes qu’ils défendent. Pour preuve, qui ne se souvient du rôle de premier plan joué par Roosevelt dans la reddition de l’Allemagne pendant la 2ème guerre mondiale et de celui de Laurent Gbagbo dans la fin du conflit ivoirien.
Les évènements heureux ou malheureux nous enseignent toujours quelque chose. Alors, quelles leçons tirer de la vie politique de Laurent Gbagbo et de Franklin Roosevelt ? Célébrer les grands hommes, c’est épouser leurs vertus. Aussi, en mettant en parallèle l’action politique de ces deux timoniers, notre objectif est-il non seulement de leur rendre hommage mais surtout de présenter des modèles à notre jeunesse. L’action politique n’a jamais progressé en ligne droite. Il y a souvent des plongées, des virages traumatisants, capables de faire abdiquer nombre d’entre nous. A ce propos, les exemples ne manquent pas. Mais quand l’on a un leader qui a une claire vision du chemin à parcourir et qui sait faire preuve de courage, d’humilité et surtout de patience, il va de soi que l’objectif visé reste à portée de main.
Alors, jeunesse de Côte d’Ivoire, peuple de Côte d’Ivoire, sachons écouter la voix du berger qu’est Laurent Gbagbo et partager sa vision et son chemin. Renouvelons notre bail avec le woody comme les enfants du pays de l’Oncle Sam l’ont fait quatre fois avec Franklin Delano Roosevelt. Oui quatre fois. Nous aussi, nous le pouvons et nous devons le faire pour la survie et la grandeur de notre cher pays. Alors un jour, nous chanterons à l’unisson ce bel hymne : Laurent Gbagbo comme Franklin Delano Roosevelt.
Albert Tahou Monhion Administrateur des services financiers 07 26 26 20/ 07 77 16 71