Le Patriote: La première édition de "Prix Ivoire" pour la Littérature africaine d’expression francophone a connu un franc succès. Vous lancez déjà la seconde édition, à quoi le public doit-il s’attendre cette année, comme innovations ?
IKF: Le public aura, encore, la participation de sommités de la Littérature africaine. Nous n’allons pas prendre les mêmes, nous allons faire participer d’autres icônes des lettres africaines. Pendant la première édition, des icônes telles que Seydou Badian, l’auteur du mythique roman "Sous l’orage", Aminata Sow Fall (La grève des Bàttu), Christiane Diop, Directrice de la célèbre maison d’édition "Présences Africaines". Cette année, d’autres auteurs de renom viendront. "Prix Ivoire" est, en fait, un prétexte pour faire venir, pendant une période donnée, des sommités, des auteurs, que le public n’a pas l’habitude de côtoyer, à Abidjan. C’est aussi le rendez-vous des auteurs qui ont fait rêver les uns et les autres par leurs œuvres. Certains feront partie du "Grand jury", qui est un jury international et d’autres seront simplement d’honorables invités. En tout cas, ce sera une belle soirée pendant laquelle la Littérature africaine, dans son ensemble, sera célébrée. Cette année, le public doit aussi s’attendre à un prix qui se veut un peu plus présent dans l’esprit des Ivoiriens, afin qu’il soit, à la longue, un label. Nous ne voulons pas que ce soit un prix réservé seulement à ceux qui s’intéressent au livre, mais, à tout le monde. Nous voulons que ce soit un prix populaire. Pour cela, il y aura deux innovations majeures : la valeur du prix, qui sera d’un million de Francs CFA symbolique (Parce qu’il y a des prix qui valent un Francs symbolique. Il y aura également, un concours littéraire dans toutes les écoles du District d’Abidjan pour inciter les élèves à la lecture et à s’imprègner de l’existence de "Prix Ivoire". Et de fortes récompenses seront attribuées aux lauréats.
LP : La littérature africaine d’expression francophone va au-delà de l’Afrique. De quelles régions du monde doivent provenir les postulants et comment postule-t-on ?
IKF : S’agissant des participations, "Prix Ivoire" est un concours ouvert. Après le lancement, nous envoyons des correspondances aux maisons d’éditio,n. L’éditeur- chargé de la promotion des publications parues chez lui- peut présenter directement sa sélection en envoyant les sept exemplaires de l’ouvrage à l’Association "Akwaba Culture" dont le siège est à Abidjan. Ce, avant le 31 juillet prochain. Mais, l’auteur aussi peut, lui-même, soumettre son ouvrage au concours. Pour le champ C’est un choix que nous avons fait, ce n’est pas de l’exclusion, le prix est ouvert à tous les auteurs, pourvu qu’ils soient africains, basés au Canada, au Magrheb, aux Caraïbes… Ce prix a pour but de faire la promotion de la Littérature africaine. Aussi faut-il noter que "Prix Ivoire" n’est pas un prix sectoriel. Tous les genres littéraires (théâtre, roman, poésie, Essai…) sont acceptés. Nous n’avons pas non plus voulu restreindre le champ thématique, puisque la Littérature c’est aussi la liberté. Tous les thèmes sont également acceptés.
LP : Sentez- vous l’engouement du public, des partenaires du livre et même de l’institutionnel autour du prix ?
IKF : Absolument ! Tout le monde a vu la soirée de récompense. Le prix est en train de prendre de l’ampleur, il faut que les gens nous fassent davantage confiance. Nous avons des promesses fermes de la part des annonceurs, partenaires et des autorités qui nous ont toujours accompagnés. En tout cas, la deuxième édition sera couronnée par une belle fête de la littérature africaine.
Par Jean- Antoine Doudou
IKF: Le public aura, encore, la participation de sommités de la Littérature africaine. Nous n’allons pas prendre les mêmes, nous allons faire participer d’autres icônes des lettres africaines. Pendant la première édition, des icônes telles que Seydou Badian, l’auteur du mythique roman "Sous l’orage", Aminata Sow Fall (La grève des Bàttu), Christiane Diop, Directrice de la célèbre maison d’édition "Présences Africaines". Cette année, d’autres auteurs de renom viendront. "Prix Ivoire" est, en fait, un prétexte pour faire venir, pendant une période donnée, des sommités, des auteurs, que le public n’a pas l’habitude de côtoyer, à Abidjan. C’est aussi le rendez-vous des auteurs qui ont fait rêver les uns et les autres par leurs œuvres. Certains feront partie du "Grand jury", qui est un jury international et d’autres seront simplement d’honorables invités. En tout cas, ce sera une belle soirée pendant laquelle la Littérature africaine, dans son ensemble, sera célébrée. Cette année, le public doit aussi s’attendre à un prix qui se veut un peu plus présent dans l’esprit des Ivoiriens, afin qu’il soit, à la longue, un label. Nous ne voulons pas que ce soit un prix réservé seulement à ceux qui s’intéressent au livre, mais, à tout le monde. Nous voulons que ce soit un prix populaire. Pour cela, il y aura deux innovations majeures : la valeur du prix, qui sera d’un million de Francs CFA symbolique (Parce qu’il y a des prix qui valent un Francs symbolique. Il y aura également, un concours littéraire dans toutes les écoles du District d’Abidjan pour inciter les élèves à la lecture et à s’imprègner de l’existence de "Prix Ivoire". Et de fortes récompenses seront attribuées aux lauréats.
LP : La littérature africaine d’expression francophone va au-delà de l’Afrique. De quelles régions du monde doivent provenir les postulants et comment postule-t-on ?
IKF : S’agissant des participations, "Prix Ivoire" est un concours ouvert. Après le lancement, nous envoyons des correspondances aux maisons d’éditio,n. L’éditeur- chargé de la promotion des publications parues chez lui- peut présenter directement sa sélection en envoyant les sept exemplaires de l’ouvrage à l’Association "Akwaba Culture" dont le siège est à Abidjan. Ce, avant le 31 juillet prochain. Mais, l’auteur aussi peut, lui-même, soumettre son ouvrage au concours. Pour le champ C’est un choix que nous avons fait, ce n’est pas de l’exclusion, le prix est ouvert à tous les auteurs, pourvu qu’ils soient africains, basés au Canada, au Magrheb, aux Caraïbes… Ce prix a pour but de faire la promotion de la Littérature africaine. Aussi faut-il noter que "Prix Ivoire" n’est pas un prix sectoriel. Tous les genres littéraires (théâtre, roman, poésie, Essai…) sont acceptés. Nous n’avons pas non plus voulu restreindre le champ thématique, puisque la Littérature c’est aussi la liberté. Tous les thèmes sont également acceptés.
LP : Sentez- vous l’engouement du public, des partenaires du livre et même de l’institutionnel autour du prix ?
IKF : Absolument ! Tout le monde a vu la soirée de récompense. Le prix est en train de prendre de l’ampleur, il faut que les gens nous fassent davantage confiance. Nous avons des promesses fermes de la part des annonceurs, partenaires et des autorités qui nous ont toujours accompagnés. En tout cas, la deuxième édition sera couronnée par une belle fête de la littérature africaine.
Par Jean- Antoine Doudou