Après plus de deux semaines de fermeture de l’établissement pour cause de grève, les cours ont repris depuis mardi dernier dans les différentes écoles de l’Institut national polytechnique Houphouet-Boigny (Inp-HB) de Yamoussoukro. Mais pour en arriver-là, chacun des étudiants a dû se soumettre à la signature d’un engagement de bonne conduite. Condition sine qua non de leur réadmission dans l’établissement.
Au nom de la direction générale, Akpro Bessékon Paul, secrétaire général de l’Inp-hb, a expliqué que l’absence de ce document important dans le dossier d’inscription des étudiants cette année les a amenés à des dérives. «C’est pourquoi nous sommes revenus là-dessus pour leur réadmission à l’Inp-hb». Brou Dégré Paul, directeur financier de école, a fait savoir, pour sa part, que la signature de cet engagement individuel est la réponse à la faillite de l’autodiscipline qui devrait avoir cours dans l’enseignement supérieur.
Désormais donc, les étudiants se sont engagés, à l’avenir, à ne plus commettre d’actes susceptibles de troubler le bon fonctionnement de l’institut ; à ne plus détruire de biens et équipements ou à nuire à leurs camarades étudiants. Ils s’engagent également au respect de l’administration et de l’ensemble du personnel de l’Inp-HB etc. Un tour dans les différentes écoles a permis de voir que les cours se déroulent sans accroc. Blinsi Gueudé Paul, inspecteur de filière à l’Ecole supérieure de l’industrie (Esi), et ses collègues des autres filières sont formels pour dire que «tout se déroule bien jusqu’à présent». Abondant dans le même sens, Brou Noël Koffi, assistant pédagogique à l’Ecole supérieure de commerce et d’administration des entreprises (Escae), se veut plus précis: «Sur un effectif de 569 étudiants, 516 ont déjà pointé présent soit 91%», a-t-il indiqué. Pour Gbaka Alfred, directeur de l’Escae, il s’agit maintenant à travers une réunion bilan de tout remettre dans le sens de la marche : re-programmation des heures perdues, départs en stage etc. Pour ce qui est de la plate-forme revendicative des étudiants, N’Zi Camille, sous-directeur de la programmation, a fait savoir qu’avant le débrayage, un début de solution avait été trouvé.
Coulibaly Souleymane
Correspondant régional
Au nom de la direction générale, Akpro Bessékon Paul, secrétaire général de l’Inp-hb, a expliqué que l’absence de ce document important dans le dossier d’inscription des étudiants cette année les a amenés à des dérives. «C’est pourquoi nous sommes revenus là-dessus pour leur réadmission à l’Inp-hb». Brou Dégré Paul, directeur financier de école, a fait savoir, pour sa part, que la signature de cet engagement individuel est la réponse à la faillite de l’autodiscipline qui devrait avoir cours dans l’enseignement supérieur.
Désormais donc, les étudiants se sont engagés, à l’avenir, à ne plus commettre d’actes susceptibles de troubler le bon fonctionnement de l’institut ; à ne plus détruire de biens et équipements ou à nuire à leurs camarades étudiants. Ils s’engagent également au respect de l’administration et de l’ensemble du personnel de l’Inp-HB etc. Un tour dans les différentes écoles a permis de voir que les cours se déroulent sans accroc. Blinsi Gueudé Paul, inspecteur de filière à l’Ecole supérieure de l’industrie (Esi), et ses collègues des autres filières sont formels pour dire que «tout se déroule bien jusqu’à présent». Abondant dans le même sens, Brou Noël Koffi, assistant pédagogique à l’Ecole supérieure de commerce et d’administration des entreprises (Escae), se veut plus précis: «Sur un effectif de 569 étudiants, 516 ont déjà pointé présent soit 91%», a-t-il indiqué. Pour Gbaka Alfred, directeur de l’Escae, il s’agit maintenant à travers une réunion bilan de tout remettre dans le sens de la marche : re-programmation des heures perdues, départs en stage etc. Pour ce qui est de la plate-forme revendicative des étudiants, N’Zi Camille, sous-directeur de la programmation, a fait savoir qu’avant le débrayage, un début de solution avait été trouvé.
Coulibaly Souleymane
Correspondant régional