La place Bardot de San Pedro servira de cadre, le samedi 4 avril, au meeting qu’animera le président du comité de soutien à l’Accord politique de Ouagadougou, Kima Emile, par ailleurs ambassadeur de la paix.
Il qualifie cette rencontre d’historique d’autant plus qu’il rassemblera, selon lui, 15.000 à 20.000 Burkinabé et ressortissants de l’espace Cedeao vivant à San Pedro et banlieue.
Le président Kima Emile entend livrer un message de paix, à partir de San Pedro. Il parlera, à n’en point douter, de l’opération d’identification et du recensement électoral. «Comme je l’ai toujours dit, l’enrôlement est l’affaire des Ivoiriens. C’est pourquoi, depuis le lancement de cette opération qui va aboutir aux élections, je combats les fraudeurs», lance-t-il, à la cantonade.
Parlant justement d’irrégularités, de fraudes, Kima Emile dit ne pas comprendre l’attitude de certains agents des Forces de l’ordre qui, au lieu de mettre les fraudeurs à la disposition de la Justice, les libèrent moyennant quelques billets de banque.
A ceux qui seraient tentés de se rendre coupables de fraude, l’ambassadeur de la paix fait savoir ceci: «La Côte d’Ivoire est un pays où il y a toutes sortes de nationalités. Mais, quand on est dans un pays qui n’est pas le sien, malgré son hospitalité ou son sens d’ouverture, il faut respecter ses lois. Les étrangers doivent se mettre à l’écart de l’opération d’enrôlement».
Kima Emile estime qu’en tant que leader d’opinion, il se doit de donner les vraies informations à ses compatriotes burkinabé et même à ses frères de la Cedeao. Lesquels, soutiendra-t-il, «n’oublieront jamais la suppression des cartes de séjour décidée par le Président Laurent Gbagbo».
Il a ensuite fait remarquer qu’après les trois premiers mois qui ont suivi, «17.000 Burkinabè ont fait leurs cartes consulaires». Et d’ajouter: «Cela nous procure une grande joie et nous en sommes fiers».
Autres points sur lesquels Kima Emile veut s’attarder, la bonne cohabitation et la cohésion sociale, source de paix. Il parlera également de l’Accord politique de Ouagadougou qui, selon lui, «marche bien, même s’il n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière».
Après San Pedro, le président du comité de soutien à l’Accord politique de Ouaga, se rendra notamment à Soubré, Méagui, Divo…et Bouaké. Où il animera des meetings.
A travers cette tournée de sensibilisation, Kima Emile recherche une seule chose : le retour de la paix en Côte d’Ivoire.
Emmanuel Kouassi
Il qualifie cette rencontre d’historique d’autant plus qu’il rassemblera, selon lui, 15.000 à 20.000 Burkinabé et ressortissants de l’espace Cedeao vivant à San Pedro et banlieue.
Le président Kima Emile entend livrer un message de paix, à partir de San Pedro. Il parlera, à n’en point douter, de l’opération d’identification et du recensement électoral. «Comme je l’ai toujours dit, l’enrôlement est l’affaire des Ivoiriens. C’est pourquoi, depuis le lancement de cette opération qui va aboutir aux élections, je combats les fraudeurs», lance-t-il, à la cantonade.
Parlant justement d’irrégularités, de fraudes, Kima Emile dit ne pas comprendre l’attitude de certains agents des Forces de l’ordre qui, au lieu de mettre les fraudeurs à la disposition de la Justice, les libèrent moyennant quelques billets de banque.
A ceux qui seraient tentés de se rendre coupables de fraude, l’ambassadeur de la paix fait savoir ceci: «La Côte d’Ivoire est un pays où il y a toutes sortes de nationalités. Mais, quand on est dans un pays qui n’est pas le sien, malgré son hospitalité ou son sens d’ouverture, il faut respecter ses lois. Les étrangers doivent se mettre à l’écart de l’opération d’enrôlement».
Kima Emile estime qu’en tant que leader d’opinion, il se doit de donner les vraies informations à ses compatriotes burkinabé et même à ses frères de la Cedeao. Lesquels, soutiendra-t-il, «n’oublieront jamais la suppression des cartes de séjour décidée par le Président Laurent Gbagbo».
Il a ensuite fait remarquer qu’après les trois premiers mois qui ont suivi, «17.000 Burkinabè ont fait leurs cartes consulaires». Et d’ajouter: «Cela nous procure une grande joie et nous en sommes fiers».
Autres points sur lesquels Kima Emile veut s’attarder, la bonne cohabitation et la cohésion sociale, source de paix. Il parlera également de l’Accord politique de Ouagadougou qui, selon lui, «marche bien, même s’il n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière».
Après San Pedro, le président du comité de soutien à l’Accord politique de Ouaga, se rendra notamment à Soubré, Méagui, Divo…et Bouaké. Où il animera des meetings.
A travers cette tournée de sensibilisation, Kima Emile recherche une seule chose : le retour de la paix en Côte d’Ivoire.
Emmanuel Kouassi