Une nouvelle affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat est mise au grand jour. Cette fois, un conseiller de Gbagbo est impliqué.
Le conseiller du président Laurent Gbagbo chargé des cultes, des religions et des traditions, Oré Gnézé Jacques, a été mis aux arrêts, le 27 mars. Il est écroué à la brigade de recherche où des éléments du groupement de la documentation et de la recherche de la gendarmerie l’ont conduit après l’avoir appréhendé. A l’origine de cette arrestation, une nouvelle affaire de coup d’Etat. Selon des sources proches de l’enquête, Oré Gnézé a tenté de renverser Laurent Gbagbo.
Le 23 mars, le conseiller du chef de l’Etat aurait informé le colonel Dogbo, commandant militaire du palais, que suite à une vision, un coup d’Etat serait en préparation par des officiers des Fanci. Puis, lui, Oré Gnézé, serait porté au pouvoir par des militaires. Pendant ses échanges avec l’officier supérieur, le conseiller ignorait qu’il était enregistré par une camera cachée. Le 24 mars, le cabinet civil du président de la République est saisi de l’affaire et en informe Gbagbo. C’est après avoir visionné la cassette, que Laurent Gbagbo a saisi le procureur de la République, Tchimou Raymond. Selon un officier proche du dossier, Oré Gnézé accuse Kuyo Tea Narcisse, le chef de cabinet du président, le général Pierre Lorougnon de l’Ansi et le professeur Krékré Firmin d’être à la base de son malheur. Il faut souligner qu’une perquisition a eu lieu, hier, au domicile et au bureau du conseiller du président de la République, chargé des cultes. L’affaire Oré Gnézé suit son cours.
Bahi K.
Le conseiller du président Laurent Gbagbo chargé des cultes, des religions et des traditions, Oré Gnézé Jacques, a été mis aux arrêts, le 27 mars. Il est écroué à la brigade de recherche où des éléments du groupement de la documentation et de la recherche de la gendarmerie l’ont conduit après l’avoir appréhendé. A l’origine de cette arrestation, une nouvelle affaire de coup d’Etat. Selon des sources proches de l’enquête, Oré Gnézé a tenté de renverser Laurent Gbagbo.
Le 23 mars, le conseiller du chef de l’Etat aurait informé le colonel Dogbo, commandant militaire du palais, que suite à une vision, un coup d’Etat serait en préparation par des officiers des Fanci. Puis, lui, Oré Gnézé, serait porté au pouvoir par des militaires. Pendant ses échanges avec l’officier supérieur, le conseiller ignorait qu’il était enregistré par une camera cachée. Le 24 mars, le cabinet civil du président de la République est saisi de l’affaire et en informe Gbagbo. C’est après avoir visionné la cassette, que Laurent Gbagbo a saisi le procureur de la République, Tchimou Raymond. Selon un officier proche du dossier, Oré Gnézé accuse Kuyo Tea Narcisse, le chef de cabinet du président, le général Pierre Lorougnon de l’Ansi et le professeur Krékré Firmin d’être à la base de son malheur. Il faut souligner qu’une perquisition a eu lieu, hier, au domicile et au bureau du conseiller du président de la République, chargé des cultes. L’affaire Oré Gnézé suit son cours.
Bahi K.