Je tiens à vous remercier de votre présence à cette conférence de presse à laquelle je vous convie ce matin. Conférence de presse voulue et souhaitée par mes pairs, membres de la CNDPCI et qui sera l’occasion pour moi de répondre aux attaques gratuites et non fondées d’un confrère. Ces manoeuvres anti-confraternelles et calomnieuses sont de Denis K Zion. Et elles méritent d’être dénoncées avec la dernière énergie. La presse dans son entièreté et sa diversité doit se dresser contre de tels comportements qui ne doivent plus prospérer dans notre milieu. C’est malheureux qu’un patron de presse tombe à bras raccourcis sur des rumeurs dans le seul et unique but de nuire. Autant la nouvelle loi sur la presse protège les journalistes que nous sommes autant elle est combattue par les ennemis de la presse. C’est donc un débat qui est ouvert. Et je me suis toujours opposé à tous ceux qui veulent contourner cette loi pour jeter les journalistes en prison. Que K Zion ne se trompe pas de combat et d’adversaires.
De quoi s’agit-il ?
Dans sa parution No 2183 du Mercredi 01 Avril 2009, le Nouveau Réveil n’a présenté à ses lecteurs comme instigateur avec Me Kossougro de l’arrestation de Nanankou Gnamantêh, journaliste au sein du groupe le Nouveau Réveil dans l’affaire « Ali Baba et les 40 voleurs ». Mais aussi curieuse que cela puisse paraître, l’article signé de Akwaba Saint Clair ci-devant Rédacteur en Chef Central du Nouveau Réveil, ne mentionne nullement en quoi j’ai œuvré aux ennuis judiciaires de Gnamantêh. L’auteur à travers une gymnastique digne de vrai prestidigitateur s’est contenté de pondre un récit insipide cousu de supputations, de rumeurs et de suppositions qui ne dit rien sur ma supposée participation à l’arrestation de Gnamantêh. Je relève que cette accusation portée contre ma personne est dénuée de tout fondement et relève de l’imagination très fertile de Denis K. Zion et de son journaliste, auteur par procuration de l’article incriminé, qui font la tempête dans un verre d’eau pour paraître comme des martyrs. Je tiens à rappeler pour la gouverne du confrère K. Zion, que Patrice POHE épris du sens élevé de la confraternité a toujours été présent là où il y a lieu de défendre la cause du journaliste. Cet élan de solidarité faisant partie de mon être, s’est encore manifesté autour de Gnamantêh et Edy PEHE. Et Dieu seul sait ce que j’ai pu faire dans ce cas d’espèce. Je lève donc une vive protestation contre l’attitude hasardeuse et attentatoire à ma réputation du Nouveau Réveil que par un jeu de mauvais aloi où l’on tente de me faire passer pour le contraire de ce que suis en réalité. A mon confrère et frère K. Zion qui visiblement est devenu paranoïaque, je lui demande de se ressaisir et d’arrêter de jouer les tribus assiégées à tout vent. J’exige des excuses publiques et me réserve le droit de donner une suite à cette affaire si K. Zion ne fait pas amende honorable.
PatrIce POHE
Journaliste Professionnel
Président de la Conférence Nationale des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire
De quoi s’agit-il ?
Dans sa parution No 2183 du Mercredi 01 Avril 2009, le Nouveau Réveil n’a présenté à ses lecteurs comme instigateur avec Me Kossougro de l’arrestation de Nanankou Gnamantêh, journaliste au sein du groupe le Nouveau Réveil dans l’affaire « Ali Baba et les 40 voleurs ». Mais aussi curieuse que cela puisse paraître, l’article signé de Akwaba Saint Clair ci-devant Rédacteur en Chef Central du Nouveau Réveil, ne mentionne nullement en quoi j’ai œuvré aux ennuis judiciaires de Gnamantêh. L’auteur à travers une gymnastique digne de vrai prestidigitateur s’est contenté de pondre un récit insipide cousu de supputations, de rumeurs et de suppositions qui ne dit rien sur ma supposée participation à l’arrestation de Gnamantêh. Je relève que cette accusation portée contre ma personne est dénuée de tout fondement et relève de l’imagination très fertile de Denis K. Zion et de son journaliste, auteur par procuration de l’article incriminé, qui font la tempête dans un verre d’eau pour paraître comme des martyrs. Je tiens à rappeler pour la gouverne du confrère K. Zion, que Patrice POHE épris du sens élevé de la confraternité a toujours été présent là où il y a lieu de défendre la cause du journaliste. Cet élan de solidarité faisant partie de mon être, s’est encore manifesté autour de Gnamantêh et Edy PEHE. Et Dieu seul sait ce que j’ai pu faire dans ce cas d’espèce. Je lève donc une vive protestation contre l’attitude hasardeuse et attentatoire à ma réputation du Nouveau Réveil que par un jeu de mauvais aloi où l’on tente de me faire passer pour le contraire de ce que suis en réalité. A mon confrère et frère K. Zion qui visiblement est devenu paranoïaque, je lui demande de se ressaisir et d’arrêter de jouer les tribus assiégées à tout vent. J’exige des excuses publiques et me réserve le droit de donner une suite à cette affaire si K. Zion ne fait pas amende honorable.
PatrIce POHE
Journaliste Professionnel
Président de la Conférence Nationale des Directeurs de Publication de Côte d’Ivoire