L`Africa Sports National, le champion ivoirien, est sorti prématurément comme la saison dernière de la Ligue des champions. L`aventure du club du président Kuyo Téa n`a duré que le temps de deux matches. Un résultat qui n`honore nullement le club Vert et Rouge. Etre champion, deux années consécutives et se faire éliminer au premier tour par deux fois, cela suppose que le mal est profond. Quelles sont les raisons de la désillusion du champion ivoirien ?
Un président aux idées inadaptées
Le président actuel de l`Africa Sports a eu le mérite d`offrir au club Vert et Rouge deux titres consécutifs. Mais dans le fond, l`Africa, sous l`ère Kuyo, n`a rien apporté de plus au plan organisationnel du club. Le club n`a mis en place aucune politique véritable de formation pour assurer la relève. Le recrutement tous azimuts opéré par le club a une conséquence indirecte. Lorsque les joueurs décident de partir, la difficulté de la relève s`impose .Tout comme l`Africa, l`Asec connaît l`instabilité de son effectif chaque saison. Mais contrairement à l`Africa, l`Asec possède une pépinière dans laquelle il puisse pour assurer la relève. La formation s`impose comme la solution au départ massif chaque saison. Sinon ce sera l`éternel recommencement. L`Africa ne dispose pas de relève compétente et le club ne peut non plus conserver ses meilleurs joueurs de la saison. L`idée assez particulière du président Kuyo de ne pas payer de prime de signature éloigne inévitablement les bons et expérimentés joueurs du club. Dans un tel cas, l`aventure de l`Africa en Ligue des champions ne peut être que brêve.
Un club de plus en plus contestataire
L`Africa Sports s`illustre depuis deux années comme le club le plus contestataire. La casse du stade Félix Houphouët Boigny, l`invitation au boycott du sponsor d`alors, le refus de jouer la finale de la coupe Houphouët Boigny, sont autant d`illustrations. Les dirigeants Vert et Rouge, en s`invitant à ces conflits souvent inutiles, n`ont plus l`énergie nécessaire pour gérer en bien le club. En réalité, le club Vert et Rouge a besoin de nouveaux dirigeants avec des inspirations nouvelles. C`est vrai que les présidents se succèdent, mais en réalité ce sont les mêmes collaborateurs qui sont là. Depuis Zinsou en passant par Doré, Donwahi à Kuyo, ce sont ces mêmes dirigeants dont le seul mérite consiste à faire et défaire les présidents. Cette élimination prématurée du club Vert et Rouge en Ligue des Champions, son mauvais début de la Ligue 1 et la démission de son entraîneur sont des signaux forts pour les dirigeants.
De Bouaffo
Un président aux idées inadaptées
Le président actuel de l`Africa Sports a eu le mérite d`offrir au club Vert et Rouge deux titres consécutifs. Mais dans le fond, l`Africa, sous l`ère Kuyo, n`a rien apporté de plus au plan organisationnel du club. Le club n`a mis en place aucune politique véritable de formation pour assurer la relève. Le recrutement tous azimuts opéré par le club a une conséquence indirecte. Lorsque les joueurs décident de partir, la difficulté de la relève s`impose .Tout comme l`Africa, l`Asec connaît l`instabilité de son effectif chaque saison. Mais contrairement à l`Africa, l`Asec possède une pépinière dans laquelle il puisse pour assurer la relève. La formation s`impose comme la solution au départ massif chaque saison. Sinon ce sera l`éternel recommencement. L`Africa ne dispose pas de relève compétente et le club ne peut non plus conserver ses meilleurs joueurs de la saison. L`idée assez particulière du président Kuyo de ne pas payer de prime de signature éloigne inévitablement les bons et expérimentés joueurs du club. Dans un tel cas, l`aventure de l`Africa en Ligue des champions ne peut être que brêve.
Un club de plus en plus contestataire
L`Africa Sports s`illustre depuis deux années comme le club le plus contestataire. La casse du stade Félix Houphouët Boigny, l`invitation au boycott du sponsor d`alors, le refus de jouer la finale de la coupe Houphouët Boigny, sont autant d`illustrations. Les dirigeants Vert et Rouge, en s`invitant à ces conflits souvent inutiles, n`ont plus l`énergie nécessaire pour gérer en bien le club. En réalité, le club Vert et Rouge a besoin de nouveaux dirigeants avec des inspirations nouvelles. C`est vrai que les présidents se succèdent, mais en réalité ce sont les mêmes collaborateurs qui sont là. Depuis Zinsou en passant par Doré, Donwahi à Kuyo, ce sont ces mêmes dirigeants dont le seul mérite consiste à faire et défaire les présidents. Cette élimination prématurée du club Vert et Rouge en Ligue des Champions, son mauvais début de la Ligue 1 et la démission de son entraîneur sont des signaux forts pour les dirigeants.
De Bouaffo