PARIS - La France estime que l'organisation d'élections libres en 2009 en Côte d'Ivoire est possible avec la mobilisation de tous les acteurs, a déclaré mercredi le ministère français des Affaires étrangères.
"L'organisation d'élections libres, transparentes, justes et démocratiques en Côte d'Ivoire en 2009 constitue pour la France la priorité. Avec la mobilisation de tous les acteurs, cet objectif peut être atteint", a déclaré le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
"La France invite donc les autorités ivoiriennes à redoubler d'efforts pour que l'identification (des électeurs) puisse être achevée. Elle les appelle également à annoncer dans les meilleurs délais les étapes à venir d'ici à la tenue du scrutin ainsi que la date de celui-ci, qui devra être respectée", a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis avaient estimé mardi dans un communiqué qu'un scrutin présidentiel, sans cesse reporté depuis 2005, était "encore techniquement possible" en Côte d'Ivoire.
Fin mars, le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, avait déclaré qu'il n'était "pas optimiste" sur la tenue cette année d'une élection présidentielle en Côte d'Ivoire. "J'aimerais y croire. Mais je suis un peu découragé", avait-il déclaré à l'hebdomadaire Jeune Afrique.
"L'organisation d'élections libres, transparentes, justes et démocratiques en Côte d'Ivoire en 2009 constitue pour la France la priorité. Avec la mobilisation de tous les acteurs, cet objectif peut être atteint", a déclaré le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Frédéric Desagneaux.
"La France invite donc les autorités ivoiriennes à redoubler d'efforts pour que l'identification (des électeurs) puisse être achevée. Elle les appelle également à annoncer dans les meilleurs délais les étapes à venir d'ici à la tenue du scrutin ainsi que la date de celui-ci, qui devra être respectée", a-t-il ajouté.
Les Etats-Unis avaient estimé mardi dans un communiqué qu'un scrutin présidentiel, sans cesse reporté depuis 2005, était "encore techniquement possible" en Côte d'Ivoire.
Fin mars, le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, avait déclaré qu'il n'était "pas optimiste" sur la tenue cette année d'une élection présidentielle en Côte d'Ivoire. "J'aimerais y croire. Mais je suis un peu découragé", avait-il déclaré à l'hebdomadaire Jeune Afrique.