Mme Simone Ehivet Gbagbo a appelé, samedi depuis Abobo, les Ivoiriens à l’unité, au rassemblement et à la mobilisation pour relever le défi de la reconstruction de la Côte d’Ivoire. «Aujourd’hui, l’épreuve à la quelle Dieu nous soumet consiste à démontrer au monde entier que nous sommes capables, entre Ivoiriens, de nous rassembler, de nous unir, pour dépasser les mécontentements, les afflictions, les détresses, les rancoeurs, les humiliations ; pour ensemble, réaliser, créer, organiser, dans la nation ivoirienne, une nation forte, une nation moderne, une nation qui sort de toute la pagaille du passé, une nation qui va être capable de produire de la richesse pour ses enfants», a lancé la Première dame. C’était à la cérémonie d’investiture du bureau national de la Coordination pour la mouvance présidentielle (Cmp) dont elle était la patronne, au stade des 4 étages d’Abobo. Elle a expliqué à la population sortie massivement, que ce travail de la réconciliation de la Côte d’Ivoire et de sa remise sur les rails du développement ne sera fait que par les Ivoiriens et eux seuls, et non par «les Blancs» ou quelques «étrangers» que ce soient.
«Aujourd’hui, a ajouté Mme Gbagbo, le défi que tous les Ivoiriens doivent relever, c’est que notre Etat ivoirien demeure entre les mains des Ivoiriens». Mais, a-t-elle insisté, cela ne signifie pas qu’il faut fermer le pays aux étrangers ou que le pouvoir doit ballonner l’opposition. Selon ses explications, il s’agit pour les Ivoiriens, de défendre leur patrie «coûte que coûte» d’une part. Et de créer des conditions de vie paisible pour les étrangers de l’autre. «Est-ce que nous sommes prêts, tout en défendant cette terre que Dieu nous a donnée, à ouvrir les bras pour accueillir les étrangers chez nous et que nous soyons capables d’organiser leur séjour sans qu’ils créent la pagaille chez nous ?». Une interrogation à laquelle la foule a répondu en chœur, par l’affirmative. «Si nous en sommes capables, Dieu nous donnera et les moyens, et les idées et les tactiques et la technicité de réussir et gagner ce combat», a renchéri la patronne de la cérémonie. Avant d’inviter les Ivoiriens à s’unir, se mobiliser et à «poser des actes citoyens».
Mme Simone Ehivet Gbagbo a en outre, expliqué que le Président de la République demeure à son poste «malgré la bourrasque, malgré les difficultés, malgré l’humiliation, malgré tous ces ennemis du monde entier qui, à un moment donné, s’étaient ligués contre lui», parce qu’il a su mettre l’intérêt de la nation tout entière au-dessus de son intérêt particulier. Elle a rendu un vibrant hommage à Laurent Dona-Fologo pour son combat pour la République. Puis elle a également félicité El Hadj Coulibaly Mamadou, le président de la Coordination pour la mouvance présidentielle. Mme Gbagbo a invité le nouveau mouvement au travail, notamment à s’impliquer dans l’opération d’identification qui, a-t-elle dit, va reprendre.
Pascal Soro
«Aujourd’hui, a ajouté Mme Gbagbo, le défi que tous les Ivoiriens doivent relever, c’est que notre Etat ivoirien demeure entre les mains des Ivoiriens». Mais, a-t-elle insisté, cela ne signifie pas qu’il faut fermer le pays aux étrangers ou que le pouvoir doit ballonner l’opposition. Selon ses explications, il s’agit pour les Ivoiriens, de défendre leur patrie «coûte que coûte» d’une part. Et de créer des conditions de vie paisible pour les étrangers de l’autre. «Est-ce que nous sommes prêts, tout en défendant cette terre que Dieu nous a donnée, à ouvrir les bras pour accueillir les étrangers chez nous et que nous soyons capables d’organiser leur séjour sans qu’ils créent la pagaille chez nous ?». Une interrogation à laquelle la foule a répondu en chœur, par l’affirmative. «Si nous en sommes capables, Dieu nous donnera et les moyens, et les idées et les tactiques et la technicité de réussir et gagner ce combat», a renchéri la patronne de la cérémonie. Avant d’inviter les Ivoiriens à s’unir, se mobiliser et à «poser des actes citoyens».
Mme Simone Ehivet Gbagbo a en outre, expliqué que le Président de la République demeure à son poste «malgré la bourrasque, malgré les difficultés, malgré l’humiliation, malgré tous ces ennemis du monde entier qui, à un moment donné, s’étaient ligués contre lui», parce qu’il a su mettre l’intérêt de la nation tout entière au-dessus de son intérêt particulier. Elle a rendu un vibrant hommage à Laurent Dona-Fologo pour son combat pour la République. Puis elle a également félicité El Hadj Coulibaly Mamadou, le président de la Coordination pour la mouvance présidentielle. Mme Gbagbo a invité le nouveau mouvement au travail, notamment à s’impliquer dans l’opération d’identification qui, a-t-elle dit, va reprendre.
Pascal Soro