Le 4 avril dernier, a eu lieu à Louoboua, dans le département d'Issia, une cérémonie d'hommage au ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré. Peut-on revenir sur le sens de cette manifestation ?
Cette fête à l'honneur du ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré s'explique par les actes du ministre durant cette crise. Grâce à son génie, le funeste dessein de la France d'asphyxier notre économie, s'est soldé par un échec. Dans cette lutte contre le colon, le ministre a été en première ligne de la résistance économique. Il est l'un des piliers forts du Président de la République. Il fallait l'éteindre. Mais il a résisté. C'est son courage que nous avons célébré.
Si vous devez faire un bilan, diriez-vous que vous êtes satisfait ?
Je suis à la fois satisfait et heureux. Parce que c'est une première, dans l'histoire de mon village, Louoboua, qu'une fête à dimension nationale est organisée. Un village qualifié il y a quelques jours de primitif, rentre ainsi dans la modernité. Nous avons eu des invités de marque. Au nombre desquels, on peut citer les directeurs généraux des douanes, du Bnetd, de l'économie, etc. Tous les chefs des villages étaient présents. Le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré nous a instruits, avec sérénité et sagesse.
Qu'avez-vous eu en terme de retombées ?
En terme de retombées, le village a gagné beaucoup de choses. Deux jours avant la fête, toutes les rues ont été profilées, grâce au ministre d'Etat. Une télévision a été offerte aux jeunes, une décortiqueuse aux femmes. Il y a eu la pose de la première pierre du foyer des jeunes. Le dossier de l'adduction en eau potable a fait un bond. Un pont sera construit sur la rivière Dabro, sur l'axe Saïoua-Daloa. Le village sera doté d'un préau moderne. Nous avons obtenu tout cela du ministre.
On a malheureusement noté l'absence d'un certain nombre de cadres…
Ils ont peut-être leur raison. Certains ont boycotté parce que c'est moi qui organisais. On a eu des échos. Pourquoi pas eux. Vous savez, c'est une première. Et pour eux, je les défie. C'est une manière de les écraser. C'est dommage. Ce n'est pas mon intention. Je suis pour le développement de mon village.
Réalisé par : Tché Bi Tché
Cette fête à l'honneur du ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré s'explique par les actes du ministre durant cette crise. Grâce à son génie, le funeste dessein de la France d'asphyxier notre économie, s'est soldé par un échec. Dans cette lutte contre le colon, le ministre a été en première ligne de la résistance économique. Il est l'un des piliers forts du Président de la République. Il fallait l'éteindre. Mais il a résisté. C'est son courage que nous avons célébré.
Si vous devez faire un bilan, diriez-vous que vous êtes satisfait ?
Je suis à la fois satisfait et heureux. Parce que c'est une première, dans l'histoire de mon village, Louoboua, qu'une fête à dimension nationale est organisée. Un village qualifié il y a quelques jours de primitif, rentre ainsi dans la modernité. Nous avons eu des invités de marque. Au nombre desquels, on peut citer les directeurs généraux des douanes, du Bnetd, de l'économie, etc. Tous les chefs des villages étaient présents. Le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré nous a instruits, avec sérénité et sagesse.
Qu'avez-vous eu en terme de retombées ?
En terme de retombées, le village a gagné beaucoup de choses. Deux jours avant la fête, toutes les rues ont été profilées, grâce au ministre d'Etat. Une télévision a été offerte aux jeunes, une décortiqueuse aux femmes. Il y a eu la pose de la première pierre du foyer des jeunes. Le dossier de l'adduction en eau potable a fait un bond. Un pont sera construit sur la rivière Dabro, sur l'axe Saïoua-Daloa. Le village sera doté d'un préau moderne. Nous avons obtenu tout cela du ministre.
On a malheureusement noté l'absence d'un certain nombre de cadres…
Ils ont peut-être leur raison. Certains ont boycotté parce que c'est moi qui organisais. On a eu des échos. Pourquoi pas eux. Vous savez, c'est une première. Et pour eux, je les défie. C'est une manière de les écraser. C'est dommage. Ce n'est pas mon intention. Je suis pour le développement de mon village.
Réalisé par : Tché Bi Tché
