La réaction du porte-parole de la primature suite à la demande de démission de Guillaume Soro n’a pas été du goût des représentants du secrétaire général des Forces nouvelles. Pour le lui faire signifier, Sékongo Félicien, conseiller spécial du secrétaire général des Forces nouvelles en relation avec les associations et mouvements de la société civile a animé un point de presse le mercredi 15 avril 2009.
Selon M. Sékongo « M. Méïté Sindou est le porte-parole du premier ministre ; il n’est donc pas le porte-parole du secrétaire général des Forces nouvelles. Les délégués se sont adressés au secrétaire général des Forces nouvelles ; il appartient au secrétaire général ou à son porte-parole d’intervenir au nom du secrétaire général. Donc les propos de Méïté Sindou n’engagent que sa personne et sa fonction de porte- parole de la primature ». A l’en croire « le porte-parole n’est pas celui qui crée des sujets à débattre. Il se charge de transmettre ce qu’on lui demande de transmettre ». Enfonçant le clou, il a déclaré que « M. Méïté Sindou n’est pas membre du directoire politique des Forces nouvelles ; il n’est non plus membre du cabinet du secrétariat général ; il n’appartient à aucune structure des Forces nouvelles à notre connaissance. Il ne peut donc pas réagir au nom du secrétaire général des Forces nouvelles ». Avant d’inviter les délégués à ne pas se « fier à la réaction de Méïté Sindou qui n’engage que sa personne ». Revenant sur l’avancement des Fds/Fn pour équilibrer les deux armées, Sékongo Félicien a expliqué qu’« en demandant au Secrétaire général des Forces nouvelles l’avancement des militaires cela n’entrave en rien l’avancée du processus, ni n’entrave la conduite du processus. Bien au contraire, cela contribue à établir cet équilibre ».
Bosco de Paré
Selon M. Sékongo « M. Méïté Sindou est le porte-parole du premier ministre ; il n’est donc pas le porte-parole du secrétaire général des Forces nouvelles. Les délégués se sont adressés au secrétaire général des Forces nouvelles ; il appartient au secrétaire général ou à son porte-parole d’intervenir au nom du secrétaire général. Donc les propos de Méïté Sindou n’engagent que sa personne et sa fonction de porte- parole de la primature ». A l’en croire « le porte-parole n’est pas celui qui crée des sujets à débattre. Il se charge de transmettre ce qu’on lui demande de transmettre ». Enfonçant le clou, il a déclaré que « M. Méïté Sindou n’est pas membre du directoire politique des Forces nouvelles ; il n’est non plus membre du cabinet du secrétariat général ; il n’appartient à aucune structure des Forces nouvelles à notre connaissance. Il ne peut donc pas réagir au nom du secrétaire général des Forces nouvelles ». Avant d’inviter les délégués à ne pas se « fier à la réaction de Méïté Sindou qui n’engage que sa personne ». Revenant sur l’avancement des Fds/Fn pour équilibrer les deux armées, Sékongo Félicien a expliqué qu’« en demandant au Secrétaire général des Forces nouvelles l’avancement des militaires cela n’entrave en rien l’avancée du processus, ni n’entrave la conduite du processus. Bien au contraire, cela contribue à établir cet équilibre ».
Bosco de Paré