Le directeur de l’administration et des ressources humaines du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Pannan Coulibaly, était jeudi face à la presse, pour faire le point sur la situation de ce département ministériel.
Il s’agissait pour l’orateur de faire d’une part, l’état des lieux en matière de personnels enseignants et chercheurs et d’autre part d’indiquer les modalités de recrutement et les mesures gouvernementales pour faire face au déficit d’enseignants dans le supérieur.
Le directeur de l’administration et des ressources humaines, faisant l’état des lieux, a dénoncé le déficit d’enseignants dans le supérieur. A l’en croire, il faut aujourd’hui 175 assistants et 37 assistants chefs de clinique, pour combler le déficit. Afin de ramener un peu l’écart entre les 79401 étudiants que comptent les universités, pour 2099 enseignants et 144 chercheurs.
Au niveau du recrutement, entre 1998 et 2009, 1070 assistants ont été recrutés pour 1684 postes disponibles. Pour donc pallier ce manque d’engouement des diplômés ivoiriens pour l’enseignement supérieur, le gouvernement a fait certaines réformes. Dont le retour au décrochage, l’appui financier à certaines structures de l’enseignement supérieur, l’appui à la recherche et de nouvelles dispositions pour le départ à la retraite et bien d’autres réformes. Malgré tout, ce n’est toujours pas la grande affluence. C’est pourquoi le ministère de l’Enseignement supérieur entend initier des missions à l’étranger, en vue d’inciter les jeunes ivoiriens détenteurs d’un doctorat, à regagner le pays, et dispenser des cours à l’université.
Marc Yevou
Il s’agissait pour l’orateur de faire d’une part, l’état des lieux en matière de personnels enseignants et chercheurs et d’autre part d’indiquer les modalités de recrutement et les mesures gouvernementales pour faire face au déficit d’enseignants dans le supérieur.
Le directeur de l’administration et des ressources humaines, faisant l’état des lieux, a dénoncé le déficit d’enseignants dans le supérieur. A l’en croire, il faut aujourd’hui 175 assistants et 37 assistants chefs de clinique, pour combler le déficit. Afin de ramener un peu l’écart entre les 79401 étudiants que comptent les universités, pour 2099 enseignants et 144 chercheurs.
Au niveau du recrutement, entre 1998 et 2009, 1070 assistants ont été recrutés pour 1684 postes disponibles. Pour donc pallier ce manque d’engouement des diplômés ivoiriens pour l’enseignement supérieur, le gouvernement a fait certaines réformes. Dont le retour au décrochage, l’appui financier à certaines structures de l’enseignement supérieur, l’appui à la recherche et de nouvelles dispositions pour le départ à la retraite et bien d’autres réformes. Malgré tout, ce n’est toujours pas la grande affluence. C’est pourquoi le ministère de l’Enseignement supérieur entend initier des missions à l’étranger, en vue d’inciter les jeunes ivoiriens détenteurs d’un doctorat, à regagner le pays, et dispenser des cours à l’université.
Marc Yevou