Suite à la rencontre à la Présidence le 13 mars 2009, l’espoir de la définition de la nouvelle bonification indiciaire des enseignants du secondaire général et du technique dans la première quinzaine du mois d’avril, avait gagné le corps enseignant. Ce délai a expiré sans que l’horizon ne s’éclaircisse pour les enseignants du second degré de Côte d’Ivoire. Au grand dam des syndicats réunis au sein d’un mouvement de 4 associations qui donnent de la voix. Une nouvelle grogne de leur part aurait une incidence fâcheuse sur la tenue des examens de fin d’année. Explications..
Le vendredi 13 mars 2009, le président de la République SEM Laurent Gbagbo a reçu le Mouvement des Syndicats de l’Enseignement secondaire général et technique de Côte d’Ivoire. Les leaders de ce mouvement qui regroupe quatre associations notamment le Synesci de Soro Mamadou, la Cesci de N’Dri Michel, le Synafeptci de Abonga Jean Yves Koutouan et Solidarité de Sabalogo Adou, ont exposé ce jour les motivations de l’arrêt de travail qui a paralysé totalement l’école. Ce sont, pour rappel, la signature du décret adoptant la grille revalorisée des indices des enseignants du secondaire et la date des effets financiers de cette grille, le paiement des 17 mois d’arriérés de salaires des enseignants maintenus en poste après le décret 2007-695 relatif au profil de carrière et le reversement intégral de tous les salaires précomptés par l’Etat pour fait de grève. Ainsi que l’arrêt de toutes les mesures répressives contre les grévistes, la libération des 229 grévistes arrêtés les 10 et 11 mars 2009 et l’annulation des mesures de mutations et blâmes prises à l’encontre de certains enseignants. Instruit directement de ces doléances par Soro Mamadou, porte-parole dudit mouvement, le Président de la République avait annoncé certaines mesures qui vont dans le sens de la satisfaction des doléances corporatistes et celles liées à la tenue de la grève.
Le vendredi 13 mars 2009, le président de la République SEM Laurent Gbagbo a reçu le Mouvement des Syndicats de l’Enseignement secondaire général et technique de Côte d’Ivoire. Les leaders de ce mouvement qui regroupe quatre associations notamment le Synesci de Soro Mamadou, la Cesci de N’Dri Michel, le Synafeptci de Abonga Jean Yves Koutouan et Solidarité de Sabalogo Adou, ont exposé ce jour les motivations de l’arrêt de travail qui a paralysé totalement l’école. Ce sont, pour rappel, la signature du décret adoptant la grille revalorisée des indices des enseignants du secondaire et la date des effets financiers de cette grille, le paiement des 17 mois d’arriérés de salaires des enseignants maintenus en poste après le décret 2007-695 relatif au profil de carrière et le reversement intégral de tous les salaires précomptés par l’Etat pour fait de grève. Ainsi que l’arrêt de toutes les mesures répressives contre les grévistes, la libération des 229 grévistes arrêtés les 10 et 11 mars 2009 et l’annulation des mesures de mutations et blâmes prises à l’encontre de certains enseignants. Instruit directement de ces doléances par Soro Mamadou, porte-parole dudit mouvement, le Président de la République avait annoncé certaines mesures qui vont dans le sens de la satisfaction des doléances corporatistes et celles liées à la tenue de la grève.
