La guerre des mots entre le chanteur Asalfo et Kabila son ex manager vient de faire une victime. Le jeune animateur de la télé Marcellin Govoei vient de payer cash son audace sur les antennes de la RTI. Cette guerre désormais souterraine n’est pas encore finie.
Marcellin Govoei a été suspendu parce qu’il a reçu le zouglouman Asalfo sur les antennes de la télé le lundi 13 juin, jour de Pâques. Lendemain du festival des musiques urbaines organisé par Asalfo. Ce jour là, l’artiste devrait faire le bilan de son festival. Mais il était véritablement remonté contre ceux qui ont voulu faire capoter son projet et les mots pour le dire ont été clairs, nets, précis et ciblés. Chacun pouvait se faire une idée des personnes visées. Il a dénoncé l’hypocrisie du milieu zouglou et s’est prononcé sur une éventuelle invitation au festival zouglou organisé par son ex manager. Il a dit (avec un air dépité et ironique) que s’il était invité, il répondrait présent mais à ses conditions à lui. Et a aussi dit qu’il ne doit rien à personne car au lieu de le critiquer, certains artistes et leur clan feraient mieux de saisir les bonnes opportunités qu’il leur tend au lieu de bouder comme ils l’ont fait royalement lors du festival. Ces paroles ont-elles gênées ou dérangées au point d’amener les responsables de la télé à suspendre l’animateur de ce jour ? Apparemment tous ceux qui ont été égratignés seront heureux de la décision de ses patrons. Pour l’instant, il n’est pas question d’un éventuel retour à l’antenne et Marcellin risque payer cher s’il ne fait pas amende honorable s’il est établi que la faute professionnel est consommée. Son remplaçant a été désigné. C’est sûr ses patrons ont certainement de bonnes raisons. Mais où met-on la liberté de parole ? L’animateur pouvait –il contrôler en direct les paroles de son invité ? C’est visiblement une victime collatérale de cette guerre souterraine.
Marcellin Govoei a été suspendu parce qu’il a reçu le zouglouman Asalfo sur les antennes de la télé le lundi 13 juin, jour de Pâques. Lendemain du festival des musiques urbaines organisé par Asalfo. Ce jour là, l’artiste devrait faire le bilan de son festival. Mais il était véritablement remonté contre ceux qui ont voulu faire capoter son projet et les mots pour le dire ont été clairs, nets, précis et ciblés. Chacun pouvait se faire une idée des personnes visées. Il a dénoncé l’hypocrisie du milieu zouglou et s’est prononcé sur une éventuelle invitation au festival zouglou organisé par son ex manager. Il a dit (avec un air dépité et ironique) que s’il était invité, il répondrait présent mais à ses conditions à lui. Et a aussi dit qu’il ne doit rien à personne car au lieu de le critiquer, certains artistes et leur clan feraient mieux de saisir les bonnes opportunités qu’il leur tend au lieu de bouder comme ils l’ont fait royalement lors du festival. Ces paroles ont-elles gênées ou dérangées au point d’amener les responsables de la télé à suspendre l’animateur de ce jour ? Apparemment tous ceux qui ont été égratignés seront heureux de la décision de ses patrons. Pour l’instant, il n’est pas question d’un éventuel retour à l’antenne et Marcellin risque payer cher s’il ne fait pas amende honorable s’il est établi que la faute professionnel est consommée. Son remplaçant a été désigné. C’est sûr ses patrons ont certainement de bonnes raisons. Mais où met-on la liberté de parole ? L’animateur pouvait –il contrôler en direct les paroles de son invité ? C’est visiblement une victime collatérale de cette guerre souterraine.