Le Conseil national de la presse ne veut plus tolérer aux journalistes “les violations constantes relatives aux droits des lecteurs et des citoyens au cours de ces dernières années”, qui ont fait l’objet d’interprétations, d’avertissements et de blâmes (sanctions de premier degré) de sa part. C’est ce qui ressort de sa deuxième session ordinaire du 15 avril 2009, selon son communiqué de presse.
“Le collège des membres du CNP a décidé que selon la loi N°2004-643 du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la presse, le code de la déontologie et les autres textes subséquents soient effectivement appliqués dans toute leur rigueur”, a précisé ce communiqué.
En conséquence, “le CNP tient à porter à la connaissance des entreprises de presse que toutes les affaires pendantes par devant lui, depuis le 2 janvier 2009, qu’il s’agisse de droits de réponse non publié, de cas de diffamation ou autres faits graves commis par voie de presse seront examinés et punis”.
Voilà qui devrait donner à réfléchir aux journalistes, particulièrement les “sofas” de la presse en Côte d’Ivoire.
Schadé Adédé
“Le collège des membres du CNP a décidé que selon la loi N°2004-643 du 14 décembre 2004 portant régime juridique de la presse, le code de la déontologie et les autres textes subséquents soient effectivement appliqués dans toute leur rigueur”, a précisé ce communiqué.
En conséquence, “le CNP tient à porter à la connaissance des entreprises de presse que toutes les affaires pendantes par devant lui, depuis le 2 janvier 2009, qu’il s’agisse de droits de réponse non publié, de cas de diffamation ou autres faits graves commis par voie de presse seront examinés et punis”.
Voilà qui devrait donner à réfléchir aux journalistes, particulièrement les “sofas” de la presse en Côte d’Ivoire.
Schadé Adédé