“On veut accompagner la Côte d’Ivoire dans son plan futuriste, que ce soit dans l’éducation ou dans les autres domaines. Nous n’avons pas la prétention de tout connaître, mais on peut apporter notre contribution”. A travers ces propos, M. Lucien Bradet, directeur du Conseil canadien pour l’Afrique, à la tête d’ une mission économique à Abidjan, a exprimé la volonté des investisseurs canadiens à accompagner la Côte d’Ivoire dans la reconstruction post-crise, hier, à l’occasion du séminaire d’affaires qui s’est déroulé, à l’hôtel Novotel. Il a dit que les opérateurs économi-ques canadiens sont venus s’imprégner des opportunités d’investissements.
Ainsi pour cette mission économique, Lucien Bradet a indiqué que les hommes d’affaires canadiens recher-chent des partenaires ivoi-riens ; ils veulent découvrir des pistes de collaboration “Nous voulons jeter les bases d’une collaboration solide en Côte d’Ivoire”, a-t-il affirmé.
SEMme Isabelle Massip, ambassadeur du Canada en Côte d’Ivoire, a abondé dans le même sens que Lucien Bradet, en évoquant la bonne coopération entre la Côte d’Ivoire et le Canada depuis 40 ans. Elle a avancé que son pays investit près de 1,5 milliard en Côte d’Ivoire. Les secteurs concernés sont ceux de l’exploitation du gaz et du pétrole. “Cependant, nous sommes tournés vers l’éducation et l’enseignement. Nous sommes également actifs dans le domaine de la santé”, a indiqué la diplomate. Mme Isabelle Massip a expliqué aux hommes d’affaires canadiens que l’économie ivoirienne est l’une des plus diversifiée et plus ouverte de la sous-région ouest-africaine. Avant d’ajouter que l’éligibilité de la Côte d’ Ivoire au programme PPTE va permettre aux autorités de faire face au problème de la pauvreté.
Armand Akobé, vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie a soutenu que cette mission arrive à un moment opportun, où, la Côte d’Ivoire sort progressivement de la crise qui la frappe depuis quelques années. “Cette mission arrive au moment où la Côte d’Ivoire prend le pari de la relance économique”, a-t-il déclaré. Il rassuré que la crise n’a pas détruit le potentiel économique de la Côte d’Ivoire. “On peut continuer d’affirmer que le potentiel de la Côte d’Ivoire demeure mais il est mal exploité”, a-t-il avancé.
Armand Akobé a soutenu que cette mission est la bienvenue pour aider la Côte d’Ivoire à refaire sa santé économique. Dans ce sens, il a réaffirmé la disponibilité de la Chambre de commerce et d’industrie à faciliter les contacts entre hommes d’affaires ivoiriens et canadiens.
Plusieurs structures intervenant dans le milieu des affaires, notamment le BNETD et le CEPICI ont fait des communications pour expliquer le contexte de l’entreprenariat et les opportunités ivoiriennes à saisir.
Le Conseil canadien pour l’Afrique est la seule organisation pancanadienne qui se consacre au dévelop-pement économi-que en Afrique. Elle compte plus de 150 membres actifs dans tous les secteurs de l’économie.
César Ebrokié
Ainsi pour cette mission économique, Lucien Bradet a indiqué que les hommes d’affaires canadiens recher-chent des partenaires ivoi-riens ; ils veulent découvrir des pistes de collaboration “Nous voulons jeter les bases d’une collaboration solide en Côte d’Ivoire”, a-t-il affirmé.
SEMme Isabelle Massip, ambassadeur du Canada en Côte d’Ivoire, a abondé dans le même sens que Lucien Bradet, en évoquant la bonne coopération entre la Côte d’Ivoire et le Canada depuis 40 ans. Elle a avancé que son pays investit près de 1,5 milliard en Côte d’Ivoire. Les secteurs concernés sont ceux de l’exploitation du gaz et du pétrole. “Cependant, nous sommes tournés vers l’éducation et l’enseignement. Nous sommes également actifs dans le domaine de la santé”, a indiqué la diplomate. Mme Isabelle Massip a expliqué aux hommes d’affaires canadiens que l’économie ivoirienne est l’une des plus diversifiée et plus ouverte de la sous-région ouest-africaine. Avant d’ajouter que l’éligibilité de la Côte d’ Ivoire au programme PPTE va permettre aux autorités de faire face au problème de la pauvreté.
Armand Akobé, vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie a soutenu que cette mission arrive à un moment opportun, où, la Côte d’Ivoire sort progressivement de la crise qui la frappe depuis quelques années. “Cette mission arrive au moment où la Côte d’Ivoire prend le pari de la relance économique”, a-t-il déclaré. Il rassuré que la crise n’a pas détruit le potentiel économique de la Côte d’Ivoire. “On peut continuer d’affirmer que le potentiel de la Côte d’Ivoire demeure mais il est mal exploité”, a-t-il avancé.
Armand Akobé a soutenu que cette mission est la bienvenue pour aider la Côte d’Ivoire à refaire sa santé économique. Dans ce sens, il a réaffirmé la disponibilité de la Chambre de commerce et d’industrie à faciliter les contacts entre hommes d’affaires ivoiriens et canadiens.
Plusieurs structures intervenant dans le milieu des affaires, notamment le BNETD et le CEPICI ont fait des communications pour expliquer le contexte de l’entreprenariat et les opportunités ivoiriennes à saisir.
Le Conseil canadien pour l’Afrique est la seule organisation pancanadienne qui se consacre au dévelop-pement économi-que en Afrique. Elle compte plus de 150 membres actifs dans tous les secteurs de l’économie.
César Ebrokié
