Des diplomates européens et américains ont apprécié, récemment, le niveau de conservation de l’une des plus grandes aires protégées de la Côte d’Ivoire.
Des ambassadeurs de pays européens, des Etats-Unis et des représentants du système des Nations unies en Côte d’Ivoire ont récemment effectué une mission au Parc national de Taï. L’objectif de cette mission était non seulement d’apprécier l’état de conservation de ce parc mais aussi et surtout de rechercher de potentiels bailleurs pour la conservation durable de ce patrimoine mondial. Au terme de cette mission, les ambassadeurs ont exprimé leur satisfaction quant à la protection efficace de la richesse floristique et faunique du parc national de Taï et ont convenu de la nécessité d’une synergie d’actions pour une gestion durable. Car selon eux, ce parc est un exemple concret de protection de l’environnement. A cet effet, ils ont suggéré l’élaboration d’un plan d’actions commun et de financement. Ils ont en outre souligné que la conservation durable des réseaux des parcs nationaux et réserves ne peut être garantie que par la formalisation d’un partenariat avec l’Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr). Dans cette optique, Mmes Merete Lundemo, Wanda Nesbitt, respectivement, ambassadeur de la Norvège, et des Etats-Unis ainsi que M. Vincent Dowd de l’Union européenne ont fait remarquer qu’il existe des guichets pour le financement de divers projets de conservation de la nature pour lesquels il faut trouver des mécanismes de décaissement. Après avoir fait un plaidoyer pour la mobilisation des fonds en faveur de la protection de ce parc, l’ambassadeur d’Allemagne, M. Stephen Keller, par ailleurs initiateur de cette mission et le directeur de la Gtz, M. Franck Bremer, ont annoncé que la coopération allemande dispose de moyens de conservation de cette réserve pour les trois prochaines années. Avant d’ajouter que cette coopération est favorable au financement. Les responsables de la Fao et du Pnud se sont également montrés disponibles pour la protection du parc national de Taï dans un proche avenir. En vue de prendre les dispositions idoines pour la mobilisation des fonds nécessaires au financement des parcs et réserves de Côte d’Ivoire, les ambassadeurs ont souhaité exploiter toutes les informations à travers les documents mis à leur disposition par l’Oipr, à savoir le plan d’aménagement et de gestion, les plans d’affaires du Pnt et les fiches de prestations de différentes fonctions de ce parc. Le directeur de l’Oipr, M. Kahiba Lambert, a remercié la délégation pour sa sollicitude.
Kouamé Alfred
Correspondant
Des ambassadeurs de pays européens, des Etats-Unis et des représentants du système des Nations unies en Côte d’Ivoire ont récemment effectué une mission au Parc national de Taï. L’objectif de cette mission était non seulement d’apprécier l’état de conservation de ce parc mais aussi et surtout de rechercher de potentiels bailleurs pour la conservation durable de ce patrimoine mondial. Au terme de cette mission, les ambassadeurs ont exprimé leur satisfaction quant à la protection efficace de la richesse floristique et faunique du parc national de Taï et ont convenu de la nécessité d’une synergie d’actions pour une gestion durable. Car selon eux, ce parc est un exemple concret de protection de l’environnement. A cet effet, ils ont suggéré l’élaboration d’un plan d’actions commun et de financement. Ils ont en outre souligné que la conservation durable des réseaux des parcs nationaux et réserves ne peut être garantie que par la formalisation d’un partenariat avec l’Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr). Dans cette optique, Mmes Merete Lundemo, Wanda Nesbitt, respectivement, ambassadeur de la Norvège, et des Etats-Unis ainsi que M. Vincent Dowd de l’Union européenne ont fait remarquer qu’il existe des guichets pour le financement de divers projets de conservation de la nature pour lesquels il faut trouver des mécanismes de décaissement. Après avoir fait un plaidoyer pour la mobilisation des fonds en faveur de la protection de ce parc, l’ambassadeur d’Allemagne, M. Stephen Keller, par ailleurs initiateur de cette mission et le directeur de la Gtz, M. Franck Bremer, ont annoncé que la coopération allemande dispose de moyens de conservation de cette réserve pour les trois prochaines années. Avant d’ajouter que cette coopération est favorable au financement. Les responsables de la Fao et du Pnud se sont également montrés disponibles pour la protection du parc national de Taï dans un proche avenir. En vue de prendre les dispositions idoines pour la mobilisation des fonds nécessaires au financement des parcs et réserves de Côte d’Ivoire, les ambassadeurs ont souhaité exploiter toutes les informations à travers les documents mis à leur disposition par l’Oipr, à savoir le plan d’aménagement et de gestion, les plans d’affaires du Pnt et les fiches de prestations de différentes fonctions de ce parc. Le directeur de l’Oipr, M. Kahiba Lambert, a remercié la délégation pour sa sollicitude.
Kouamé Alfred
Correspondant