L’artiste Kutchala Sutchi a récemment présenté au Goethe institut Abidjan, à Cocody-Mermoz, sa nouvelle œuvre musicale baptisée « Le temps du gorille ».
Comportant 10 titres dont « Fasso », « Gbai », « Gomanan », l’opus est un mélange de pop et de rock avec un zeste de jazz, de blues et de plusieurs sonorités africaines. Le style de l’artiste rappelle à la fois le reggaeman Tangara Speed Godah et le zèzè-popman John Kyffy.
«Le temple du gorille » est une production de Sereba Production enregistrée en live. Elle véhicule des messages engagés appelant à la prise de conscience comme c’est le cas à travers le titre éponyme « Le Temps du gorille », en bété, en français et en anglais.
La paix, l’amour, l’humanité, la vie, le respect, la nature, la spiritualité sont autant de thèmes que proposent Kutchala Sutchi et son groupe La Tribu sauvage à l’appréciation des mélomanes et surtout pour une profonde réflexion sur l’être humain en général et l’Africain en particulier.
Kutchala Sutchi qui signifie en sanskrit la flamme éternelle a saisi l’occasion pour expliquer son choix musical, son parcours professionnel aussi bien dans la musique que dans le cinéma (il est d’abord enseignant des techniques du cinéma).
L’artiste, qui avait à ses côtés son producteur venu pour la circonstance d’Oslo, Raymond Sereba, a reçu le soutien de plusieurs de ses pairs. Notamment, Djabo Steck, John Kyffy, Tantie Oussou (la marraine de la cérémonie), Gadji Céli, Jack Delly, Adziza et Wedji Ped.
Marcellin Boguy
Comportant 10 titres dont « Fasso », « Gbai », « Gomanan », l’opus est un mélange de pop et de rock avec un zeste de jazz, de blues et de plusieurs sonorités africaines. Le style de l’artiste rappelle à la fois le reggaeman Tangara Speed Godah et le zèzè-popman John Kyffy.
«Le temple du gorille » est une production de Sereba Production enregistrée en live. Elle véhicule des messages engagés appelant à la prise de conscience comme c’est le cas à travers le titre éponyme « Le Temps du gorille », en bété, en français et en anglais.
La paix, l’amour, l’humanité, la vie, le respect, la nature, la spiritualité sont autant de thèmes que proposent Kutchala Sutchi et son groupe La Tribu sauvage à l’appréciation des mélomanes et surtout pour une profonde réflexion sur l’être humain en général et l’Africain en particulier.
Kutchala Sutchi qui signifie en sanskrit la flamme éternelle a saisi l’occasion pour expliquer son choix musical, son parcours professionnel aussi bien dans la musique que dans le cinéma (il est d’abord enseignant des techniques du cinéma).
L’artiste, qui avait à ses côtés son producteur venu pour la circonstance d’Oslo, Raymond Sereba, a reçu le soutien de plusieurs de ses pairs. Notamment, Djabo Steck, John Kyffy, Tantie Oussou (la marraine de la cérémonie), Gadji Céli, Jack Delly, Adziza et Wedji Ped.
Marcellin Boguy