Trente cadres et décideurs de l’administration forestière des zones centre, nord et ouest sont en formation sur la gestion durable, la certification, la traçabilité et l’audit forestier, depuis le 20 avril dernier, à l’hôtel Ivotel du Plateau. Cette séance de formation qui prend fin le 30 avril prochain devrait les aider, selon Kouassi Kouadio Mermoz, directeur de cabinet du ministre de l’Environnement et des Eaux et Forêts, à mieux comprendre les principes, critères et indicateurs harmonisés de gestion durable des forêts africaines édictés par l’Organisation internationale des bois tropicaux. Ces principes ne sont rien d’autre que des outils permettant aux entreprises forestières d’améliorer leurs systèmes d’aménagement. Ils servent également de support de contrôle de l’efficacité des programmes de reconstitution forestière nationaux et aident à la planification stratégique et à l’édification de passerelles entre les parties prenantes. “Les opérateurs économiques du secteur forêt-bois qui subissent les effets de la crise financière mondiale pourraient trouver des solutions dans la restructuration de leurs entreprises en mettant en place une politique managériale visant la gestion durable par la certification et la traçabilité des produits forestiers”, a fait observer M. Kouassi Mermoz.
Cette séance de formation, au sortir de laquelle les cadres de l’administration forestière devraient disposer de tous les instruments pour devenir des acteurs éclairés dans la conduite des actions de développement durable, est financée par le Banque africaine de développement, à travers le Projet d’appui institutionnel multisectoriel à la sortie de crise en Côte d’Ivoire (Paimsc). La FAO en est le maître d’ouvrage et l’agence d’exécution dans son volet agriculture. C’est pourquoi Mme Anzouma Maïmouna, représentant Mme Marie Noëlle Koyara, représentante résidente de la Fao, a appelé les participants à tirer le meilleur profit des apprentissages.
K.M.
Cette séance de formation, au sortir de laquelle les cadres de l’administration forestière devraient disposer de tous les instruments pour devenir des acteurs éclairés dans la conduite des actions de développement durable, est financée par le Banque africaine de développement, à travers le Projet d’appui institutionnel multisectoriel à la sortie de crise en Côte d’Ivoire (Paimsc). La FAO en est le maître d’ouvrage et l’agence d’exécution dans son volet agriculture. C’est pourquoi Mme Anzouma Maïmouna, représentant Mme Marie Noëlle Koyara, représentante résidente de la Fao, a appelé les participants à tirer le meilleur profit des apprentissages.
K.M.