Le ministère de la Culture et de la Francophonie veut garantir à la Côte d’Ivoire un développement durable. Ainsi, il a initié, du 22 au 24 avril 2009, à l’hôtel Manhattan de Cocody-Attoban, un séminaire sur “la finalisation et l’adoption du plan national de développement culturel (PNDC) 2010-2014”.
Le professeur Blédé Logbo, rapporteur général du séminaire, a indiqué que les participants ont opté pour des travaux subdivisés en 4 commissions, “afin de produire des réflexions profondes et rigoureuses”.
Ainsi la première commission chargée de la préservation du patrimoine culturel national a décidé, a rapporté le professeur, de “mettre en œuvre un programme d’inventaire général et de lutter contre le trafic illicite des œuvres d’art pour assurer la promotion et la protection du patrimoine culturel ivoirien”.
La deuxième, dont l’objectif principal était le développement des industries créatives nationales, selon le séminaire, a opté pour le renforcement du cadre juridique afin d’assurer la compétitivité des industries culturelles, l’implication des collectivités territoriales et l’encouragement du mécénat par l’Etat.
La troisième commission, a poursuivi le rapporteur, s’est inscrite dans “le renforcement des capacités et la formation des acteurs culturels”. Pour ce faire, “elle suggère la mise en place d’un cadre institutionnel adéquat pour développer les infrastructures de formation artistique et culturelle”.
La dernière commission chargée de rechercher le financement nécessaire aux arts et à la culture, si l’on en croit le séminaire, a proposé “la mise en place d’une politique de recouvrement des ressources au sein du ministère”. Cette décision, a-t-il précisé, doit impérativement passer par la délivrance de licences d’exploitation aux opérateurs culturels.
Sonia Dia Stagiaire
Le professeur Blédé Logbo, rapporteur général du séminaire, a indiqué que les participants ont opté pour des travaux subdivisés en 4 commissions, “afin de produire des réflexions profondes et rigoureuses”.
Ainsi la première commission chargée de la préservation du patrimoine culturel national a décidé, a rapporté le professeur, de “mettre en œuvre un programme d’inventaire général et de lutter contre le trafic illicite des œuvres d’art pour assurer la promotion et la protection du patrimoine culturel ivoirien”.
La deuxième, dont l’objectif principal était le développement des industries créatives nationales, selon le séminaire, a opté pour le renforcement du cadre juridique afin d’assurer la compétitivité des industries culturelles, l’implication des collectivités territoriales et l’encouragement du mécénat par l’Etat.
La troisième commission, a poursuivi le rapporteur, s’est inscrite dans “le renforcement des capacités et la formation des acteurs culturels”. Pour ce faire, “elle suggère la mise en place d’un cadre institutionnel adéquat pour développer les infrastructures de formation artistique et culturelle”.
La dernière commission chargée de rechercher le financement nécessaire aux arts et à la culture, si l’on en croit le séminaire, a proposé “la mise en place d’une politique de recouvrement des ressources au sein du ministère”. Cette décision, a-t-il précisé, doit impérativement passer par la délivrance de licences d’exploitation aux opérateurs culturels.
Sonia Dia Stagiaire