Le chef de sécurité de la Cour constitutionnelle de Madagascar, Ralitera Andrianandraina et trois de ses collègues ont été mis aux arrêts, hier, par l’armée.
Il leur est reproché, selon Reuters, d’avoir ouvert le feu sur des manifestants à Antananarivo, la capitale malgache et d’avoir cherché à déstabiliser le gouvernement de transition de Andry Rajoelina.
A la presse, le commandant de l’armée malgache, Charles Andrianasoavina a affirmé avoir reçu des informations selon lesquelles Ralitera était à l’origine des tirs de grenades assourdissantes et des coups de feu visant des forces de sécurité et des civils ces derniers jours dans la capitale.
Selon un communiqué gouvernemental, sept fusils d’assaut, quatre pistolets et une grenade ont été trouvés à l’intérieur de la Cour constitutionnelle.
Ces derniers jours, les partisans du président déchu Marc Ravalomanana, dénonçant la prise de pouvoir par Andry Rajoelina,, défient l’interdiction de manifester. La semaine dernière, au moins cinq personnes ont été tuées au cours des affrontements dans les rues d’Antananarivo
Ernest Aka Simon
Il leur est reproché, selon Reuters, d’avoir ouvert le feu sur des manifestants à Antananarivo, la capitale malgache et d’avoir cherché à déstabiliser le gouvernement de transition de Andry Rajoelina.
A la presse, le commandant de l’armée malgache, Charles Andrianasoavina a affirmé avoir reçu des informations selon lesquelles Ralitera était à l’origine des tirs de grenades assourdissantes et des coups de feu visant des forces de sécurité et des civils ces derniers jours dans la capitale.
Selon un communiqué gouvernemental, sept fusils d’assaut, quatre pistolets et une grenade ont été trouvés à l’intérieur de la Cour constitutionnelle.
Ces derniers jours, les partisans du président déchu Marc Ravalomanana, dénonçant la prise de pouvoir par Andry Rajoelina,, défient l’interdiction de manifester. La semaine dernière, au moins cinq personnes ont été tuées au cours des affrontements dans les rues d’Antananarivo
Ernest Aka Simon