Anne Yao Akissi : “Je veux briller comme Colina”
“Je veux briller comme l’arbitre italien Colina. C’est ma référence. Il est strict. Il est compétent. Il sait manier l’aisance, l’élégance et la perspicacité sur le terrain. Je ne veux pas qu’on me traite comme une femme arbitre mais comme un arbitre tout court. Me dorloter ne va pas m’ouvrir les yeux sur mes erreurs et cela va m’endormir. Mais déjà, les femmes ne sont pas plus favorisées que les hommes dans l’arbitrage. Nos autorités ne nous accordent pas de faveur supplémentaire parce qu’on est femme. Et c’est bien”.
Joëlle Flanny Soumahoro : “J’aime qu’on m’appelle Madame l’arbitre”
“C’est une fierté pour moi d’être d’abord femme. Et ensuite d’être femme arbitre. J’aime qu’on m’appelle Madame l’arbitre. Madame, féminin. L’arbitre, la corporation. J’aime tout ce qui est extraordinaire. En tant que femme, je suis arbitre. Ce qui sied, c’est Madame l’arbitre. Nous sommes des pionnières. Mais c’est surtout de la fierté que nous ressentons lorsque nous sortons et que les gens voient que ce sont des femmes arbitres. C’est extraordinaire à leurs yeux. Alors, on se dit qu’on n’a pas fait le mauvais choix».
Propos recueillis par R.K
“Je veux briller comme l’arbitre italien Colina. C’est ma référence. Il est strict. Il est compétent. Il sait manier l’aisance, l’élégance et la perspicacité sur le terrain. Je ne veux pas qu’on me traite comme une femme arbitre mais comme un arbitre tout court. Me dorloter ne va pas m’ouvrir les yeux sur mes erreurs et cela va m’endormir. Mais déjà, les femmes ne sont pas plus favorisées que les hommes dans l’arbitrage. Nos autorités ne nous accordent pas de faveur supplémentaire parce qu’on est femme. Et c’est bien”.
Joëlle Flanny Soumahoro : “J’aime qu’on m’appelle Madame l’arbitre”
“C’est une fierté pour moi d’être d’abord femme. Et ensuite d’être femme arbitre. J’aime qu’on m’appelle Madame l’arbitre. Madame, féminin. L’arbitre, la corporation. J’aime tout ce qui est extraordinaire. En tant que femme, je suis arbitre. Ce qui sied, c’est Madame l’arbitre. Nous sommes des pionnières. Mais c’est surtout de la fierté que nous ressentons lorsque nous sortons et que les gens voient que ce sont des femmes arbitres. C’est extraordinaire à leurs yeux. Alors, on se dit qu’on n’a pas fait le mauvais choix».
Propos recueillis par R.K