La sanction qui frappe certains animateurs de la télévision ivoirienne a quelque chose de bien curieux parce qu’elle a en commun la qualité des sanctionnés et l’audience des productions. Mais alors pourquoi elle est-elle si sévère ?
Oui ! Elle est sévère et cache bien de choses. Des choses qui couvaient apparemment. Y’ a la joie de Léonie Konian marche bien, Marcellin Govoei tenait bien ses Midi Première et Yoh Claude avec 12 Minutes Pile battait les audiences malgré l’heure tardive de programmation. A regarder de près, on a sacrifié la qualité de l’antenne et le talent des animateurs pour des fautes (certainement avérées) mais disproportionnelles. Léonie et Marcellin qui font du direct ne contrôlent pas toujours leur invité et des fois il peut avoir des écarts de langages. Claude enregistre ses émissions et les responsables de la gestion de l’antenne (s’ils existent) ont la latitude de censurer les séquences litigieuses….
Des avertissements peuvent suffire et même des suspensions à durée limitées. Mais si ce sont des récidivistes notoires, alors la sanction peut se comprendre. A condition que cela leur soit notifié par écrit. Dans ce cas de figure, certains sanctionnés paraissent surpris et ne pas savoir ce qu’on leur reproche. D’où le sentiment d’injustice. C’est pourquoi, quand on sanctionne un employé, on lui signifie par écrit sa sanction et le motif afin d’éviter toutes interprétations en ces temps qui courent. Et écarter les problèmes de personnes font vite surface avec leurs corollaires de manipulations et de bras occultes. Autre chose, si le bâton doit frapper, que ce soit pour tous sans exception car il pourrait avoir un sentiment de deux poids deux mesures. Ce qui favorise donc les frustrations. Attention au retour de bâton !
Oui ! Elle est sévère et cache bien de choses. Des choses qui couvaient apparemment. Y’ a la joie de Léonie Konian marche bien, Marcellin Govoei tenait bien ses Midi Première et Yoh Claude avec 12 Minutes Pile battait les audiences malgré l’heure tardive de programmation. A regarder de près, on a sacrifié la qualité de l’antenne et le talent des animateurs pour des fautes (certainement avérées) mais disproportionnelles. Léonie et Marcellin qui font du direct ne contrôlent pas toujours leur invité et des fois il peut avoir des écarts de langages. Claude enregistre ses émissions et les responsables de la gestion de l’antenne (s’ils existent) ont la latitude de censurer les séquences litigieuses….
Des avertissements peuvent suffire et même des suspensions à durée limitées. Mais si ce sont des récidivistes notoires, alors la sanction peut se comprendre. A condition que cela leur soit notifié par écrit. Dans ce cas de figure, certains sanctionnés paraissent surpris et ne pas savoir ce qu’on leur reproche. D’où le sentiment d’injustice. C’est pourquoi, quand on sanctionne un employé, on lui signifie par écrit sa sanction et le motif afin d’éviter toutes interprétations en ces temps qui courent. Et écarter les problèmes de personnes font vite surface avec leurs corollaires de manipulations et de bras occultes. Autre chose, si le bâton doit frapper, que ce soit pour tous sans exception car il pourrait avoir un sentiment de deux poids deux mesures. Ce qui favorise donc les frustrations. Attention au retour de bâton !