Après leur élimination en Ligue des champions, les Mimos entament une nouvelle aventure.
Après son élimination de la Ligue des champions, l’Asec entame une nouvelle aventure africaine avec la coupe de la Confédération dimanche (16 heures) au stade Houphouet-Boigny. Les Jaune et noir espèrent faire bonne figure à partir de cet important match des huitièmes de finale aller contre les Egyptiens de l’Enppi. Et c’est le président de la section football, Francis Ouégnin, qui exprime le mieux l’état d’esprit d’avant-match d’une équipe dont le staff technique a été remanié depuis la semaine écoulée. «Nous espérons arriver à la finale de la coupe de la Confédération. C’est l’idéal. C’est vrai qu’on évoque souvent la jeunesse de notre effectif. Mais, la rigueur de Gouaméné Maxime et l’enthousiasme des joueurs, nous obligent à faire de belles prestations. Il s’agit d’aller jusqu’à la finale pour être au moins deuxième. A ce niveau, on aura l’occasion d’avoir au moins 200 millions de F CFA.», signifie-t-il. Non sans encourager les Actionnaires à soutenir le nouvel entraîneur, Gouaméné Maxime et ses joueurs afin qu’ils entament bien cette épreuve «Gouaméné Maxime, croyez-moi, contrairement à ce que les gens peuvent penser, a beaucoup de rigueur. C’est quelqu’un qui sait se faire écouter. Déjà, il est respecté par les jeunes joueurs. Même dans son rôle d’adjoint, les jeunes l’écoutaient. C’est vrai qu’il a pris le train en marche. Mais, dans ce match, vous verrez que l’équipe va jouer à fond» Il s’agira donc pour Gouaméné Maxime de confirmer tout le bien qu’on dit de lui. Et de permettre à l’Asec de prendre une avance confortable avant la manche retour. Le hic est que l’Enppi reste une grosse inconnue pour les Mimos. Sauf que ce club égyptien compte dans ses rangs l’Ivoirien Dié Fonéyé Vincent De Paul, un de ses anciens attaquants. En revanche, l’Asec sait que jouer contre un club du Nil n’est jamais une partie aisée. Il connaît le football égyptien alliant technique, efficacité et roublardise, pour avoir rencontré à plusieurs reprises le Zamalek, Al Ahly et Ismaili. Le capitaine Diomandé Hervé et ses coéquipiers savent donc à quoi s’en tenir lorsqu’ils fouleront dimanche après-midi, la pelouse du stade Félix Houphouet-Boigny.
Adam Khalil
Après son élimination de la Ligue des champions, l’Asec entame une nouvelle aventure africaine avec la coupe de la Confédération dimanche (16 heures) au stade Houphouet-Boigny. Les Jaune et noir espèrent faire bonne figure à partir de cet important match des huitièmes de finale aller contre les Egyptiens de l’Enppi. Et c’est le président de la section football, Francis Ouégnin, qui exprime le mieux l’état d’esprit d’avant-match d’une équipe dont le staff technique a été remanié depuis la semaine écoulée. «Nous espérons arriver à la finale de la coupe de la Confédération. C’est l’idéal. C’est vrai qu’on évoque souvent la jeunesse de notre effectif. Mais, la rigueur de Gouaméné Maxime et l’enthousiasme des joueurs, nous obligent à faire de belles prestations. Il s’agit d’aller jusqu’à la finale pour être au moins deuxième. A ce niveau, on aura l’occasion d’avoir au moins 200 millions de F CFA.», signifie-t-il. Non sans encourager les Actionnaires à soutenir le nouvel entraîneur, Gouaméné Maxime et ses joueurs afin qu’ils entament bien cette épreuve «Gouaméné Maxime, croyez-moi, contrairement à ce que les gens peuvent penser, a beaucoup de rigueur. C’est quelqu’un qui sait se faire écouter. Déjà, il est respecté par les jeunes joueurs. Même dans son rôle d’adjoint, les jeunes l’écoutaient. C’est vrai qu’il a pris le train en marche. Mais, dans ce match, vous verrez que l’équipe va jouer à fond» Il s’agira donc pour Gouaméné Maxime de confirmer tout le bien qu’on dit de lui. Et de permettre à l’Asec de prendre une avance confortable avant la manche retour. Le hic est que l’Enppi reste une grosse inconnue pour les Mimos. Sauf que ce club égyptien compte dans ses rangs l’Ivoirien Dié Fonéyé Vincent De Paul, un de ses anciens attaquants. En revanche, l’Asec sait que jouer contre un club du Nil n’est jamais une partie aisée. Il connaît le football égyptien alliant technique, efficacité et roublardise, pour avoir rencontré à plusieurs reprises le Zamalek, Al Ahly et Ismaili. Le capitaine Diomandé Hervé et ses coéquipiers savent donc à quoi s’en tenir lorsqu’ils fouleront dimanche après-midi, la pelouse du stade Félix Houphouet-Boigny.
Adam Khalil