Le chef d’état-major des Forces de défense et de sécurité a constaté de lui-même, la prise de service effective de ses éléments dans la Vallée du Bandama.
Le chef d’état-major, le général de division Philippe Mangou, a visité, hier, le détachement des éléments des Forces de défense et de sécurité qui séjournent à Bouaké dans le cadre du déploiement du Centre de commandement intégré (Cci). L’hôte du chef d’état-major des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn) a indiqué qu’il est allé s’enquérir des nouvelles de ses éléments, les saluer et les encourager. Selon le général Mangou, la visite visait aussi à s’informer sur les conditions de travail des gendarmes et policiers qui ont été déployés dans la capitale de la Vallée du Bandama, et au besoin, chercher à les améliorer. Il s’est aperçu du bon accueil que les Fafn et les populations de Bouaké ont réservé aux Fds.
Le général de brigade Soumaïla Bakayoko, lui, s’est félicité de ce bon accueil. Non sans rassurer les populations que c’est pour leur sécurité que le Cci se déploie sur le terrain. Du reste, le chef d’état-major des Fafn a invité celles-ci à coopérer avec cette force pour une meilleure sécurité.
«Allez, le pas léger, construire la paix qui ouvre le chemin à la reconstruction», avait déclaré le ministre de la Défense, Amani N’Guesan Michel, le 5 mai dernier. Il s’adressait ainsi aux gendarmes et policiers, qui embarquaient à l’état-major pour Bouaké via Yamoussoukro. «Le temps de la paix est venu, savourons-le», s’était réjoui le ministre. Il avait estimé que l’envoi de ce premier détachement des Fds à Bouaké était «un pas décisif dans la sortie de crise». Amani N’Guesan Michel avait alors exhorté les Fds, mais aussi les Fafn, à «une franche collaboration partout où leurs missions les conduiront». Après une escale à Yamoussoukro au Cci où ils prennent désormais leurs ordres, les 100 gendarmes et policiers sont arrivés à Bouaké le 8 mai. Les éléments des Fafn, au nombre de 100 également, eux, sont arrivés à Abidjan le 9 mai. Le général Mangou les a également visités samedi dernier avant de se rendre à Bouaké hier.
Pascal Soro
Le chef d’état-major, le général de division Philippe Mangou, a visité, hier, le détachement des éléments des Forces de défense et de sécurité qui séjournent à Bouaké dans le cadre du déploiement du Centre de commandement intégré (Cci). L’hôte du chef d’état-major des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn) a indiqué qu’il est allé s’enquérir des nouvelles de ses éléments, les saluer et les encourager. Selon le général Mangou, la visite visait aussi à s’informer sur les conditions de travail des gendarmes et policiers qui ont été déployés dans la capitale de la Vallée du Bandama, et au besoin, chercher à les améliorer. Il s’est aperçu du bon accueil que les Fafn et les populations de Bouaké ont réservé aux Fds.
Le général de brigade Soumaïla Bakayoko, lui, s’est félicité de ce bon accueil. Non sans rassurer les populations que c’est pour leur sécurité que le Cci se déploie sur le terrain. Du reste, le chef d’état-major des Fafn a invité celles-ci à coopérer avec cette force pour une meilleure sécurité.
«Allez, le pas léger, construire la paix qui ouvre le chemin à la reconstruction», avait déclaré le ministre de la Défense, Amani N’Guesan Michel, le 5 mai dernier. Il s’adressait ainsi aux gendarmes et policiers, qui embarquaient à l’état-major pour Bouaké via Yamoussoukro. «Le temps de la paix est venu, savourons-le», s’était réjoui le ministre. Il avait estimé que l’envoi de ce premier détachement des Fds à Bouaké était «un pas décisif dans la sortie de crise». Amani N’Guesan Michel avait alors exhorté les Fds, mais aussi les Fafn, à «une franche collaboration partout où leurs missions les conduiront». Après une escale à Yamoussoukro au Cci où ils prennent désormais leurs ordres, les 100 gendarmes et policiers sont arrivés à Bouaké le 8 mai. Les éléments des Fafn, au nombre de 100 également, eux, sont arrivés à Abidjan le 9 mai. Le général Mangou les a également visités samedi dernier avant de se rendre à Bouaké hier.
Pascal Soro