Le 29 novembre, « ce n`est pas une date fétiche mais une date sûre » pour tenir ce scrutin, crucial pour sortir le pays de la crise, a assuré le président Laurent Gbagbo, hier à son arrivée à l`aéroport international de Ouagadougou.
Cette date a été choisie pour « donner matériellement le temps (au pays) de tout finir » avant d`organiser le vote, a expliqué Laurent Gbagbo, qui doit rencontrer lundi ses popposants dans la capitale burkinabè.
« Nous avons +calculé+ le temps" pour pouvoir tenir ce scrutin, « c`est pourquoi les élections sont fixées à fin novembre », a-t-il poursuivi.
Le chef de l`Etat ivoirien a été accueilli à l`aéroport par son homologue burkinabè Blaise Compaoré, facilitateur de la crise ivoirienne et garant d`un accord de paix signé en mars 2007.
M. Gbagbo a ajouté que le manque d`argent ne pouvait empêcher la tenue de l`élection présidentielle à la date indiquée. « Le manque d`argent ne nous a jamais empêché de travailler. On avance. On n`a pas beaucoup d`argent mais ça ne nous empêche d`avancer », a-t-il souligné.
K.B
Cette date a été choisie pour « donner matériellement le temps (au pays) de tout finir » avant d`organiser le vote, a expliqué Laurent Gbagbo, qui doit rencontrer lundi ses popposants dans la capitale burkinabè.
« Nous avons +calculé+ le temps" pour pouvoir tenir ce scrutin, « c`est pourquoi les élections sont fixées à fin novembre », a-t-il poursuivi.
Le chef de l`Etat ivoirien a été accueilli à l`aéroport par son homologue burkinabè Blaise Compaoré, facilitateur de la crise ivoirienne et garant d`un accord de paix signé en mars 2007.
M. Gbagbo a ajouté que le manque d`argent ne pouvait empêcher la tenue de l`élection présidentielle à la date indiquée. « Le manque d`argent ne nous a jamais empêché de travailler. On avance. On n`a pas beaucoup d`argent mais ça ne nous empêche d`avancer », a-t-il souligné.
K.B