Après plusieurs reports, la visite du président de la République dans les régions des Montagnes, du bafing et du denguelé vient d’être reprogrammée. Le programme établi par le comité national d’organisation présidé par le premier ministre Soro Guillaume a été rendu public hier par le ministre Dosso Moussa, ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, au cours d’une réunion qu’il a eu avec les cadres et élus des zones concernées, au conseil économique et social. L’on retient que le chef de l’Etat sillonnera ces trois régions du 8 au 18 juin prochain. Le président Gbagbo entamera son périple par la région des montagnes à laquelle il consacrera quatre jours. Il sera accueilli à Man, le lundi 8 juin dans la matinée et se rendra ensuite à Biankouma et à Kabacouma où il s’entretiendra avec la famille du général Robert Guei. Un meeting est prévu dans les différents chefs-lieux de département. De l’ouest, le chef de l’Etat mettra le cap sur la région du Bafing dont la capitale, Touba, le reçoit le vendredi 12 juin. La dernière étape sera le Denguélé.
S’agissant de l’organisation pratique, le comité de pilotage a mis en place 11 commissions qui sont dirigées essentiellement par des membres du gouvernement.
Selon Feh Kessé, directeur général des impôts et représentant le ministre de l’economie et des finances à cette rencontre, les dispositions financières ont été prises pour faire face aux besoins exprimés par les commissions dans les limites du strict optimal. Car, dira-t-il, les difficultés financières de l’Etat ne permettent pas de prendre en compte toutes les préoccupations.
Junior Dekassan
S’agissant de l’organisation pratique, le comité de pilotage a mis en place 11 commissions qui sont dirigées essentiellement par des membres du gouvernement.
Selon Feh Kessé, directeur général des impôts et représentant le ministre de l’economie et des finances à cette rencontre, les dispositions financières ont été prises pour faire face aux besoins exprimés par les commissions dans les limites du strict optimal. Car, dira-t-il, les difficultés financières de l’Etat ne permettent pas de prendre en compte toutes les préoccupations.
Junior Dekassan