Les enquêtes judiciaires relatives à l’assassinat du substitut du procureur Sioblo sont en cours. Ces enquêtes ont même déjà permis de mettre aux arrêts la plupart des auteurs du crime, selon le procureur adjoint (PRA) Momblé Messé. Le plus surprenant dans l’affaire, c’est que l’arme utilisée pour mettre fin aux jours du magistrat appartient à un policier. Un policier du reste déjà arrêté. “Nous avons fait une autopsie et une étude ballistique. La remontée de cette filière nous a permis d’épingler le policier qui a loué son arme aux gangsters. Aujourd’hui, ce genre de situations où un policier ou un gendarme loue son arme à des bandits devient monnaie courante”, explique l’air désabusé, un procureur sous le couvert de l’anonymat.
Le substitut du procureur Sioblo en poste au parquet près le tribunal d’Abidjan-Plateau avait été abattu froidement le 6 mai dernier à Yopougon Cité Caféier par des bandits. Après l’avoir obligé à descendre de son véhicule, à bord duquel il était avec une jeune dame. Qui, dit-on, continue d’être cuisinée par la police criminelle.
F.T.D.
Le substitut du procureur Sioblo en poste au parquet près le tribunal d’Abidjan-Plateau avait été abattu froidement le 6 mai dernier à Yopougon Cité Caféier par des bandits. Après l’avoir obligé à descendre de son véhicule, à bord duquel il était avec une jeune dame. Qui, dit-on, continue d’être cuisinée par la police criminelle.
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