Il faut bien comprendre qu’un simple discours ne saurait à lui seul résoudre tous les problèmes du Moyen-Orient. Nos attentes doivent donc restées modestes».
Par son seul discours qu’il prononcera demain au Caire, la capitale de l’Egypte, le Président américain, Barack Obama, n’entend pas normaliser les relations entre le monde musulman et les Etats-Unis. Il l’a reconnu dans un entretien rendu public, mardi, par Reuters et diffusé sur Canal+.
Du conflit entre Israël et la Palestine, au bras de fer avec l’Iran sur le dossier du nucléaire en passant par la recrudescence de l’insurrection des Talibans en Afghanistan, Barack Obama aura fort à faire pour redresser la situation héritée de son prédécesseur, George W. Bush.
Ce qu’il essayera de faire, c’est de créer un meilleur dialogue. «Pour que le monde musulman puisse mieux comprendre comment les Etats-Unis, mais plus généralement le monde occidental, conçoivent certains problèmes difficiles tels que le terrorisme ou la démocratie», a-t-il dit.
Barack Obama, qui effectuera un voyage en Arabie Saoudite, puis en Egypte, encouragera l’investissement dans l’éducation de «certains pays musulmans».
En ce qui concerne l’éducation des femmes, le locataire de la Maison-Blanche pense qu’il y a actuellement un véritable conflit entre ceux qui soutiennent que l’Islam est irréconciliable avec la vie moderne et ceux qui, au contraire, pensent qu’il a toujours su évoluer parallèlement au progrès.
Ernest Aka Simon
Par son seul discours qu’il prononcera demain au Caire, la capitale de l’Egypte, le Président américain, Barack Obama, n’entend pas normaliser les relations entre le monde musulman et les Etats-Unis. Il l’a reconnu dans un entretien rendu public, mardi, par Reuters et diffusé sur Canal+.
Du conflit entre Israël et la Palestine, au bras de fer avec l’Iran sur le dossier du nucléaire en passant par la recrudescence de l’insurrection des Talibans en Afghanistan, Barack Obama aura fort à faire pour redresser la situation héritée de son prédécesseur, George W. Bush.
Ce qu’il essayera de faire, c’est de créer un meilleur dialogue. «Pour que le monde musulman puisse mieux comprendre comment les Etats-Unis, mais plus généralement le monde occidental, conçoivent certains problèmes difficiles tels que le terrorisme ou la démocratie», a-t-il dit.
Barack Obama, qui effectuera un voyage en Arabie Saoudite, puis en Egypte, encouragera l’investissement dans l’éducation de «certains pays musulmans».
En ce qui concerne l’éducation des femmes, le locataire de la Maison-Blanche pense qu’il y a actuellement un véritable conflit entre ceux qui soutiennent que l’Islam est irréconciliable avec la vie moderne et ceux qui, au contraire, pensent qu’il a toujours su évoluer parallèlement au progrès.
Ernest Aka Simon