C’est un adage très populaire que les pays n’ont pas d’amis. Ils ont plutôt des intérêts qui dictent leurs conduites en des occasions ponctuelles. »
De même la belle Emeraude devra comprendre que chez les artistes les intérêts représentent les plumages, si tant est-il que les oiseaux volent par plumage. Leurs conduites se laissent orienter en selon les enjeux.
Elle qui a tellement eu confiance en Antoinette Allany qu’elle lui a prêté ses danseuses pour l’accompagner sur scène pour sa prestation à l’occasion de l’enregistrement de l’émission IROKO de fréquence 2 (2ème chaîne publique de la radiodiffusion en Côte d’Ivoire), en décembre 2008 à Aboisso. « Allany en a profité pour détourner mes filles. Et dire que je prenais cette femme pour une mère, en raison de ses rapports fraternels avec mon père ! » lance amère Emeraude, interrogée sur l’absence de ses danseuses à la visite qu’elle a rendu à la rédaction de monsaphir.com à Abidjan. Pourtant, la jeune chanteuse croyait si bien faire ! Elle qui s’apitoyait sur le sort de sa tata Allany abandonnée quelques jours avant ce spectacle par ses danseuses.
Pour mémoire, ses dernières avaient fait étalage, dans les journaux de la place, du mauvais traitement que la chanteuse leur infligeait, notamment le non paiement de leurs primes. Cette affaire avait tellement énervé l’artiste qu’elle ne se faisait plus prier pour raconter à qui voulait l’entendre ce qu’elle avait fait pour ces « ingrates ».Pis, la diva avait trouvé mieux de déverser sa bile sur un confrère pour avoir osé ouvrir ses colonnes à ses ex-danseuses.
Et pendant qu’elle en parlait au cours de ce voyage sur Aboisso, Emeraude s’en était apitoyée. C’est pourquoi d’ailleurs sans sourciller elle ordonna à ses danseuses de prester aux côtés de la « vieille mère » Erreur ! Allany va en profiter pour lui planter le couteau dans le dos, selon ses propres dires, la payant de si ingrate manière alors que la jeune femme ne nourrissait qu’une intention bienveillante !. Pour enfoncer le clou dans la plaie de sa victime, comme si elle ne lui avait pas déjà suffisamment assez fait de mal, selon la victime, Allany va conditionner sa participation au meeting du président du PDCI Henry Konan Bédié dans la semaine suivante à l’annulation de l’invitation d’Emeraude.
Conséquence, cette dernière est simplement remerciée par le protocole du président du conseil général d’Aboisso qui l’avait pourtant formellement invitée. En guise d’excuse, son interlocuteur lui dira ouvertement qu’Antoinette Allany refuse de venir si tu dois participer. Alors, puisqu’elle est déjà plus connue que toi, nous sommes obligés de la choisir. » Emeraude avoue être restée bouche bée devant l’information, ne sachant si pleurer ou que faire d’autre.Mais elle se dit en elle-même qu’elles se retrouveront sûrement. Cependant, alors qu’elle croyait que sa tata réaliserait sa bêtise pour s’excuser, l’occasion se prête une semaine plus tard au studio Paul Améwé de la radio où les deux artistes sont invitées. Emeraude va y croiser ses danseuses avec Antoinette Allany.
La vielle mère affiche une mine méprisante. Émeraude évite alors l’incident, se disant qu’il y a mieux à faire que de se donner en spectacle. Et le temps passe sans que l’autre ne donne la moindre impression d’avoir regretté son acte. En conséquence la filleule se pose des questions : Qu’adviendra t-il la prochaine fois, puisqu’Allany s’opiniâtre à persévérer dans le mal, croyant peut-être qu’elle a le monopole de la nuisance…Nous y reviendrons certainement.
De même la belle Emeraude devra comprendre que chez les artistes les intérêts représentent les plumages, si tant est-il que les oiseaux volent par plumage. Leurs conduites se laissent orienter en selon les enjeux.
Elle qui a tellement eu confiance en Antoinette Allany qu’elle lui a prêté ses danseuses pour l’accompagner sur scène pour sa prestation à l’occasion de l’enregistrement de l’émission IROKO de fréquence 2 (2ème chaîne publique de la radiodiffusion en Côte d’Ivoire), en décembre 2008 à Aboisso. « Allany en a profité pour détourner mes filles. Et dire que je prenais cette femme pour une mère, en raison de ses rapports fraternels avec mon père ! » lance amère Emeraude, interrogée sur l’absence de ses danseuses à la visite qu’elle a rendu à la rédaction de monsaphir.com à Abidjan. Pourtant, la jeune chanteuse croyait si bien faire ! Elle qui s’apitoyait sur le sort de sa tata Allany abandonnée quelques jours avant ce spectacle par ses danseuses.
Pour mémoire, ses dernières avaient fait étalage, dans les journaux de la place, du mauvais traitement que la chanteuse leur infligeait, notamment le non paiement de leurs primes. Cette affaire avait tellement énervé l’artiste qu’elle ne se faisait plus prier pour raconter à qui voulait l’entendre ce qu’elle avait fait pour ces « ingrates ».Pis, la diva avait trouvé mieux de déverser sa bile sur un confrère pour avoir osé ouvrir ses colonnes à ses ex-danseuses.
Et pendant qu’elle en parlait au cours de ce voyage sur Aboisso, Emeraude s’en était apitoyée. C’est pourquoi d’ailleurs sans sourciller elle ordonna à ses danseuses de prester aux côtés de la « vieille mère » Erreur ! Allany va en profiter pour lui planter le couteau dans le dos, selon ses propres dires, la payant de si ingrate manière alors que la jeune femme ne nourrissait qu’une intention bienveillante !. Pour enfoncer le clou dans la plaie de sa victime, comme si elle ne lui avait pas déjà suffisamment assez fait de mal, selon la victime, Allany va conditionner sa participation au meeting du président du PDCI Henry Konan Bédié dans la semaine suivante à l’annulation de l’invitation d’Emeraude.
Conséquence, cette dernière est simplement remerciée par le protocole du président du conseil général d’Aboisso qui l’avait pourtant formellement invitée. En guise d’excuse, son interlocuteur lui dira ouvertement qu’Antoinette Allany refuse de venir si tu dois participer. Alors, puisqu’elle est déjà plus connue que toi, nous sommes obligés de la choisir. » Emeraude avoue être restée bouche bée devant l’information, ne sachant si pleurer ou que faire d’autre.Mais elle se dit en elle-même qu’elles se retrouveront sûrement. Cependant, alors qu’elle croyait que sa tata réaliserait sa bêtise pour s’excuser, l’occasion se prête une semaine plus tard au studio Paul Améwé de la radio où les deux artistes sont invitées. Emeraude va y croiser ses danseuses avec Antoinette Allany.
La vielle mère affiche une mine méprisante. Émeraude évite alors l’incident, se disant qu’il y a mieux à faire que de se donner en spectacle. Et le temps passe sans que l’autre ne donne la moindre impression d’avoir regretté son acte. En conséquence la filleule se pose des questions : Qu’adviendra t-il la prochaine fois, puisqu’Allany s’opiniâtre à persévérer dans le mal, croyant peut-être qu’elle a le monopole de la nuisance…Nous y reviendrons certainement.
