Le président congolais Denis Sassou Nguesso a annoncé samedi à Brazzaville sa candidature à l’élection présidentielle du 12 juillet prochain.
A 66 ans, Sassou Nguesso entend briguer un deuxième mandat de sept ans. La Constitution congolaise du 20 janvier 2002 n’autorise que deux septennats consécutifs.
Sassou Nguesso a pris le pouvoir au Congo à la faveur d’un coup d’Etat en 1979. Il l’a perdu en 1992 lors d’élections multipartites qui ont vu la victoire de Pascal Lissouba, mais ce dernier a été chassé du pouvoir lors de la guerre civile de 1997 après laquelle Sassou Nguesso s’est réinstallé à la tête de l’Etat.
“Après avoir sillonné les départements de notre pays, après avoir constaté que tout le peuple était mobilisé (...), nous avons décidé de faire acte de candidature à l’occasion de l’élection présidentielle de juillet 2009”, a déclaré Sassou Nguesso au cours d’un meeting qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes sur la Place du Boulevard de Brazzaville.
Le président sortant fera face à une quinzaine de candidats, dont son ancien Premier ministre Ange Edouard Poungui.
Reuters
A 66 ans, Sassou Nguesso entend briguer un deuxième mandat de sept ans. La Constitution congolaise du 20 janvier 2002 n’autorise que deux septennats consécutifs.
Sassou Nguesso a pris le pouvoir au Congo à la faveur d’un coup d’Etat en 1979. Il l’a perdu en 1992 lors d’élections multipartites qui ont vu la victoire de Pascal Lissouba, mais ce dernier a été chassé du pouvoir lors de la guerre civile de 1997 après laquelle Sassou Nguesso s’est réinstallé à la tête de l’Etat.
“Après avoir sillonné les départements de notre pays, après avoir constaté que tout le peuple était mobilisé (...), nous avons décidé de faire acte de candidature à l’occasion de l’élection présidentielle de juillet 2009”, a déclaré Sassou Nguesso au cours d’un meeting qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes sur la Place du Boulevard de Brazzaville.
Le président sortant fera face à une quinzaine de candidats, dont son ancien Premier ministre Ange Edouard Poungui.
Reuters
