Nicolas Sarkozy a rendu hommage lundi à son homologue gabonais Omar Bongo, décédé à Barcelone, saluant "une haute figure de l'Afrique" mais aussi "un grand ami et fidèle de la France".
Dans un communiqué diffusé par l'Elysée, le président français affirme avoir appris cette disparition "avec beaucoup de tristesse et d'émotion".
"C'est un grand et fidèle ami de la France qui nous a quittés, une haute figure de l'Afrique et un chef d'Etat qui avait su gagner l'estime et le respect de l'ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain", souligne-t-il.
M. Sarkozy "adresse, en son nom et au nom du peuple français, toute sa compassion et sa profonde sympathie à la famille et aux proches du président Bongo Ondimba, ainsi qu'au peuple gabonais", ajoute le communiqué. "Il tient à les assurer que la France, fidèle à sa longue relation d'amitié, demeure, dans cette épreuve, aux cotés du Gabon, de ses institutions et de son peuple."
Arrivé au pouvoir en 1967, Omar Bongo était à 73 ans le doyen des chefs d'Etat africains et une figure incontournable de la "Françafrique". AP
Dans un communiqué diffusé par l'Elysée, le président français affirme avoir appris cette disparition "avec beaucoup de tristesse et d'émotion".
"C'est un grand et fidèle ami de la France qui nous a quittés, une haute figure de l'Afrique et un chef d'Etat qui avait su gagner l'estime et le respect de l'ensemble de ses pairs, notamment par ses nombreuses initiatives en faveur de la paix sur le continent africain", souligne-t-il.
M. Sarkozy "adresse, en son nom et au nom du peuple français, toute sa compassion et sa profonde sympathie à la famille et aux proches du président Bongo Ondimba, ainsi qu'au peuple gabonais", ajoute le communiqué. "Il tient à les assurer que la France, fidèle à sa longue relation d'amitié, demeure, dans cette épreuve, aux cotés du Gabon, de ses institutions et de son peuple."
Arrivé au pouvoir en 1967, Omar Bongo était à 73 ans le doyen des chefs d'Etat africains et une figure incontournable de la "Françafrique". AP