Monsieur le Président, Alassane Dramane Ouattara,
Chères sœurs, chers frères, par ma voie, je vous traduis les salutations fraternelles des femmes de San Pedro et de l’ensemble des femmes du Bas Sassandra.
Je m’appelle Gnonsokué Pélagie, je suis Wobé de Facobly.
Monsieur le Président, les femmes de Côte d’Ivoire et plus particulièrement celles de San Pedro, souffrent beaucoup.
Nos maris ne travaillent plus, nos enfants qui ont fait de longues études n’ont toujours pas leur premier emploi. Ils se retrouvent tous gérants de cabines téléphoniques et parfois chauffeurs de taxis.
Aujourd’hui, on ne parle plus du panier de la ménagère mais plutôt du sachet noir de la ménagère. Nourrir une famille est un véritable casse-tête chinois, car sur le marché, les prix des produits de grande consommation grimpent tous les jours. Rares sont les familles qui peuvent s’offrir trois repas par jour. Tout le monde pratique ce qu’on appelle la mort subite, c’est-à-dire un repas par jour aux environs de 16 h. De même, s’habiller, se loger convenablement sont devenus impossibles.
Monsieur le président, cette situation devient insoutenable. En ce moment, beaucoup de femmes se demandent d’où peut venir la solution.
Pour moi la solution, c’est le Docteur Alassane Dramane Ouattara. C’est pourquoi, j’ai décidé de rallier votre combat certes récemment, mais avec beaucoup de conviction. Je suis ici ce soir pour demander à toutes les femmes qui hésiteraient encore d’apporter au-delà de leur appartenance sociale, politique et religieuse, leur caution au programme le plus promoteur pour sauver notre pays. Ce projet est celui du Docteur Alassane Dramane Ouattara.
Je ne saurais terminer mon discours sans demander aux femmes ici et même au-delà de prendre l’engagement de porter le Docteur Alassane Dramane Ouattara au palais dès le premier tour de l’élection présidentielle du 29 novembre 2009.
Je vous remercie !
Chères sœurs, chers frères, par ma voie, je vous traduis les salutations fraternelles des femmes de San Pedro et de l’ensemble des femmes du Bas Sassandra.
Je m’appelle Gnonsokué Pélagie, je suis Wobé de Facobly.
Monsieur le Président, les femmes de Côte d’Ivoire et plus particulièrement celles de San Pedro, souffrent beaucoup.
Nos maris ne travaillent plus, nos enfants qui ont fait de longues études n’ont toujours pas leur premier emploi. Ils se retrouvent tous gérants de cabines téléphoniques et parfois chauffeurs de taxis.
Aujourd’hui, on ne parle plus du panier de la ménagère mais plutôt du sachet noir de la ménagère. Nourrir une famille est un véritable casse-tête chinois, car sur le marché, les prix des produits de grande consommation grimpent tous les jours. Rares sont les familles qui peuvent s’offrir trois repas par jour. Tout le monde pratique ce qu’on appelle la mort subite, c’est-à-dire un repas par jour aux environs de 16 h. De même, s’habiller, se loger convenablement sont devenus impossibles.
Monsieur le président, cette situation devient insoutenable. En ce moment, beaucoup de femmes se demandent d’où peut venir la solution.
Pour moi la solution, c’est le Docteur Alassane Dramane Ouattara. C’est pourquoi, j’ai décidé de rallier votre combat certes récemment, mais avec beaucoup de conviction. Je suis ici ce soir pour demander à toutes les femmes qui hésiteraient encore d’apporter au-delà de leur appartenance sociale, politique et religieuse, leur caution au programme le plus promoteur pour sauver notre pays. Ce projet est celui du Docteur Alassane Dramane Ouattara.
Je ne saurais terminer mon discours sans demander aux femmes ici et même au-delà de prendre l’engagement de porter le Docteur Alassane Dramane Ouattara au palais dès le premier tour de l’élection présidentielle du 29 novembre 2009.
Je vous remercie !