Une page se tourne en Afrique. Les Gabonais ont appris officiellement, hier, sur les antennes de la RTG1 (la Radiodiffusion télévision publique Gabonaise) le décès de leur Président, El Hadj Omar Bongo Ondimba.
C’est le vice-Premier ministre, Mme Georgette Koko qui a lu officiellement sur les antennes de la RGT1, le communiqué d'annonce du décès de Bongo. Selon ce même communiqué, le Président Bongo est décédé d’un arrêt cardiaque vers 14h hier.
"C'est à 14H30 (12H30 GMT) que l'équipe médicale m'a informé, ainsi que les officiels et membres de la famille présents, que le président de la République, chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, venait de rendre l'âme des suites d'un arrêt cardiaque", indique ce message du Premier ministre Jean Eyeghe Ndong.
Pour l’instant, en attendant le retour d'Espagne du chef du gouvernement, Madame le vice-Premier ministre a lancé un appel au calme au peuple gabonais.
Les Gabonais qui ont appris la nouvelle sont encore sous le choc. Le pays est en deuil. Il n’y a aucun mouvement à Libreville où la vie a semblé s'arrêter brusquement.
La ministre de la Communication, Laure Olga Gondjout a annoncé un deuil national de 30 jours. Toute ceci traduit la sympathie du peuple gabonais pour cet homme de 73 ans qui a marqué de son empreinte, ce petit pays de l’Afrique centrale. En effet, à l’instar de la Côte d’Ivoire qui a connu une stabilité politique sans appel sous Houphouët-Boigny, le Gabon reste l’un des rares pays d’Afrique qui est resté stable surtout au niveau politique. Et cette stabilité politique est l’œuvre, sans aucun doute de son Président Omar Bongo. Avec sa disparition, il faut souhaiter que ce pays qui n’a pas hésité à s’impliquer dans la résolution de certaines crises politiques africaines, continue d’être ce qu’il aurait pu être sous Bongo s’il était encore vivant : un pays, petit certes, mais respecté et respectable.
Yves-M. ABIET
Avec koaci.com
C’est le vice-Premier ministre, Mme Georgette Koko qui a lu officiellement sur les antennes de la RGT1, le communiqué d'annonce du décès de Bongo. Selon ce même communiqué, le Président Bongo est décédé d’un arrêt cardiaque vers 14h hier.
"C'est à 14H30 (12H30 GMT) que l'équipe médicale m'a informé, ainsi que les officiels et membres de la famille présents, que le président de la République, chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, venait de rendre l'âme des suites d'un arrêt cardiaque", indique ce message du Premier ministre Jean Eyeghe Ndong.
Pour l’instant, en attendant le retour d'Espagne du chef du gouvernement, Madame le vice-Premier ministre a lancé un appel au calme au peuple gabonais.
Les Gabonais qui ont appris la nouvelle sont encore sous le choc. Le pays est en deuil. Il n’y a aucun mouvement à Libreville où la vie a semblé s'arrêter brusquement.
La ministre de la Communication, Laure Olga Gondjout a annoncé un deuil national de 30 jours. Toute ceci traduit la sympathie du peuple gabonais pour cet homme de 73 ans qui a marqué de son empreinte, ce petit pays de l’Afrique centrale. En effet, à l’instar de la Côte d’Ivoire qui a connu une stabilité politique sans appel sous Houphouët-Boigny, le Gabon reste l’un des rares pays d’Afrique qui est resté stable surtout au niveau politique. Et cette stabilité politique est l’œuvre, sans aucun doute de son Président Omar Bongo. Avec sa disparition, il faut souhaiter que ce pays qui n’a pas hésité à s’impliquer dans la résolution de certaines crises politiques africaines, continue d’être ce qu’il aurait pu être sous Bongo s’il était encore vivant : un pays, petit certes, mais respecté et respectable.
Yves-M. ABIET
Avec koaci.com
