Les menaces de boycott des examens scolaires de fin d’années se précisent, surtout venant des enseignants du privé laïc. Pour éviter d’être les victimes d’une situation qu’elle n’a pas créée, la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) est montée au créneau afin d’appeler l’Etat à prendre toutes les mesures nécessaires pour que lesdits examens se déroulent dans de bonnes conditions.
Mian Augustin SG de la Fesci, affirme que le danger vient plus du milieu des enseignants privés que de ceux du public. Mian Augustin affirmé que les enseignants du privé laïc ont bloqué la matrice des notes des élèves en classe d’examen et les livrets de notes indispensables pour la direction des examens et concours dans la notation des candidats. Les mêmes enseignants menacent de ne pas participer à l’organisation des examens. Pire, avec la complicité des fondateurs, ils assurent qu’ils ne transmettront pas aux élèves, les convocations devant leur permettre d’avoir accès aux salles de composition. Cette attitude révolte le SG de la Fesci qui souligne que pour l’année académique qui s’achève, les élèves ont eu un comportement mature afin d’être dans les conditions optimales pour faire de meilleurs résultats. Malheureusement, on ne dirait pas de même pour les syndicats d’enseignants, a-t-il regretté. A la base du problème, le non paiement des salaires des enseignants qui cumulent d’importants arriérés. Afin de garantir la bonne tenue des examens, Mian a demandé aux autorités notamment, le ministre de l’Education nationale et le ministre de l’Economie et des Finances de tout mettre en œuvre pour payer lesdits salaires ou une partie. La Fesci a mis en garde toute action de nature à perturber la fin d’année scolaire et compromettre les résultats de fin d’année. « Nous ne voudrions en aucun cas être victime du laxisme et la négligence de nos autorités », a averti le SG de la Fesci. C’est pourquoi, il a exhorté a la création d’un environnement sain, favorable à l’organisation des examens
Olivier Guédé
Mian Augustin SG de la Fesci, affirme que le danger vient plus du milieu des enseignants privés que de ceux du public. Mian Augustin affirmé que les enseignants du privé laïc ont bloqué la matrice des notes des élèves en classe d’examen et les livrets de notes indispensables pour la direction des examens et concours dans la notation des candidats. Les mêmes enseignants menacent de ne pas participer à l’organisation des examens. Pire, avec la complicité des fondateurs, ils assurent qu’ils ne transmettront pas aux élèves, les convocations devant leur permettre d’avoir accès aux salles de composition. Cette attitude révolte le SG de la Fesci qui souligne que pour l’année académique qui s’achève, les élèves ont eu un comportement mature afin d’être dans les conditions optimales pour faire de meilleurs résultats. Malheureusement, on ne dirait pas de même pour les syndicats d’enseignants, a-t-il regretté. A la base du problème, le non paiement des salaires des enseignants qui cumulent d’importants arriérés. Afin de garantir la bonne tenue des examens, Mian a demandé aux autorités notamment, le ministre de l’Education nationale et le ministre de l’Economie et des Finances de tout mettre en œuvre pour payer lesdits salaires ou une partie. La Fesci a mis en garde toute action de nature à perturber la fin d’année scolaire et compromettre les résultats de fin d’année. « Nous ne voudrions en aucun cas être victime du laxisme et la négligence de nos autorités », a averti le SG de la Fesci. C’est pourquoi, il a exhorté a la création d’un environnement sain, favorable à l’organisation des examens
Olivier Guédé
