Les membres de l’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines (ASCAD) vont rendre un dernier hommage à un des leurs, le professeur Joannes Egnankou Kouamé décédé le jeudi 14 mai dernier, ce jeudi 11 juin, à 16 h 30, au Conseil économique et social (CES), au Plateau.
Doyen honoraire de la faculté d’odontostomatologie, le professeur Joannes Egnankou Kouamé est né en 1939 à Abgoville. Il était titulaire d’un doctorat en chirurgie dentaire, d’un autre de 3e cycle en sciences odontolgiques, à Abidjan, et d’une agrégation en biologie et matières fondamentales obtenue en 1984, à Brazzaville. Ce qui lui a valu d’occuper certaines fonctions administratives, comme directeur de l’Institut d’odontostomatologie d’Abidjan, de 1985 à 1994, 1er doyen de cet institut, président de la Commission scientifique des associations dentaires des Etats francophones.
Par ailleurs, plusieurs fois distingué, il est auteur de plusieurs publications et communications scientifiques dont “Les dents et leurs mutilations ethniques”, en 1975, “Eau de boisson, fluor et prévention en Côte d’Ivoire”, en 1988 et “Gencive et diabétique africain”, en 2003.
En 1989, il a été fait officier dans l’Ordre des palmes académiques françaises, Chevalier dans l’Ordre de la santé publique de Côte d’Ivoire, en 1992, et Chevalier dans l’Ordre du mérite ivoirien, en 2003.
Sonia Dia (Stagiaire)
Doyen honoraire de la faculté d’odontostomatologie, le professeur Joannes Egnankou Kouamé est né en 1939 à Abgoville. Il était titulaire d’un doctorat en chirurgie dentaire, d’un autre de 3e cycle en sciences odontolgiques, à Abidjan, et d’une agrégation en biologie et matières fondamentales obtenue en 1984, à Brazzaville. Ce qui lui a valu d’occuper certaines fonctions administratives, comme directeur de l’Institut d’odontostomatologie d’Abidjan, de 1985 à 1994, 1er doyen de cet institut, président de la Commission scientifique des associations dentaires des Etats francophones.
Par ailleurs, plusieurs fois distingué, il est auteur de plusieurs publications et communications scientifiques dont “Les dents et leurs mutilations ethniques”, en 1975, “Eau de boisson, fluor et prévention en Côte d’Ivoire”, en 1988 et “Gencive et diabétique africain”, en 2003.
En 1989, il a été fait officier dans l’Ordre des palmes académiques françaises, Chevalier dans l’Ordre de la santé publique de Côte d’Ivoire, en 1992, et Chevalier dans l’Ordre du mérite ivoirien, en 2003.
Sonia Dia (Stagiaire)