La grève des médecins et autres cadres supérieurs de la santé dans les hopitaux publics a été totalement suivie, hier, dans les trois départements d'Adzopé, d'Akoupé et de Yakassé-Attobrou, paralysant ainsi tous les services médicaux, à l'exception des maternités et autres unités de soins où des sages-femmes et des infirmiers étaient à leur poste. "A l'hôpital général d'Adzopé, aucune nouvelle consultation n'a été enregistrée tant en médecine qu'en gynécologie. Par contre, les anciens malades admis en hospitalisation continuent d'être pris en charge. Et ce, suite à une négociation que nous avons menée avec les responsables syndicaux qui exigeaient au départ que le service minimun soit basé à l'hôpital d'Agboville", a déclaré Cissé Moussa, directeur de l'hôpital général d'Adzopé.
Quant au secrétaire de la section locale du SYNACASS-CI, il se veut clair et net. "Dans la zone d'Adzopé, aucun médecin ou technicien de la santé ne travaille. Le service minimum est régional et reste basé à l'hôpital d'Agboville jusqu'à nouvel ordre. Un médecin qui se déciderait à travailler assumera tout simplement ses responsabilités. Quant à la section locale du SYNACASS-CI que je dirige, elle reste ouverte aux négociations, et surtout, à l'écoute de son bureau national", a précisé docteur Djé Bi Ta Ludovic.
Patrice Tapé: tapepatrice@yahoo.fr
Quant au secrétaire de la section locale du SYNACASS-CI, il se veut clair et net. "Dans la zone d'Adzopé, aucun médecin ou technicien de la santé ne travaille. Le service minimum est régional et reste basé à l'hôpital d'Agboville jusqu'à nouvel ordre. Un médecin qui se déciderait à travailler assumera tout simplement ses responsabilités. Quant à la section locale du SYNACASS-CI que je dirige, elle reste ouverte aux négociations, et surtout, à l'écoute de son bureau national", a précisé docteur Djé Bi Ta Ludovic.
Patrice Tapé: tapepatrice@yahoo.fr