L`élection à la présidence du Conseil d`Administration au BURIDA (Bureau Ivoirien des Droits d`Auteurs est dans sa phase active. Au regard des programmes des différents candidats, le Président de l`UNARCTCI, l`artiste-footballeur Gadji Céli présente le meilleur profil.
Depuis quelques années, Gadji Céli Saint Joseph préside aux destinées de l`UNARTCI qui revendique 4000 adhérents dont 3000 sont sociétaires du Droit Ivoirien des droits d`auteurs (BURIDA). Fort de cette représentativité dans le milieu des artistes, le candidat déclaré Gadji Céli caresse le secret espoir de sortir le BURIDA des sentiers battus. Raison pour laquelle, il fait de son cheval de bataille, la revalorisation et surtout la réorganisation du BURIDA. En faisant de cette structure qui est passée du statut d`association à celle de société civile, une puissance financière. Qui prendra en charge l`hospitalisation et le suivi des artistes. Non sans leur apporter une assistance financière à tous les niveaux. Pour atteindre tous ces objectifs ô combien louables, le candidat veut faire du BURIDA une Régie, un instrument financier et social. Comment compte -t -il parvenir ? En renforçant les performances de l`appareil de gestion, (diagnostic de la santé financière et morale) en décidant du choix d`un DG avec obligation de résultats, de décentralisation et diversification des activités. Toute chose qui permettra d`élaborer un plan stratégique axé sur l`amélioration de la collecte, de sorte à identifier et recouvrer tous les types de droits d`auteurs existants. L`initiative d`une coopérative d`épargne et de crédit fait partie également des priorités de Gadji Céli. Qui pense que cette micro finance spécialisée permettra d`octroyer des prêts pour financer des projets présentés par les artistes. Au plan social, il pense que la mise en place d`un fonds d`aide pour contribuer à la résolution des problèmes sociaux des artistes est plus que jamais impérieux. Toutefois, cela ne sera possible qu`en créant des ressources additionnelles. Que pense t -il de la lutte contre la piraterie ? L`auteur de `` Youtamalemi`` soutient mordieus qu`il ne faut pas se leurrer parce qu`on ne peut régler le problème de la piraterie en un clin d`oeil. L`UNARTCI étant déjà sur le terrain avec les résultats que l`on a, le BURIDA doit travailler en synergie avec l`Office Ivoirien de la propriété Intellectuelle (OIPI) et d`autres partenaires nationaux et étranger. Gadji Céli serait- il le héros ou le messie tant attendu par le BURIDA ? Que nenni ! Répond t - il. Toutefois, son souci est d`apporter sa modeste contribution à l`amélioration des conditions de vie de ses paires. Au demeurant, pour lui, le BURIDA a plus besoin d`un meneur d`hommes au charisme fédérateur que d`un messie. Par ailleurs, répondant à ses détracteurs, Gadji Céli pense qu`en matière de société, l`apport de chaque associé détermine sa place exacte. " Le label Gadji céli, c`est quand même plusieurs millions de disques vendus à chaque sortie d`album, des milliers de concerts à travers le monde, de nombreuses diffusions dans les médias et dans tous les espaces sonorisés. J`ai donc injecté des milliards dans l`industrie musicale en Côte d`Ivoire et au BURIDA que ce soit en droits mécaniques tout comme en droits d`exécution publique " dixit Gadji Céli Saint Joseph. Au regard de tout ce qui précède, qui mieux que le candidat de l`UNARTCI a le meilleur profil pour présider aux destinées du Bureau Ivoirien des droits d`auteurs (BURIDA), si ce n`est lui - même ?
Daouda Traor
Depuis quelques années, Gadji Céli Saint Joseph préside aux destinées de l`UNARTCI qui revendique 4000 adhérents dont 3000 sont sociétaires du Droit Ivoirien des droits d`auteurs (BURIDA). Fort de cette représentativité dans le milieu des artistes, le candidat déclaré Gadji Céli caresse le secret espoir de sortir le BURIDA des sentiers battus. Raison pour laquelle, il fait de son cheval de bataille, la revalorisation et surtout la réorganisation du BURIDA. En faisant de cette structure qui est passée du statut d`association à celle de société civile, une puissance financière. Qui prendra en charge l`hospitalisation et le suivi des artistes. Non sans leur apporter une assistance financière à tous les niveaux. Pour atteindre tous ces objectifs ô combien louables, le candidat veut faire du BURIDA une Régie, un instrument financier et social. Comment compte -t -il parvenir ? En renforçant les performances de l`appareil de gestion, (diagnostic de la santé financière et morale) en décidant du choix d`un DG avec obligation de résultats, de décentralisation et diversification des activités. Toute chose qui permettra d`élaborer un plan stratégique axé sur l`amélioration de la collecte, de sorte à identifier et recouvrer tous les types de droits d`auteurs existants. L`initiative d`une coopérative d`épargne et de crédit fait partie également des priorités de Gadji Céli. Qui pense que cette micro finance spécialisée permettra d`octroyer des prêts pour financer des projets présentés par les artistes. Au plan social, il pense que la mise en place d`un fonds d`aide pour contribuer à la résolution des problèmes sociaux des artistes est plus que jamais impérieux. Toutefois, cela ne sera possible qu`en créant des ressources additionnelles. Que pense t -il de la lutte contre la piraterie ? L`auteur de `` Youtamalemi`` soutient mordieus qu`il ne faut pas se leurrer parce qu`on ne peut régler le problème de la piraterie en un clin d`oeil. L`UNARTCI étant déjà sur le terrain avec les résultats que l`on a, le BURIDA doit travailler en synergie avec l`Office Ivoirien de la propriété Intellectuelle (OIPI) et d`autres partenaires nationaux et étranger. Gadji Céli serait- il le héros ou le messie tant attendu par le BURIDA ? Que nenni ! Répond t - il. Toutefois, son souci est d`apporter sa modeste contribution à l`amélioration des conditions de vie de ses paires. Au demeurant, pour lui, le BURIDA a plus besoin d`un meneur d`hommes au charisme fédérateur que d`un messie. Par ailleurs, répondant à ses détracteurs, Gadji Céli pense qu`en matière de société, l`apport de chaque associé détermine sa place exacte. " Le label Gadji céli, c`est quand même plusieurs millions de disques vendus à chaque sortie d`album, des milliers de concerts à travers le monde, de nombreuses diffusions dans les médias et dans tous les espaces sonorisés. J`ai donc injecté des milliards dans l`industrie musicale en Côte d`Ivoire et au BURIDA que ce soit en droits mécaniques tout comme en droits d`exécution publique " dixit Gadji Céli Saint Joseph. Au regard de tout ce qui précède, qui mieux que le candidat de l`UNARTCI a le meilleur profil pour présider aux destinées du Bureau Ivoirien des droits d`auteurs (BURIDA), si ce n`est lui - même ?
Daouda Traor